Avis de coupures: EDT prévoit des travaux de rénovation de son réseau à Rangiroa 02/10/2015
EDT, GDF SUEZ remplace 1,7 km de câble souterrain haute tension défectueux et effectue un contrôle sur tout le réseau souterrain haute tension de Rangiroa.
Le réseau électrique haute tension (14 400V) de Rangiroa est constitué principalement de câbles souterrains posés dans les années 1990 : 10,5 km de câbles souterrains, 0,9 km de câbles sous marins sous la passe de Tiputa et 4,4 km de lignes aériennes. Pendant des années, les clients de Rangiroa ont bénéficié d’une bonne qualité de service grâce à la fiabilité de ces réseaux enterrés. Cependant depuis juillet 2014 des incidents sont recensés sur certains réseaux souterrains. Devant les incidents survenus ces dernières semaines, EDT, GDF SUEZ a décidé de remplacer le câble en défaut sur une longueur de 1,7 km. Face à ce constat du vieillissement accéléré des câbles souterrains, EDT GDF-SUEZ a décidé d’engager un audit complet de l’état des câbles par Laborelec, un bureau d’études reconnu au niveau international et spécialisé dans le domaine de la recherche de défauts sur les réseaux souterrains. Cet audit aura lieu à Rangiroa les 5 et 6 octobre 2015 et sera réalisé par 2 techniciens de Laborelec et 3 techniciens EDT des services techniques de Tahiti. Ces contrôles et mesures nécessiteront la mise hors tension par tronçon des câbles à contrôler. C’est pourquoi il est prévu de procéder à la coupure de l’alimentation électrique comme suit : OHOTU et TIPUTA : Lundi 05 et mardi 06 Octobre 2015 de 7h30 à 12h00, Entre Les logements ADT et F.E.I de TIPUTA AVATORU : Lundi 05 et mardi 06 Octobre 2015 de 13h30 à 17h30, depuis le Bar TE MA’O jusqu’au Village de AVATORU. EDT prie tous ces clients de bien vouloir accepter ses excuses pour ces nouvelles coupures. Cet audit permettra de définir le programme de remplacement des câbles nécessaire pour assurer de nouveau une bonne qualité de fourniture d’électricité à tous les clients de Rangiroa,. Rangiroa en Bref en 2014: Longueurs réseaux : 15,8 km HTA (dont 10,5 en souterrain) et 26,3 km basse tension Nombre de Clients : 985 Investissements engagés 2013-2014 : 109,7 millions XPF (Rénovation réseau haute tension souterrain et moyens de production) Energie distribuée : 5,5 GWh L’équipe de l’Exploitation de Rangiroa est composée de 4 agents. Compte rendu du Conseil des Ministres du 30 septembre 2015 30/09/2015
Délibération pour l’approbation de la convention Contrat de projets, volet logement social
La convention cadre du Contrat de projet 2015-2020, signée le 9 mars 2015, relative au concours de l’Etat au financement des projets relevant des compétences de la Polynésie française prévoit d’être accompagnée de conventions annuelles précisant, pour chaque exercice, les montants alloués au titre de la participation financière de l’Etat, ainsi que la liste des opérations programmées. Le projet de convention annuelle présenté en Conseil des ministres par le Vice-président, fait suite au comité de pilotage du 20 août dernier ayant validé la programmation 2015 en l’occurrence : (voir tableau ci-dessus) Cette convention permet notamment d’acter la participation financière de l’Etat à hauteur d’environ 1,611 milliards Fcfp sur 6 opérations du volet « Logement social ». En application des articles 169 et 170-1 de la loi organique portant statut d’autonomie de la Polynésie française, le projet de convention annuelle est transmis à l’Assemblée de la Polynésie française pour approbation préalable. Modifications relatives au statut général de la Fonction publique de la Polynésie française Un projet de loi du Pays portant modification de l’article 53 de la délibération de décembre 1995 portant statut général de la fonction publique de la Polynésie française a été présenté en Conseil des ministres. L’article 53 prévoit que les fonctionnaires sont recrutés par voie de concours externe ou interne. A titre exceptionnel, des concours d’intégration ouverts aux agents non titulaires peuvent également être décidés par le Conseil des ministres Le projet de loi du Pays présenté propose de modifier certains points du texte afin de mettre en œuvre les dispositions relatives aux concours d’intégration et de remédier ainsi à la situation précaire de certains agents, dans le respect du principe de l’égal accès aux emplois publics. Par ailleurs, il paraît opportun d’offrir la possibilité de se présenter au concours d’intégration aux agents non fonctionnaires de l’administration relevant de la convention collective des ANFA qui souhaitent aujourd’hui intégrer la fonction publique, la rédaction actuelle du texte excluant ces personnels. C’est lors de l’ouverture de chaque concours, que le Conseil des Ministres pourrait décider de l’organisation d’un concours d’intégration en fonction des besoins et de l’état d’occupation des postes par des agents non titulaires. Le Conseil supérieur de la fonction publique a émis un avis favorable à ce projet de loi du Pays dans sa séance du 1er juillet 2015. Projet de parc aquatique à la pointe Vénus A l’initiative de Monsieur et Madame Hoarai Ruta, le projet de parc aquatique dénommé « Mo’o ‘arearea parc » sera situé à la Pointe Vénus à Mahina. Les intéressés ont sollicité l’occupation de deux emplacements d’une superficie totale de 438 m², à savoir 18 m² sur terre pour y installer un chapiteau et 420 m² en zone maritime pour la pose de bouées gonflables certifiées aux normes européennes, ancrées sur le plan d’eau à l’aide de corps morts écologiques. S’inspirant d’un concept qui existe un peu partout dans le monde et qui rencontre un grand succès auprès d’un public toujours à la recherche d’activités récréatives, ce parc se veut convivial, divertissant et agréable pour les familles, les enfants, les jeunes, les groupes et les associations. Pour information, Monsieur et Madame Ruta ont eu l’idée de ce projet suite à un déplacement à l’étranger où ils ont pu profiter avec leurs enfants de cette distraction. Le montant total de l’investissement est de l’ordre de 5 millions de Fcfp. Les conditions d’exploitation du parc seront les suivantes : - ouverture au public les week-end et jours fériés de 9 h à 17 h, les mercredis et vendredis de 12 h à 17 h, en fonction des conditions météorologiques et accessoirement à la demande de particuliers, en dehors de ces jours programmés. - tarifs pratiqués : 900 fr / 1 h, 1600fr/ 2 h, 2900 fr/demi-journée, 3900 fr/ journée, demi-tarif pour les moins de 6 ans en bord de plage. Le parc sera ainsi composé d’un trampoline, de deux tours d’escalade avec toboggans, de trois passages d’équilibre, d’un iceberg d’escalades avec glissades, de deux soucoupes, d’une balançoire et d’un jeu de bascule. Par ailleurs, quelques modules pour les tout petits (jusqu’à 6 ans) en bord de plage seront mis à disposition : un petit trampoline, un jeu de bascule et un toboggan. Le gouvernement encourage cette initiative de parc aquatique, car en plus de contribuer à l’animation de la Pointe Vénus, plusieurs emplois nouveaux seront créés: 1 gérant, 1 vendeur surveillant, 3 surveillants aquatiques et 1 ouvrier. Point d’avancement concernant le projet de ferme aquacole de Hao Le programme des travaux de préparation du site destiné à accueillir le projet de ferme aquacole de Hao va entrer prochainement dans sa phase de travaux. En effet, le ministère de l’Equipement va lancer les travaux de construction de la digue de protection avant la fin de l’année, et engager à la suite, les travaux de la nouvelle route. Les services de l’Etat ont, pour leur part, déposé les études préalables et demandes d’autorisation associées aux travaux de dépollution des terres à la date prévue. Un planning détaillé des opérations a été réalisé afin de leur permettre leurs travaux dès le début de l’année 2016. Enfin, le Pays coordonne avec les sociétés EDT et Petropol les chantiers de déplacement de la centrale électrique et des cuves d’hydrocarbures actuellement situées dans l’emprise du projet aquacole. La livraison des travaux précités devrait intervenir au début du second semestre 2016. Pour ce qui concerne le programme de travaux de la société Tahiti Nui Ocean Foods (TNOF), des éléments complémentaires sont attendus pour l’instruction des autorisations administratives. Des rencontres devront également être organisées pour mieux appréhender le détail du projet aquacole. Agrément du projet présenté par la SCA Raromatai au régime des investissements indirects - secteur primaire - agriculture ou élevage Le Conseil des ministres a agréé le programme d’investissement de la SCA Raromatai qui a sollicité le bénéfice du régime des investissements directs dans le secteur primaire – agriculture ou élevage conformément aux dispositions de l’article LP 923-11 du code des impôts. Le programme d’investissement, d’un montant total 91 901 786 Fcfp hors taxes, consiste en la réalisation d’une unité d’élevage de poules pondeuses à Taputapuatea, Raiatea, comprenant un bâtiment d’élevage des poussins et poules, un bâtiment de ponte, un local de conditionnement des œufs, des bureaux et sanitaires et l’acquisition d’équipements mobiliers (silos de stockage des aliments, dispositif d’assainissement autonome, citerne, incinérateur,…) nécessaires à l’élevage de 9 000 poules pondeuses. La production annuelle d’œufs aux îles Sous le Vent s’élève à 367 580 douzaines d’œufs. Ce marché est déficitaire de 11 180 poules, soit un besoin d’environ 220 310 douzaines d’œufs par an. Pour pallier à ce déficit, des œufs produits à Tahiti sont aujourd’hui acheminés vers les îles Sous le Vent. L’investissement agréé permettra donc de combler une partie de ces besoins. Organisation des Assises de la famille La ministre en charge des Solidarités a présenté au Conseil des ministres une communication sur la politique de la famille et la précarisation accrue de nombres de familles polynésiennes. La récurrence et la gravité des situations de vulnérabilité impactant depuis quelques décennies, à l’instar de toutes les sociétés contemporaines, les familles polynésiennes, sont en effet de plus en plus préoccupantes. Les initiatives d’autonomisation des familles sont désormais freinées par divers facteurs, tels : - La promiscuité, la dégradation des relations intrafamiliales, la perte de confiance en soi, la violence au sein de la famille, les difficultés à se loger ; - Les toxicomanies, le passage à l’acte délictueux, la sexualité non protégée, les ménages précoces, l’échec scolaire, ainsi que la marginalisation d’une grande partie de la jeunesse ; - La pauvreté monétaire des ménages, le surendettement, les difficultés accrues à satisfaire les besoins fondamentaux. Ces phénomènes ont été amplifiés par la crise financière et économique mondiale, qui a fortement remodelé le paysage social depuis 2008, telle qu’en témoigne la progression très conséquente de la population relevant du régime de solidarité de la Polynésie française (RSPF) constatée entre 2008 et 2014. Fin 2013, le nombre de ressortissants du RSPF s’établissait en effet à 74 552 ayants-droit contre 55 386 en 2008 (+ 19 166). Une inversion de la tendance a été observée en 2014 (+15 989 par rapport à 2008), cette diminution relative étant à relier à la mise en œuvre du dispositif des « contrats d’accès à l’emploi », dont les bénéficiaires émargent au RNS. L’augmentation du nombre de ressortissants du RSPF s’explique : - Pour moitié par les destructions nettes d’emplois et d’entreprises conjuguées à une dynamique de créations d’entreprises très faible. Le nombre de salariés affiliés au régime des salariés (RGS) est passé de 162 183 à 153 152 (- 9031) au cours de la même période et le nombre de ressortissants du régime des non-salariés (RNS) de 15 815 à 14 103 (- 1712) ; - Et pour moitié du fait des nouveaux entrants privés d’emploi. Il y aurait en effet lieu de créer plus de 2000 emplois chaque année pour absorber l’arrivée des jeunes sur le marché de l’emploi. Au regard de l’ampleur du phénomène de précarisation affectant aujourd’hui de très nombreuses familles polynésiennes, le gouvernement a décidé d’évaluer la pertinence des programmes de cohésion sociale et de solidarité de la Polynésie française conçus il y a vingt, trente, voire cinquante ans de cela pour les plus anciens, en ouvrant un débat public sur la question de la famille. Seront, dans cette perspective, organisées des Assises de la famille qui, pour réunir les multiples acteurs de la sphère publique et privée intervenant en faveur des familles, doivent permettre de donner un nouvel élan à la politique de la famille. Celle-ci traduira la volonté du gouvernement de mieux défendre et protéger la famille, en tant qu’institution essentielle à la structuration de la société et à la transmission des valeurs, en garantissant l’adaptation des actions conçues à son adresse aux mutations sociétales. Point sur le devenir du Certificat d’Etude Primaire Elémentaire Supprimé en France en 1989, le Certificat d’Etude Primaire Elémentaire (CEPE) permettait de sanctionner la fin de l’enseignement primaire élémentaire. Il est toujours, actuellement, en place en Polynésie française. Deux sessions sont organisées chaque année, l’une en juin pour les élèves et l’autre en avril pour les adultes. Le budget prévisionnel du CEPE s’élève chaque année à environ 250 000 à 300 000 Fcfp, mais surtout, cet examen entraîne pour les élèves une perte de deux à trois jours de classe au mois de juin car, de manière générale, entre 18 à 20 centres d’examen sont ouverts chaque année pour la session élève (à Tahiti/Moorea et aux Iles Sous-le-Vent, Tuamotu, Marquises et Australes), alors que ce sont depuis plusieurs années essentiellement des collégiens qui se présentent. Cet examen, qui doit sanctionner la fin d’études primaires élémentaires n’est donc plus porteur de sens. D’autre part, les statistiques de 2003 à 2015 montrent un taux d’absentéisme assez important entre le nombre de candidats inscrits et le nombre de candidats présents. On remarque une déperdition d’environ 300 candidats chaque année entre l’inscription et la présence à l’examen de la session élève. Le pourcentage de réussite par rapport au nombre d’inscrits est par conséquent relativement bas, soit environ 60 % d’admis sur les candidats présents. Création du comité de pilotage du schéma directeur des transports collectifs et des déplacements durables de l'île de Tahiti Lancé en janvier 2015 par le ministère de l'Equipement, de l'aménagement, de l'urbanisme et des transports intérieurs, en partenariat avec l’ADEME, le schéma directeur des transports collectifs et déplacements durables de l’île de Tahiti constitue un enjeu majeur pour le développement de la Polynésie française sur le plan économique et social. Ce schéma directeur doit aboutir à la définition des grandes orientations du développement des transports en commun ainsi que des modes de transport alternatifs à la voiture particulière sur les 5, 10 et 20 prochaines années, chacun s'accordant à dire aujourd’hui que les transports en commun souffrent d’une image très négative et qu’ils doivent être totalement repensés. Afin de superviser les différentes étapes de l'élaboration de ce schéma directeur, le Conseil des ministres a décidé la mise en place d'un comité de pilotage dont la composition est la suivante : - Le ministre en charge des transports intérieurs ou son représentant, président ; - le ministre en charge de l’éducation ou son représentant ; - le représentant de l'Etat, chef de la subdivision administrative des îles du Vent ; - le représentant de l'ADEME en Polynésie française, ou son représentant ; - le président du conseil économique social et culturel ou son représentant ; - 3 représentants issus des sections des îles du Vent désignés par le Président de l’Assemblée de Polynésie française. Ce comité de pilotage se réunira lors de chaque phase de l’étude et selon l’avancement des travaux menés. Parallèlement a été mis en place un comité de suivi, comportant notamment toutes les communes de l'île de Tahiti, qui sera consulté très régulièrement pour l'établissement des divers scenarii du schéma directeur. -o-o-o-o-o- Mahinarama : coupure d'eau ce soir à partir de 21 heures 28/09/2015
Mahina, le 28/09/2015 - Avis d'information aux habitants du lotissement de Mahinarama...
Le service de la Régie de l'Eau informe les habitants de Mahinarama que le bassin qui alimente les foyers sera fermé ce soir de 21h jusqu'à 4h30 demain matin, pour divers travaux de réparations. La municipalité minimise au maximum les travaux et s'excuse des gênes occasionnées. Pour toutes informations complémentaires contacter le 87 718 112. "Hotel Transylvania 2" : avant-première mercredi 7 octobre 28/09/2015
PAPEETE, le 28 septembre 2015 - Le cinéma Majestic Tahiti vous propose l'animation "Hotel Transylvania 2" (3D) en avant-première mercredi 7 octobre, à 18 heures. Une collation vous sera offerte et un tirage au sort vous permettra de gagner de nombreux lots avant la projection du film.
Tarif : 2 500 Fcfp (lunettes non incluses) Contact : 87 33 20 86 ou 87 74 76 08 Compte rendu du conseil des ministres du 23 septembre 2015 23/09/2015
Les points évoqués lors du conseil des ministres qui s'est tenu le mercredi 23 septembre 2015 :
Schéma directeur des déplacements durables interinsulaires 2015-2025 de la Polynésie française Suite à l'adoption le 22 septembre de la loi du Pays relative à l'organisation du transport interinsulaire maritime et aérien par l'Assemblée de la Polynésie française, le Conseil des ministres a arrêté le schéma directeur des déplacements durables interinsulaires 2015-2025 de la Polynésie française. Fortement sollicité par les élus des archipels et attendu par les populations, ce schéma directeur est le document de planification qui va permettre à la Polynésie française de mettre en œuvre sa politique publique du transport interinsulaire maritime et aérien pour les dix années à venir, d'améliorer les dessertes des îles autres que Tahiti pour un meilleur service des usagers et des populations des îles. Ce schéma directeur constitue également un outil de programmation des investissements en termes d'infrastructures portuaires et aéroportuaires pour les années à venir. Restitution du Plan Climat Energie de la Polynésie française Le Vice-président a présenté en Conseil des ministres le Plan Climat Énergie (PCE) de la Polynésie française qui concrétise ainsi plusieurs mois de travaux. En effet, ce sont près de 120 personnes représentant pas moins d’une soixantaine d’organismes ou d’institutions, qui ont contribué à la rédaction du PCE. Les travaux en ateliers, menés début juillet, ont ainsi permis l’identification de 28 fiches actions qui développent chacune clairement les étapes opérationnelles et les porteurs identifiés. Dès lors, la concertation par le biais de fiches navette, qui a suivi au mois d’août auprès d’une trentaine de pilotes, a permis la finalisation du présent PCE. Ce Plan Climat Energie de la Polynésie française se décline ainsi en deux parties : - le rapport décrivant la démarche adoptée, le contexte et les objectifs fixés ; - des fiches actions pour lesquelles des indicateurs ont été définis pour assurer leur suivi et leur évaluation, en vue d’atteindre un objectif sur 5 ans. Ces données de référence permettront ainsi d’anticiper la mise en œuvre du PCE, ainsi que d’assurer sa pérennisation. Parce qu’il était impératif d’agir en cohérence pour favoriser la mise en œuvre de l’action publique, une très large concertation a prévalu entre les différents domaines d’intervention : recherche, environnement, social, culturel, économique, transport, éducation. Dans cette perspective, le service des énergies pourra maintenir son rôle de coordonateur du plan, en s’appuyant sur des instances techniques qui devront apprécier les besoins de réactualisation de la programmation du PCE, notamment en décelant des projets innovants émergeants au fur et à mesure de sa mise en œuvre. Ce Plan Climat Énergie de la Polynésie française fait en outre l’objet d’une présentation officielle le mercredi 23 septembre à la Présidence. Prix des hydrocarbures au 1er octobre : baisse du prix du gaz butane Aux dates de chargement des produits hydrocarbures, les cotations sur le marché de Singapour ont reculé pour l’ensemble des carburants liquides, hormis pour le gazole qui reste stable. Avec la légère dépréciation de la devise américaine aux dates de chargements des hydrocarbures liquides, les valeurs CAF barèmes exprimées en Fcfp diminuent par rapport au chargement précédent pour l’ensemble des hydrocarbures liquides. Ainsi, l’essence sans plomb baisse de 1,17% et le gazole de 0,58%. Ces baisses ne sont toutefois pas jugés suffisamment importantes pour pouvoir être répercutées à la pompe. En revanche, s’agissant du gaz butane, une livraison est intervenue le 23 août en provenance de la Nouvelle-Zélande. La valeur CAF moyenne en US $/kg s’élève à 0,88644 contre 0,96566 pour le précédent déchargement, soit une diminution de 8,20 % en raison de la baisse des coûts du fret et de l’assurance ainsi que du prix FOB. Sur ce chargement de gaz butane, le cours moyen du dollar américain s’établit à 109,84 Fcfp/US $ contre 106,68 Fcfp/US $ pour le chargement précédent, soit une hausse de 2,96 %. Cette hausse du dollar vient atténuer la baisse de la valeur CAF, mais la tendance générale reste à la baisse pour le gaz butane : - 6 % de la valeur CAF par rapport au chargement précédent. Ainsi le Conseil des ministres a acté une baisse de 10 Fcfp/kg du gaz butane. Le prix maximal de vente au détail du gaz butane est donc fixé comme suit : - bouteille de 13 kilos : 2 834 Fcfp au lieu de 2 964 Fcfp, - bouteille de 39 kilos : 8 502 Fcfp au lieu de 8 892 Fcfp, - bouteille de 50 kilos : 10 900 Fcfp au lieu de 11 400 Fcfp. Pilotage de la Grande aire marine protégée des Marquises Le projet d’une grande aire marine protégée dans l’archipel des Marquises vise à la fois le développement économique de l’archipel et le rayonnement international de la Polynésie française. Considéré comme un projet pilote pour l’élaboration des règles de gestion des ressources halieutiques hauturières à l’échelle la ZEE de Polynésie française, il permet d’expérimenter un macro-zonage visant la prévention des conflits d’usage entre pêcheries. Les règles de gestion des pêches qui seront définies contribueront au plan d’aménagement des ressources hauturières, pré-requis pour l’écocertification de la pêcherie palangrière polynésienne. L’aspect économique est essentiel dans la conduite de cette opération de manière à garantir l’adhésion des populations à la démarche visant, non pas à sanctuariser, mais à mieux gérer les espaces, les ressources et les usages qui en sont faits. Ce projet comporte une forte composante environnementale et s’adossera principalement sur les règles définies par le code de l’environnement. Le Conseil des ministres a confié le pilotage de tous les projets relatifs aux aires marines protégées à M. Heremoana Maamaatuaiahutapu, ministre de l’Environnement. Importation des insectes auxiliaires des cultures en Polynésie française Conscients des incidences parfois néfastes d’une utilisation inadaptée des pesticides chimiques, certains agriculteurs se tournent vers des méthodes moins « agressives » pour contrôler les ravageurs des cultures parmi lesquelles figure la lutte biologique. Cette méthode consiste à utiliser un organisme (l’auxiliaire) pour combattre un autre organisme (le ravageur). En 2010, le Service du développement rural (SDR) a réalisé un important inventaire des insectes ravageurs et auxiliaires des cultures présents en Polynésie française. Ce travail a abouti à la publication d’un guide illustré de reconnaissance des insectes qui a rencontré un vif succès auprès des professionnels. Plus d’une centaine d’espèces d’auxiliaires ont ainsi été recensées. Mais leur densité de population sur les cultures à protéger est souvent trop faible pour être efficace contre les ravageurs. Aussi, l’agriculteur procède à des lâchers massifs d’insectes auxiliaires au lieu d’employer un insecticide qui, dans la plupart des cas, élimine, certes, les ravageurs mais également les auxiliaires. Le SDR a donc initié un programme d’élevage des auxiliaires dans sa station de recherche appliquée située à Papara. Sur proposition du ministre en charge de l’Agriculture, Frédéric Riveta, le Conseil des ministres a adopté, après avis favorable du comité consultatif pour la biosécurité, un arrêté visant à compléter la liste des insectes autorisés à l’importation en y ajoutant une punaise prédatrice appelée Nesidiocoris tenuis et une micro-guêpe parasitoïde appelée Eretmocerus hayati, toutes deux utiles dans la lutte contre les aleurodes, ou mouches blanches, attaquant les cultures maraîchères. Pour importer un des insectes listés en annexe 1 de l’arrêté, le demandeur doit solliciter préalablement un permis d’importation d’animaux vivants auprès du SDR. L’envoi doit, par ailleurs, être accompagné d’un certificat sanitaire attestant que les conditions zoosanitaires demandées par le SDR sont respectées. Cependant, la micro-guêpe Eretmocerus hayati étant une nouvelle espèce vivante pour la faune du territoire polynésien, seul le SDR est autorisé à l’importer pour la réalisation d’expérimentation. Ainsi, le permis d’importation pour ce parasitoïde ne sera délivré qu’à ce service technique. Subventions du régime de solidarité pour des associations ou établissements du secteur socio et médico-éducatif Le Conseil des ministres a rendu exécutoire une délibération du Comité de Gestion du Régime de Solidarité de la Polynésie française (CG RSPF) relative aux subventions du régime de solidarité versées, au titre de l’exercice 2015, en faveur des associations ou établissements du secteur socio et médico-éducatif. Ces dotations sont attribuées aux établissements et associations assurant, pour le compte de la Polynésie française, des missions de service public, en venant en aide aux catégories défavorisées, notamment les personnes handicapées, les personnes âgées, les enfants en danger, les familles ou les personnes en détresse. Le budget du régime a été fixé à 2 milliards Fcfp pour l’année 2015, soit un budget en hausse de 7,3% par rapport à 2014. Un montant global de 1 339 984 250 Fcfp a été affecté à la couverture des charges de fonctionnement de ces structures, et 87 699 527 Fcfp ont été affectés au financement des projets d’investissement de onze établissements. La répartition entre 25 associations gestionnaires de la dotation de 1 339 984 250 Fcfp, a été proposée puis validée par le CG/RSPF comme suit : - secteur médico-éducatif : 696 819 507 Fcfp pour douze structures d’accueil ; - secteur socio-éducatif : 730 864 270 Fcfp pour seize structures d’accueil. Il est précisé que la capacité d’accueil de ces structures avoisine globalement 1 300 places, réparties comme suit : - secteur « enfants adolescents, placements, assistances éducatives» : 463 places dans 10 centres ; - secteur « familles, femmes en difficultés sociales » : 328 places dans 6 centres ; - secteur « enfants, adolescents handicapés » : 296 places dans 10 centres ; - secteur « adultes handicapés » : 196 places pour 6 centres. Pour l’année 2015, la plus grande partie des crédits d’investissement est orientée sur les remises aux normes de bâtiments vétustes présentant des dangers flagrants pour les personnes accueillies et devenus inadaptés à l’accomplissement de prises en charge de qualité. L’utilisation du solde de cette ligne budgétaire, soit 94 316 223 Fcfp, fera l’objet d’une prochaine commission. Le dispositif CDL voit sa dotation budgétaire complétée Le Haut-commissaire de la République en Polynésie française propose au Pays de compléter à hauteur de 120 000 euros une dotation initiale de 280 000 euros destinée à rémunérer les stagiaires des chantiers de développement local dans les communes, les associations, les services de l’Etat et du Pays. Ce budget supplémentaire permettra de financer 636 semaines, concernant un peu plus d’une cinquantaine de personnes. La participation du Pays prend la forme d’une prise en charge des dépenses de formation pour environ 2,9 millions Fcfp. Ce complément budgétaire se formalise par un avenant à la convention initialement passée en juillet 2015, et doit être soumis à l’approbation de l’Assemblée de Polynésie française. Le dispositif CDL, en diminution depuis 2013, est appelé à être remplacé par le « service civique » mieux rémunéré, doté de formation renforcée (tutorat) et de plus longue durée (8 à 12 mois). Rénovation du Certificat d’Aptitudes Professionnelles au Développement La demande de la reconnaissance, par l’Etat, du diplôme du CAP des quatre spécialités, Petite et Moyenne Hôtellerie (PMH), Polyvalent du Bâtiment (PB), Gestion et Exploitation en Milieu Marin (GEMM), Exploitation Polynésienne Horticole et Rurale (EPHR), a pour objet d’inscrire ces diplômes au répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) tenu par la Direction générale scolaire (DGESCO) du Ministère de l’éducation nationale (MEN). La Polynésie française a voulu donner à l’enseignement professionnel une impulsion dans la formation professionnelle afin de répondre aux enjeux du Pays. En effet, le monde est en pleine mutation. Notre société fait face à des changements rapides et profonds, dictés par des équilibres nouveaux, avec des enjeux sociaux, environnementaux, économiques, très spécifiques compte tenu de notre insularité. Notre avenir dépend de la transmission de nos savoirs mais aussi de notre capacité à former nos jeunes afin qu’ils entrent pleinement dans le 21e siècle. Il existe déjà un certain nombre de formations qualifiantes dispensées en Polynésie française, mais qui ne sont plus reconnues par l'Etat. Il s'agit ici des formations menant au Certificat d’Aptitude Professionnelle au Développement (CAPD) , dispensées dans les Centres d’Education aux Technologies Appropriées au Développement (CETAD) du 2ème degré. - Construction et Entretien des Bâtiments (CEB) ; - Gestion et Entretien en Milieu Marin (GEMM) ; - Gestion et Entretien de la Petite Exploitation Rurale (GEPER) ; - Activités Familiales Artisanales et Touristiques (AFAT). Ces formations sont tout à fait adaptées à notre insularité puisqu'elles permettent à nos jeunes îliens d'être formés sur leur lieu de vie en tenant compte de leurs spécificités environnementales et culturelles, en contribuant ainsi au développement économique des archipels. Cependant, ces formations actuelles si nécessaires et performantes qu'elles soient, souffrent d'un manque de reconnaissance par l'Etat car le diplôme du CAPD de ces quatre spécialités n’est pas enregistré au Répertoire Nationnal des Certifications Professionnelles (RNCP). Par voie de conséquence, le CAPD n’est pas reconnu par les acteurs économiques et les professionnels des secteurs. De plus, les élèves arrivés jeunes dans ces formations ne peuvent faire l’objet d’une demande de dérogation pour l’utilisation de machines dangereuses et compromettent leur formation. Enfin, à la fin de cette formation en CAPD, ils ne peuvent prétendre, pour la plupart d’entre eux, à trouver un emploi, leur âge ne le leur permettant pas. Il est proposé que ces nouveaux référentiels de diplômes de CAP qui remplaceront ceux du CAPD actuel, soient reconnus par l'Etat et inscrits au RNCP : - Petite et Moyenne Hôtellerie (PMH) ; - Polyvalent du Bâtiment (PB) ; - Gestion et Exploitation en Milieu Marin (GEMM) ; - Exploitation Polynésienne Horticole et Rurale (EPHR). Ces nouvelles formations diplômantes CAP de niveau V des quatre spécialités, Petite et Moyenne Hôtellerie (PMH), Polyvalent du Bâtiment (PB), Gestion et Exploitation en Milieu Marin (GEMM), Exploitation Polynésienne Horticole et Rurale (EPHR), à destination d'élèves post 3ème de collège, reconnues par l'Etat et inscrites au RNCP, permettront aux élèves de prétendre également de droit, à la poursuite d’études sur un niveau IV de formation (Bac professionnel), voire de niveau III. Ainsi, en plus d'élever le niveau de qualification de nos jeunes, cette reconnaissance leur permettra d'améliorer leur niveau de vie. Conférence des jeunes COY 11 Du jeudi 26 novembre au samedi 28 novembre prochains, le week-end avant la tenue de la COP21/ Climat 2015 au Bourget, une Conférence internationale des jeunes (COY - Conference of Youth) est organisée par et pour les jeunes qui souhaitent se mobiliser pour la préservation de l'environnement. Près de 5 000 jeunes sont attendus pour cette 11ème conférence de la jeunesse – COY 11 – dans le Hall 8 du parc des expositions de Paris Nord Villepinte. Le mouvement WARN (We Are Ready Now) organise avec tous ses partenaires les journées de Conférences des jeunes. Pour tous, c'est une volonté de donner aux jeunes la capacité d’être des acteurs du changement, de se rassembler autour d’événements sur les enjeux socio-économiques et climatiques et de proposer des solutions via des ateliers, conférences formations, expositions, qui seront mis en place autour des thèmes de l'emploi, de la finance, pouvoir d'achat, logement, transports, citoyenneté, santé. Pour la première fois, une délégation de Polynésie française de 36 jeunes et cadres issus essentiellement de deux associations (la fédération des œuvres laïques et le conseil du scoutisme polynésien) prendra part à cette conférence et se rendra ainsi à Paris du 24 au 30 novembre prochains. La délégation entend en effet présenter le message de la jeunesse du Pays juste avant la COP 21. Les jeunes sont conscients des limites de nos îles et archipels. Ils sont prêts à défendre leurs idées pour tendre vers une société plus durable et désirable. Ainsi, tout en préparant leur déplacement, des travaux du groupe seront programmés avant et après la conférence. Ils ont d’ailleurs déjà débuté les regroupements le week-end dernier au ministère de la Jeunesse et des sports afin d’examiner les modalités pratiques quant à leur engagement et à la planification des futures rencontres. D’ores et déjà, il est possible d’affirmer que les jeunes, résidents de Tahiti et de Moorea, réalisent que le changement climatique constitue un des défis prioritaires des générations actuelles et futures. Dispositifs du ministère de la Jeunesse et des Sports contribuant à la cohésion sociale En réponse à la demande du Président de la Polynésie française interpellé par les tragiques évènements perpétrés par la jeunesse de notre pays et dans le cadre de la politique citoyenne du ministère de la Jeunesse et des Sports, trois dispositifs contribuant à la cohésion sociale ont été présentés en Conseil des ministres par René Temeharo : • Tout d’abord, la formation au Brevet Polynésien d’Animateur option Animateur de Quartier (BPAAQ) menée conjointement avec le ministère du Travail, le syndicat mixte en charge du contrat de ville, l’UPJ et les communes, ouverte le 4 septembre dernier. Celle-ci concerne 20 jeunes en stage auprès des mairies et des associations chargés conduire des activités à caractère sportif, socio-éducatif ou culturel au cœur même des quartiers dits « prioritaires ». • Ensuite, le « service civique », dispositif d’Etat encadré notamment par le MJS et le ministère de l’Education, permet à 50 jeunes de 16 à 25 ans sans qualifications d’intégrer des programmes d’utilité publique orientés vers les populations en difficulté. • Enfin, les camps « rupture », en partenariat avec le comité protestant des centres de vacances et les agents de la direction de la Jeunesse et des Sports, innovent en proposant à 20 filles et garçons de 18 à 30 ans en marge de la société, de s’extraire de leur quotidien pour participer à une réalisation collective et ainsi renouer avec le travail et les relations sociales. Fort de ces trois dispositifs, dont le dernier expérimental, le MJS s’efforce seul ou en mutualisant les moyens, de contribuer au double enjeu de l’employabilité et de la cohésion sociale par des actions qualitatives ciblées répondant aux objectifs de citoyenneté à la base de sa stratégie sectorielle. Situation de la petite fourmi de feu en Polynésie française Dans le cadre de sa mission de préservation de la biodiversité, la Direction de l'Environnement poursuit et développe son programme de lutte contre les espèces exotiques envahissantes. Articulé selon trois axes prioritaires, le plan d'actions de ce programme vise à : - une gouvernance efficace, en coordonnant des actions, relayant l'information et mobilisant toujours de nouvelles personnes ressources relais sur le sujet ; - former et sensibiliser un maximum de partenaires au sein d'un public-cible de professionnels, de particuliers et d'agents assermentés en s'appuyant sur des actions de sensibilisation ainsi que de nombreux supports produits ces dernières années (affiches, dépliants, films, etc) ; - gérer et lutter efficacement en développant des systèmes de réponses rapides à des invasions tout en coordonnant la mise en œuvre opérationnelle des plans d'action/île ainsi que le suivi périodique et l'évaluation des actions. C'est au sein de ce dernier axe que s'intègre l'opération de lutte contre la petite fourmi de feu (Wasmannia auropunctata). Trois îles demeurent infestées jusqu’à présent. L'île de Rurutu, où la lutte se poursuit sur les deux colonies connues, et dont la surface n'excède pas 5 hectares, ainsi que les îles du Vent, à Tahiti et Moorea, où la situation évolue et où la lutte continue de s'organiser. Des actions de grande ampleur ont été initiées à Moorea en 2013, à partir de données relatives à 4 colonies connues, et dont la surface totale cumulée n'excédait pas 15 hectares. Les résultats de l'application du protocole de lutte recommandé par le Programme Régional Océanien pour l'Environnement (PROE) se révèlent satisfaisants mais de nouvelles détections toutes récentes, de plus de 20 hectares laissent penser que l'éradication à Moorea n'est déjà plus envisageable. Il est à déplorer qu'en dépit de tous les efforts menés par le gouvernement à partir de 2004 et toute la médiatisation sur ce sujet durant les opérations dont le coût estimatif est de plus de 200 millions Fcfp, trois des quatre colonies de l'île sœur proviennent fort probablement de transferts de plantes depuis Mahina, zone initiale d'infestation en Polynésie française dans les années 90. Les perspectives de cette opération portent prochainement sur la mise en place de protocoles de suivi sur quelques zones témoins, afin de s'assurer au mieux de l'innocuité de ces interventions sur l'environnement et de poursuivre la recherche de nouvelles méthodes de lutte autant que possible. Il est dorénavant primordial de préserver indemne toutes les îles non contaminées jusqu'alors. Il est également important de limiter l'extension de cette fourmi sur les trois îles actuellement infestées en sachant que les principales sources de contamination se font par le biais de transferts de végétaux, de débris végétaux et de terre. Miss Tahiti dans "les chansons de ma vie" cet après-midi sur radio Polynésie 1ère 18/09/2015
Miss Tahiti dans "les chansons de ma vie" cet après-midi sur radio 1ère
Une invitée de marque aujourd'hui sur la 1ère radio ! Vaimiti Teiefitu, Miss Tahiti 2015, nous dévoilera les chansons qui ont marqué sa vie... RDV de 16h à 17 sur Polynésie 1ère radio avec Lolo dans « Les chansons de ma vie » Une émission à retrouver en podcast sur : http://polynesie.la1ere.fr/emissions…/les-chansons-de-ma-vie Compte rendu du Conseil des Ministres du 16 septembre 2015 16/09/2015
Subvention aux communes
La Délégation au Développement des Communes (DDC) a soumis plusieurs arrêtés à l’approbation du Conseil des ministres de ce jour. L’un d’entre eux concernait notamment la prorogation du délai de validité, de la réalisation et la construction de la maison de quartier prévue dans le quartier de Pinai, à Tipaerui, qui a ainsi été prolongé pour une période d’un an. Cette opération, d’un montant de 80 millions Fcfp, est financée conjointement par le Pays, la Commune et le CUCS. Plusieurs autres arrêtés portant sur l’attribution de subventions, dans les secteurs du sanitaire et social, du bâtiment et des aménagements, ou encore des transports et de l’acquisition d’engins pour cette année 2015 ont également été présentés en Conseil des ministres. Ils concernent les communes de Arue, Bora Bora, Faa’a, Hikueru, Hitiaa o te ra, Huahine, Makemo, Paea et Pirae. Ces opérations, d’un montant total de 740 millions Fcfp, seront financées principalement par le Pays (55%), mais aussi par les communes, le CUCS, l'Etat ou encore le FIP. Subvention de fonctionnement pour une étude sur les micro-réseaux intelligents Dans le cadre du partenariat entre la Polynésie française et l’ADEME sur la politique énergétique du Pays, une subvention doit être attribuée en faveur de l’Université de la Polynésie française (UPF) pour le financement d’une thèse d’études sur les micro-réseaux intelligents. Dans un contexte de transition énergétique visant à réduire la dépendance énergétique de la Polynésie française aux énergies fossiles, l’énergie photovoltaïque offre un potentiel de développement important. Cependant, le caractère intermittent et non contrôlable de cette source d’énergie peut présenter un frein à son exploitation. Il existe néanmoins des pistes pour palier ces problèmes d’instabilité et accroître la production d’énergie solaire. En effet, le couplage de systèmes de stockage et/ou de lissage aux installations photovoltaïques est un concept en pleine évolution. Ainsi, le contrôle et la gestion de la production constitue l’une des solutions qui peuvent être apportées. Il s’agit plus concrètement d’étudier la possibilité de réaliser un micro-réseau intelligent adapté aux besoins réels afin de lisser la consommation pour limiter les perturbations du réseau et en considérant également l’autoconsommation. Le projet envisagé doit permettre de réaliser une modélisation du réseau, gérant ses différents éléments de production, de stockage et de consommation, en considérant les bâtiments de l’UPF comme structure d’application. Cette modélisation sera opérée de telle manière à pouvoir être reproductible sur d’autres bâtiments ou ensemble de bâtiments. Vis à vis de l’usager, ces nouvelles solutions lui permettront de suivre et d’adapter en continu sa consommation en fonction de l’énergie disponible et de tranches tarifaires incitatives. Une facturation réelle (et non plus estimée) ainsi que des tarifs incitatifs pourront alors avantager l’usager de sa contribution au réseau. A une échelle plus large, ces solutions devront permettre de lisser les pointes de consommation les plus coûteuses et donc de réduire le coût global de l’énergie. Amélioration des performances de l’administration polynésienne Plusieurs dossiers ont été présentés, en Conseil des ministres, par le ministre du Tourisme, en charge de la modernisation de l’administration. Ceux-ci concernaient notamment la réduction des coûts et une transparence accrue, avec la mise en place d’un système de remboursement des frais occasionnés par les déplacements des agents sur présentation d’un justificatif et non plus de manière forfaitaire. Consécutivement à l'augmentation du SMIG, la revalorisation des grilles indiciaires des premiers grades des cadres d’emploi de catégorie D a également été abordée en Conseil des ministres. Dans le but d’obtenir une administration plus performante, il a aussi été proposé de pouvoir se doter de davantage de compétences en se donnant la possibilité de recruter des personnes expérimentées, dans le cadre de besoins spécifiques, avec la reconnaissance de leurs expériences professionnelles et notamment la reprise d’ancienneté des services effectués dans le secteur privé, comme par exemple pour certains cadres d’emplois de la filière santé. Enfin, toujours dans la recherche de l’amélioration des performances, il a été décidé d'élaborer des fiches métiers pour la gestion des emplois et des carrières, et ce afin d'améliorer la connaissance et l’analyse des métiers exercés dans les services et établissements publics administratifs et pour ainsi produire un plan de formation mieux adapté à la réalité du terrain. Projet de loi du Pays portant modification des articles de la partie législative du code de commerce relatifs aux soldes Après 4 années de mise en œuvre de la réglementation relative aux soldes, et sur la base des préconisations de la CCISM, des associations de commerçants et organisations patronales, le Conseil des ministres a proposé de faire évoluer le dispositif afin de le rendre plus efficace. Ainsi : - Il est proposé de modifier la fréquence et la durée des soldes pour permettre une plus grande flexibilité. Au lieu des 3 périodes de soldes d’une durée de 2 semaines chacune, il est proposé 2 ou 3 périodes de soldes, d’une durée de 2 à 6 semaines chacune ; - Le délai minimal de mise en vente et de paiement des produits annoncés comme soldés est ramené à 1 mois ; - Enfin, les soldes flottantes sont supprimées. Indice des prix à la consommation du mois d’août L'indice des prix à la consommation est en diminution de 1,0 % en août 2015 et s'établit à 107,73 essentiellement en raison de la baisse saisonnière des tarifs des transports aériens (- 18,6 %). Depuis le début de l'année, l'indice général est en baisse de 0,7 %. Sur la même période en 2014, il était en repli de 0,4 %. Cette situation laisse augurer une seconde année consécutive de déflation. Bilan des pêcheries thonières dans le Pacifique Occidental et Central La gestion des ressources thonières du Pacifique est effectuée par deux organisations régionales de gestion des pêches : - la Commission Interaméricaine du Thon Tropical (IATTC) qui gère le Pacifique Est (EPO) ; - la Commission des Pêches du Pacifique Occidental et Central (WCPFC) qui gère le Pacifique Occidental et Central (WCPO). De par sa position géographique centrale dans le Pacifique, la Polynésie française est concernée par ces 2 commisssions, mais observe les règles de gestion de la WCPFC. Du 5 au 13 août dernier, la Polynésie française a participé à la 11ème session du comité scientifique de la WCPFC à Pohnpei (Etats fédérés de Micronésie), durant laquelle le bilan provisoire des pêcheries thonières du Pacifique Occidental et Central en 2014 a été dressé. Dans la WCPO, les captures totales de thonidés (bonites, thons à nageoires jaunes, thons obèses et germons) en 2014 ont été estimées à 2 860 648 tonnes, représentant ainsi plus des 2/3 des captures mondiales, pour une valeur totale estimée à US$ 5 779 millions. A titre comparatif, les captures totales de thonidés réalisées par l’ensemble de la flottille professionnelle polynésienne (palangriers, poti marara et bonitiers) en 2014 ont été estimées à 7 500 tonnes, soit 0,26 % des captures de thonidés dans la WCPO. Le germon reste l’espèce la plus exploitée localement avec 4 300 tonnes, soit 3,2 % des captures totales de germons dans la WCPO qui sont estimées à 173 702 tonnes. Tahiti Fiesta 2015 : l’artisanat polynésien invité au Japon Le Conseil des ministres a autorisé le versement d’une subvention au profit du comité artisanal des Tuamotu – Gambier Te Mata keinanga pour leur participation à la Tahiti Festa organisée au Japon du 19 au 23 septembre 2015. Ainsi, durant cette période, 8 artisanes, spécialisées dans la vannerie et la mise en valeur de coquillages, exposeront dans le centre commercial Vénus Fort de Tokyo au Japon. Elles partageront leur savoir-faire durant leur séjour au travers de plusieurs ateliers de tressage, de fabrication de colliers et de costumes de danse. Cet événement s’inscrit pleinement dans la politique de soutien menée par le gouvernement en faveur de l’artisanat notamment en génèrant des retombées économiques et en participant à la promotion de la Polynésie française à l’international. Congrès international des Système d’Information Géographique Du 19 au 23 juillet dernier s’est tenu, à San Diego, le congrès international des SIG auquel a participé le ministre du Logement, de la Rénovation Urbaine, de la Politique de la Ville des Affaires Foncières et du Domaine, Tearii Alpha. Assisté de Bertrand Malet (chef de la division du cadastre) et d’Alexandre Amary (responsable SIG à la division du cadastre), le ministre s’est rendu à ce congrès de plus de 16 000 participants à l’invitation de la société ESRI, leader mondial des SIG, afin de recevoir un prix pour la réalisation de l’application OTIA. Cette application de gestion du cadastre polynésien, déployée depuis juillet 2014, est ouverte aux professionnels du foncier (notaires, géomètres, …) et sera accessible dans les communes à la fin de l’année, puis ouverte au grand public sur internet au premier semestre 2016. Outre la reconnaissance du travail réalisé par le Pays, cette invitation a surtout permis à la délégation polynésienne de partager les dernières connaissances techniques en matières de Système d’Information Géographique et de prendre contact avec les différents partenaires susceptibles de faire évoluer la Polynésie en ce domaine. Si pour tout un chacun le SIG est une superposition de couches cartographiques géo référencées, il est en réalité l’outil de gestion et d’analyse le plus performant et le plus accessible. Il est le maillon indispensable aux responsables pour la prise de décision et la gestion rationalisée des espaces. A ce titre, la délégation polynésienne a pris conscience de l’intérêt de développer un SIG global pour l’ensemble des services administratifs. Cette mission très enrichissante a également été l’occasion, pour le ministre, de prendre directement contact avec le président de ESRI International. Subventions aux fédérations et associations sportives Le ministère de la Jeunesse et des sports soutient les actions des fédérations et des associations sportives et de jeunesse. Ces structures sont le relais du service public que le ministère met en œuvre et, à ce titre, pour des missions d’intérêt général, elles peuvent bénéficier d’une subvention publique pour leur fonctionnement et investissement. Cette subvention servira notamment à financer : - la mise en œuvre des actions de promotion de l’activité physique et sportive et des actions d’animation de jeunesse - la formation des cadres associatifs - le perfectionnement des jeunes sportifs - la participation de l’association aux actions d’éducation, d’intégration et de cohésion sociale - la pratique compétitive de tout niveau Le ministre a indiqué que les fédérations, pourtant délégataires de service public, à qui on reconnait donc l’utilité d’intérêt général, reçoivent les subventions que très tardivement du fait de la lourdeur administrative des modalités d’octroi de ces subventions et que cette situation pénalisait fortement le fonctionnement et la dynamique des fédérations. Le ministre souhaite donc que l’optimisation du financement des fédérations soit un défi que le Pays relève et a ainsi réaffirmé sa volonté de signer, en 2016, des conventions pluriannuelles d’objectifs de quatre ans avec toutes les fédérations délégataires de service public. Présidence de la Fédération hospitalière régionale du Pacifique Sud La Fédération hospitalière française (FHF), créée en 1924, représente plus de 1000 hôpitaux et environ 3800 établissements médico-sociaux. Elle s'est construite autour de valeurs partagées : l'égal accès à des soins de qualité pour tous, la volonté d'innovation et d'excellence dans les soins et l’accompagnement, l'enseignement et la recherche, la continuité de la prise en charge. Elle travaille à la création d’un véritable service public de santé réunissant dans chaque territoire les professionnels des secteurs sanitaires et médico-sociaux afin d’améliorer la cohérence des parcours de soins et de vie. La FHF s’organise en fédérations régionales et le ministre de la Santé Patrick Howell préside celle de la région « Pacifique Sud » depuis le congrès qui s’est tenu au centre culturel Tjibaou, en Nouvelle-Calédonie, du 20 au 22 avril. Ce congrès a permis de réunir le conseil d’administration afin de valider le rapport moral et financier des exercices 2013 et 2014 et de procéder au renouvellement du bureau. La prise en compte des singularités culturelles et sociétales de nos usagers constitue un élément déterminant qui concourt à l’amélioration des prises en charge des patients. La formation des hospitaliers à des pratiques de soins différentes pour enrichir leur pratique au quotidien a aussi été évoquée. La FHF dans le Pacifique Sud entend également développer des synergies entre les acteurs de santé, via notamment certaines filières médicales préfigurant des pôles d’excellence, tels que radiothérapie, télémédecine, recrutements des personnels et certaines stratégies de santé publique (prévention, offre de soins, formation). 4èmes journées du patrimoine du Musée de Tahiti et des Îles – Te Fare Manaha Le ministre de la Culture a présenté au Conseil des ministres le programme des 4èmes journées du Patrimoine, organisées par le musée de Tahiti et des îles, à Punaauia. Les samedi 19 et dimanche 20 septembre 2015, le musée de Tahiti et des Îles organise en effet ses 4ème Journées du Patrimoine. L’entrée du musée (parc et salles d’expositions) sera entièrement gratuite, de 9h à 17h, afin de faire accéder à la culture un maximum de personnes, touristes comme résidents. Le thème retenu cette année est « Notre patrimoine : une histoire d’avenir ». Pour ces journées, plusieurs animations sont prévues en plus des traditionnelles visites guidées des salles d’exposition permanente, des réserves, du patio et du parcours ethnobotanique. L’accent est plus particulièrement mis sur les ateliers pour enfants qui seront au nombre de 7 répartis sur les 2 journées. Les adultes n’ont pas été oubliés, puisque 4 ateliers leur sont accessibles. Enfin, le musée, grâce au partenariat du GIE Tahiti Tourisme, proposera le samedi à la mi-journée un spectacle de ’ori tahiti. En outre, en marge de cette manifestation culturelle, le musée accueillera, le samedi 19 septembre, notre Miss Tahiti 2015 et ses dauphines qui ont souhaité être présentes pour une opération de sensibilisation de la population autour de notre océan et de notre beau lagon dans le cadre du soutien du projet polynésien à la COP 21 prévue en décembre 2015 à Paris. -o-o-o-o-o- EDT: Incidents sur le Réseau électrique de Rangiroa 16/09/2015
Des incidents sur le réseau ont provoqué des ruptures de l’alimentation électrique sur l’ensemble de l’île de Rangiroa depuis la semaine dernière, avec un dernier défaut dans la nuit de samedi à dimanche affectant Tiputa. EDT a dépêché de Papeete le dimanche 13 et le lundi 14 septembre 2015 : Deux équipes de dépannage, un groupe de secours (P250 ) afin de réparer le câble principal et réalimenter l’ensemble des clients, renforcer les moyens de
production en cas de nouveau défaut sur le réseau, et pouvoir procéder en toute sécurité aux travaux. L'usure du câble a amené EDT à lancer des travaux depuis lundi 13 septembre, pour le remplacement de ce tronçon de câble d'environ 1,5 km, pour un montant de l'ordre de 25 M.XPF. EDT précise qu’une expertise complète du câble sera effectuée par la société Laborelec en octobre, ce qui permettra de définir un programme préventif de renouvellement des tronçons du réseau. Il est à noter que l'étude Laborelec, comme les travaux de remplacement de câbles HT, nécessiteront des coupures temporaires de l'alimentation électrique. Une communication préalable aux coupures à l’occasion des travaux de rénovations sera effectuée par EDT. EDT remercie ses clients pour leur patience et leur compréhension et tient à s’excuser pour tous les désagréments causés lors de cette interruption involontaire de la distribution d’énergie. EDT remercie également la Commune et ses personnels pour leur réactivité et leur aide précieuse à la résolution la plus rapide possible de ces incidents. Historique : Le réseau électrique de Rangiroa comprend 11 km de câble souterrain haute tension, 14,400 V, avec une liaison par câble sous-marin entre AVATORU et TIPUTA ; Ce réseau a été installé au début des années 1990. La durée de vie de ce type de câble dépasse en général les 30 ans sans incident. Toutefois, des défauts sur le câble sont apparus à partir de 2014 à plusieurs reprises sur le tronçon Pupure - Ohotu, et ont amené EDT à remplacer le câble sur un tronçon de 1,5 km, pour un coût de l'ordre de 23 M.XPF. Le câble a été constaté comme usé, endommagé sur toute sa longueur. Mais à Rangiroa, on constate une usure avancée, alors que le câble n'a que 25 ans d'âge. L'APF publie son rapport d'activité 2014 14/09/2015
L'assemblée de Polynésie française publie son rapport d'activité 2014. L'ouvrage a été édité en 200 exemplaires.
L'exposition Fu Xiao Lan prolongée jusqu'au 19 septembre 14/09/2015
L'exposition Fu Xiao Lan organisée par la Maison de la Culture dans le cadre de du 150e anniversaire de l'arrivée des premiers Chinois à Tahiti est prolongée jusqu'au 19 septembre.
L'exposition est ouverte tous les jours de 9 heures à 18 heures, salle Muri Avai. Les démonstrations en "live" sont également maintenues tous les jours de 15 heures à 16 heures. Décès de Julien Faatauira : les condoléances du ministre de la Culture 14/09/2015
PAPEETE, 14 septembre 2015 - (COMMUNIQUE) Le ministre de la Culture, Heremoana Maamaatuaiahutapu adresse des condoléances aux proches de Julien Faatauira : "Je viens d'apprendre, avec tristesse, le départ de M. Julien Faatauira, qui nous a quittés dimanche après un long et courageux combat contre la maladie. Je voudrais présenter à sa famille, à ses proches, à ses collègues et amis du conservatoire et du monde des arts mes condoléances et celles de l'équipe de mon ministère.
Julien fut une grande figure du monde des arts traditionnels durant une quarantaine d'années. Grand danseur, créateur du groupe O Porinetia puis animateur culturel et enfin musicien émérite dans l'orchestre traditionnel de Te Fare Upa Rau durant plus de trente ans, il passera toute sa carrière à vivre et à transmettre sa culture avec passion. Une passion qu'il communiquera notamment à son fils, Hans Faatauira, médaillé d'or du conservatoire en percussions classiques, professeur et musicien tant dans le classique que le traditionnel. Que Julien puisse trouver le chemin de la Paix". Une quinzaine de policiers sont intervenus quartier Estall à Papeete samedi 13/09/2015
La bagarre qui, selon les forces de l'ordre "serait due à un différend entre un jeune du quartier Estall et un jeune du quartier Paraita" a éclaté samedi en début d'après-midi en limite des deux quartiers. Une quinzaine de policiers sont intervenus pour ramener le calme et récolter des témoignages. Ils sont restés sur place jusqu'au soir. Quatre personnes sont en garde à vue et trois procédures sont en cours.
Reo ma'ohi et plurilinguisme : conférence reportée au 15 octobre à l'UPF 09/09/2015
PRECISION : Les enseignants-chercheurs en langues océaniennes Jacques Vernaudon et Mirose Paia animent une conférence sur le thème "Langues polynésiennes et plurilinguisme : qu'avons-nous appris de dix ans d'enseignement expérimental en Polynésie française ?", dans le cadre des Conférences pour tous de l’Université, à Outumaoro, jeudi 15 octobre à 18 h 15.
Cette conférence était initialement programmée le 24 septembre mais a dû être reportée en raison de la cérémonie de rentrée solennelle de l'Université de Polynésie française. > Lire aussi : Reo ma'ohi : "si on ne fait rien, dans une génération nous aurons affaire à une langue morte" Compte rendu du Conseil des ministres du mercredi 9 septembre 2015 09/09/2015Assistance technique au Bureau des Affaires Européennes à la délégation des Affaires Internationales, Européennes et du Pacifique L’allocation du 10ème FED territorial prévoit des mesures de soutien à un appui budgétaire, qui se traduisent par l’élaboration de politiques sectorielles, une amélioration de la bonne gouvernance financière et un renforcement des capacités institutionnelles pour la bonne gestion des fonds européens. Dans ce cadre, la Polynésie française s’est engagée à améliorer ses capacités de pilotage, de mise en œuvre et d’évaluation de ses politiques publiques, générales et sectorielles, ainsi que sa maîtrise des instruments européens auxquels les PTOM peuvent prétendre. Cette consolidation vise notamment à une amélioration de sa performance et de son efficacité dans la gestion, la coordination et la conduite des programmes financés par l’Union Européenne. Un appel d’offre international a été passé pour le recrutement d’une assistance technique (AT) composée de deux experts, avec une date de démarrage fixée au 29 juillet 2015. Deux phases sont prévues : une première de 18 mois où la présence des experts est requise de manière continue sur le terrain et une seconde de 22 mois où une discontinuité de missions courtes permettra d’établir un diagnostic d’étapes, de parfaire les recommandations et de dispenser des formations complémentaires. Les principaux axes d’intervention de l’AT en appui au Bureau des Affaires Européennes sont : - Un établissement d’un état des lieux-diagnostic de l’organisation du dialogue interne et externe de la Polynésie française et du partenariat régional, suivi de recommandations et d’un accompagnement méthodologique au changement ; - Un accompagnement pour la préparation d’un plan d’actions pluriannuel du BAE et la révision annuelle du plan d’actions ; - Une organisation et animation de formations pour le personnel du Bureau mais aussi pour les porteurs de projets issus de l’administration (territoriale et communale), et de la société civile (organismes de recherche et associations); - Une assistance à l’élaboration d’une stratégie de communication destinée à promouvoir les actions, les valeurs et les normes européennes. Les termes de référence prévoient un comité de pilotage pour superviser et approuver l’orientation générale, le résultat de l’état des lieux-diagnostic et les recommandations, les projets de plan d’action pluriannuel, le planning des formations et la stratégie de communication des activités futures du Bureau des Affaires Européennes. L’ensemble des rapports d’actions et recommandations formulés par les experts sera soumis à la validation du comité de pilotage, avant leur mise en œuvre. Subvention ADIE Reconnue d’utilité publique, l’association est présente à Tahiti, Moorea, aux Îles sous le Vent, aux Îles Australes ainsi qu’aux Tuamotu. Depuis 2009 elle a permis l’accompagnement de 2344 porteurs de projets et le déblocage de 1829 microcrédits. Ce succès, l’ADIE le doit en partie à sa mission d’accompagnement des micro-entrepreneurs avant, pendant et après la création de leur entreprise pour en assurer la pérennité. Pour l’année 2015, le budget de l’ADIE s’élève à 106 144 354 F CFP et permettra : - La création d’une antenne à Rangiroa avec le recrutement d’un conseiller à temps plein, - Le renforcement de l’antenne de Tubuai et de celle de Hao, avec le recrutement d’un conseiller à mi-temps, - L’accompagnement, dans la durée, d’au moins 550 porteurs de projets financés. Pour financer ce plan d’action l’ADIE a sollicité : - La participation de l’Etat à hauteur de 23 866 340 F CFP, - Celle des communes (Papeete, Hao et Faa’a), à hauteur de 5,8 millions F CFP, - Celle de la Fondation Société Générale à 3 578 951 F CFP, - Et enfin celle du Pays, à 27 millions de F CFP. En devenant le premier partenaire financier public de l’ADIE le gouvernement a tenu à renouveler tous ses encouragements et sa confiance en l’équipe permanente soutenue au quotidien par 22 bénévoles. Arrêtés sur le code de la concurrence Pour faire suite à l’adoption des lois du pays n° 2015-2 du 23 février 2015 relative à la concurrence et n° 2015-4 portant réglementation des pratiques commerciales constituant la partie législative du code de la concurrence en Polynésie française, la conseil des ministres a, dans sa séance du 9 septembre 2015 adopté les mesures d’application qui constitueront la partie « Arrêtés » du code de la concurrence de la Polynésie française. Ces dispositions traitent principalement de l’organisation des procédures au sein de la future Autorité et notamment de celles assurant le secret des affaires et des règles d’instruction. Elles concernent également les modalités de notification et de publication des décisions et avis que l’Autorité aura à prendre ou formuler. Il est rappelé que les textes relatifs au code de la concurrence entreront en vigueur avec la nomination d’au moins trois membres du collège de l’Autorité polynésienne de la concurrence, dont le Président, du rapporteur général et d’un agent du service d’instruction. Les appels à candidature ayant été publiés, les nominations interviendront dans les toutes prochaines semaines. Mise à jour des listes des îles infestées par des maladies transmissibles des animaux Le conseil des ministres a approuvé l’arrêté modifiant : - la liste des îles infestées par des maladies transmissibles des animaux pour lesquelles la réglementation en matière de biosécurité s’applique dans le cadre des échanges interinsulaires ; - la liste des îles faisant l’objet d’un programme de lutte officielle contre les maladies transmissibles des animaux ; - la liste des animaux, produits animaux et supports susceptibles de porter ou de disséminer des micro-organismes pathogènes pour les animaux dont le transport est soumis à inspection ou à traitement en partance d’une île reconnue infestée vers une île reconnue non infestée, présumée indemne ou faisant l’objet d’un programme de lutte officielle. L’arrêté regroupe, tout en les actualisant, diverses mesures déjà existantes relatives à la lutte contre la babésiose bovine, la brucellose, la gastro-entérite du porc et la loque américaine des abeilles, pour une meilleure lisibilité par les usagers et les transporteurs. Concernant la loque américaine des abeilles, l’île de Raivavae est inscrit dans la liste des îles infestées. Les mesures prises pour les transports interinsulaires des produits apicoles des îles déclarées infestées vers les autres îles ont également été harmonisées. Des enquêtes vont très prochainement être effectuées à Raiatea et Maupiti suite à des signalements d’associations d’apiculteurs. Pour la protection des oiseaux endémiques des îles, sensibles à la chlamydiose aviaire, qui est une maladie transmissible à l’homme et détectée dans des pigeons à Paea au cours d’une enquête réalisée pour le pays par la SOP Manu, les oiseaux les plus sensibles (canards, oies, pigeons, loris), seront soumis à autorisation d’embarquement en direction des îles. Il est vivement recommandé de contacter le service du développement rural avant tout transport d’animaux vers les îles pour préserver l’état sanitaire des animaux dans les archipels. Réactivation du comité technique consultatif Le conseil des ministres a adopté un projet d’arrêté modifiant la composition du comité technique consultatif (CTC) institué auprès de l'inspection du travail en application de l’article LP 4631-1 du code du travail. Participant à l'élaboration de la politique de prévention des risques professionnels, ce comité peut être consulté sur toutes les questions intéressant l'hygiène, la sécurité et les conditions de travail. Il propose, dans ce cadre, au ministre chargé du travail toutes mesures susceptibles d'améliorer la santé, la sécurité et les conditions de travail. Il suscite par ailleurs et favorise toute initiative de nature à améliorer la prévention des risques professionnels. L’arrêté soumis à l’approbation du conseil des ministres tend principalement à apporter des précisions sur les cinq représentants des employeurs composant le CTC afin que ces derniers soient représentatifs des différentes branches professionnelles et notamment de celles particulièrement concernées par les risques professionnels les plus graves. Ainsi, les représentants des employeurs compteront au moins un représentant du secteur du bâtiment, un représentant du secteur du génie civil et un représentant du secteur de l’industrie. Modification du code du travail relatif aux travailleurs handicapés Le conseil des ministres a transmis au CESC un projet de loi du pays tendant à modifier les dispositions du code du travail se rapportant à l’insertion professionnelle des travailleurs handicapés. Bien que le principe d’une priorité d’emploi réservée aux travailleurs handicapés ait été fixé par la loi n° 86-845 du 17 juillet 1986 modifiée, il aura fallu attendre 2007 (loi du pays n° 2007-2 du 16 avril 2007) pour que l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés puisse se concrétiser, le texte de 1986 n’ayant pas fixé de quantum, ni précisé les modalités d’application des règles édictées. La mise en application d’une obligation d’emploi de travailleurs handicapés alors fixée à 4 % (avec un taux transitoire de 2 % pour les deux premières années), pour toute entreprise de 25 salariés et plus, a néanmoins très rapidement mis en exergue les constats suivants : - un nombre de travailleurs handicapés à insérer moins important que celui annoncé dans les travaux préparatoires de la loi du pays ; - des travailleurs handicapés peu formés ne pouvant correctement satisfaire les besoins des entreprises ; - une situation économique du pays provoquant l’aggravation des difficultés financières des entreprises et rendant difficile les recrutements. Avec l’accord des associations de personnes handicapées, le taux transitoire de 2 % sera, à titre dérogatoire, prolongé d’année en année, jusqu’en 2014 inclus par modifications successives de la loi du pays. Lors de la dernière demande de prorogation, l’Assemblée de la Polynésie française a demandé que lui soit présenté pour l’avenir un dispositif revu et ajusté à la réalité du nombre de travailleurs handicapés à insérer et du marché de l’emploi. C’est l’objet du projet de loi du pays, qui établit le taux de l’obligation d’emploi à 2 % jusqu’en 2017 et le passage à 4 % à compter de 2018. Sont par ailleurs introduites diverses modifications de nature à améliorer le dispositif ou à en faciliter la compréhension, parmi lesquelles : - La suppression de l’obligation d’apporter la preuve à la direction du travail que les représentants du personnel ont bien été informés de la déclaration annuelle d’emploi de travailleurs handicapés ; - L’exonération de l’obligation d’emploi pour certaines îles de moins de 2000 habitants ; - La simplification de la procédure de remise gracieuse ; - L’augmentation de la durée de validité de trois ans à cinq ans des agréments des travailleurs handicapés indépendants, des entreprises employant exclusivement des travailleurs handicapés et des établissements de travail protégé. Opération de rénovation à l’OPH L’OPH poursuit son programme de rénovation de son parc ancien. La présente opération consistera en : - la réfection des ouvrages d’assainissement des eaux usée des résidences Vaitemanu et Vaitavatava; - la rénovation de la charpente et toiture de la résidence Papatea ; - la rénovation du réseau d’adduction d’eau potable de la résidence Nahoata Ces travaux évalués à 127 MF permettront à ces anciennes résidences sociales de se conformer à la règlementation en vigueur dont les normes d’hygiène et de sécurité. Le coût de l'opération est financé à 100 % par le Pays. Les travaux seront réalisés sur une période de 10 mois. Mise en place de comités de suivis communaux des travaux d’aménagement des rivières Le conseil des ministres de ce jour a validé la proposition conjointe des Ministres de l'Equipement et de l'Environnement, consistant en la mise en place de futurs comités de suivis communaux des travaux de curage et d'aménagement des rivières de l'île de Tahiti. Le conseil des ministres a également pris acte de la constitution par la direction de l'équipement et de l'environnement d'une cellule curage qui aura pour mission de présenter dans les délais les plus brefs, un programme de curage des principales rivières à risque de l'île de Tahiti. Attribution d’une aide financière au profit du comité territorial de prévention et sécurité routière Les jeunes sont les premières victimes des accidents de la route en Polynésie française. En 2014, 48% des tués et 35% des blessés sur les routes avaient moins de 25 ans. Face à ce constat accablant, le gouvernement poursuit sa la lutte contre l’insécurité sur les routes au travers des actions de sensibilisation menées auprès des jeunes. L’éducation à la sécurité routière débute dès le plus jeune âge grâce à un programme de formation qui s’intitule le « continuum éducatif ». Grâce à un partenariat avec le comité territorial de prévention et sécurité routière, plus de 9.000 élèves des classes de 5ème, 3ème et 2de des collèges et lycées de Tahiti et Moorea seront ainsi formés aux règles de circulation et de sécurité (ceinture, alcool, règles du code de la route, etc.) durant l’année scolaire 2015-2016. Sur proposition du ministre en charge des transports terrestres, le Conseil des ministres a approuvé dans sa séance du 9 septembre 2015, l’attribution d’une aide financière au profit du comité territorial de prévention et sécurité routière afin qu’il puisse continuer ses actions de formations en milieu scolaire en Polynésie française. Le FIFO à Paris Depuis 2009, L’AFIFO organise chaque année une opération « Hors les Murs » à Paris qui permet de promouvoir le festival dans la capitale, et présenter des films primés, accompagnées de rencontres avec les réalisateurs, ou de conférences thématiques. Du Musée du Quai Branly au Muséum national d'Histoire naturelle de Paris, ces projections sont organisées dans des établissements culturels prestigieux, partenaires du FIFO, et d’année en année, la manifestation s’installe progressivement dans le paysage culturelle parisien. Pour cette édition, c’est « l’Archipel » qui a été retenu. Unique dans la capitale, l’Archipel est un ancien couvent du XIXe siècle. Il dispose d’une nef de 300m2, entourée d’alcôves, sur deux étages. L’espace, modulable, offre de nombreuses possibilités, en accord avec le programme que l’AFIFO souhaite promouvoir pour cette édition parisienne. En effet, en marge des projections le FIFO souhaite proposer un véritable voyage en Océanie. Une immersion culturelle, à travers les documentaires, mais également la musique, la danse, le tatouage, la littérature, la parole et la cuisine. Plusieurs animations sont prévues, notamment une prestation de danse du groupe ‘O tahiti Nui’, une performance de Ukulele par Tea Paraurahi, et un Haka du XV bataillon du Pacifique. Une exposition de photos et d’art aborigènes, ainsi que des installations d’un artiste Néo-Zélandais seront proposées dans la nef, accompagnées d’une conférence de Barbara Glowszewski, directrice de recherche au CNRS, reconnue pour ses travaux sur l’Art aborigène. Enfin, les auteurs et poètes calédoniens, Paul Wamo et Denis Pourawa animeront une conférence et proposeront un slam. L’institut du Monoi, la Vanille de Tahiti, un tatoueur marquisien et deux maisons d’éditions du Pacifique tiendront également des stands dans les alcôves, alliant tatouages, senteurs, images et écrits de la Polynésie. C’est donc un programme très complet qui sera proposé au public parisien, qui leur permettra de s’immerger dans les cultures de l’Océanie. Si la manifestation rencontre le succès qu’elle mérite, l’AFIFO souhaite instaurer l’événement annuellement au sein de l’Archipel, et développer des partenariats avec les communautés océaniennes de la capitale. Au travers de l’AFIFO, d’ATN et de la délégation de la Polynésie à Paris, la Polynésie se retrouve au cœur d’une belle opération de promotion des cultures de l’Océanie, regroupant également la Calédonie, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Loi de Pays portant reconnaissance des professions artistiques. Le Ministre de la Culture a présenté au conseil des ministres un projet de loi du pays ayant pour objet la mise en œuvre en faveur de la communauté artistique de certaines propositions issues de la consultation HONORAHU’A. Lancée en juin 2014, cette opération a été l’occasion pour les acteurs du monde de la culture et des arts de formuler des propositions visant, dans le prolongement de la réflexion menée en 2009 lors des états généraux de la culture, à donner un nouveau souffle à la politique culturelle. Ces propositions s’articulent autour de trois axes de réflexion que sont : la reconnaissance du statut de l’artiste, le soutien à l’économie de la culture et la valorisation du patrimoine immatériel. Le projet de « loi du pays » présenté a pour objet de mettre en œuvre les deux premiers axes. Cette reconnaissance du statut des artistes est un symbole fort, pour les artistes, mais également pour l’ensemble de la société. Le texte sera soumis au Conseil Economique et Social, puis à L’Assemblée de la Polynésie Française, comme le veut la procédure. cy[ Avis à la population de Faaa 07/09/2015
FAAA, le 07/09/2015 - (Communiqué de la mairie) Dans le cadre du plan de communication sur la thématique des déchets, les élus et les techniciens rencontrent la population jusqu'au 10 septembre, pour leur informer de l'augmentation et des nouvelles modalités de facturation des déchets. Ils se rendront dans les quartiers suivant :
MARDI 8 SEPTEMBRE 2015 : À partir de 18 heures à la DEST route Tefana i Ahurai – Vaitea (Saint Hilaire) ; puis à la résidence Cowan à Pamatai et enfin au fare amuira’a Tarirea à Fanatea. MERCREDI 9 SEPTEMBRE 2015 : À partir de 18 heures au terrain familial Mai, Batipol ; à partir de 18h30 sur le parking du Dock – Hangar de Juliane Mati et à partir de 19 heures sur le parking du magasin Nuutania JEUDI 10 SEPTEMBRE 2015 : À partir de 18 heures sur le terrain à côté du magasin Mara – Oremu 2 puis sur le terrain du quartier Barff (chez mami Rauru) et enfin au fare amuira’a Tiroama à Heiri. Pour toutes informations complémentaires, merci de bien vouloir prendre contact auprès du service Communication au 40 80 09 60. 14ème édition du Raid Painapo : les inscriptions s'ouvrent ce lundi 06/09/2015
MOOREA, le 6 septembre 2015. Le Te Moorea Club informe que la 14ème édition du Raid Painapo est organisée le samedi 19 septembre 2015 sur l’île de Moorea. Course par équipe de 2 ouverte aux licenciés et non licenciés en athlétisme. Les inscriptions sont ouvertes du 7 au 16 septembre.
Course Toa (19,5km) : à partir de 18 ans (né en 1997). Course Arearea (6km) : à partir de 15 ans (né en 2000). Arrivée à la plage publique de Temae. Bureau d’inscription du 7 au 16 septembre : • Papeete : quai des ferries 1er étage (de 08h00 à 17h00). • Moorea : antenne de la Direction de la Jeunesse et Sports Paopao (de 07h30 à 15h30). Dernier délai pour les inscriptions : Papeete - 16/09 à 17h00 et Moorea - 16/09 à 15h30. Inscription et paiement possible sur Klikego.com/raid Painapo 2015. Fournir un certificat médical de non contre-indication à la pratique de la course à pied daté de moins d’un an (sauf licencié athlétisme) et une autorisation parentale pour les mineurs. Les licenciés triathlon devront fournir une copie de leur licence. Rappel des horaires du raid 05h00 = convocation des athlètes au quai de Papeete 05h20 = briefing de course 05h30 = embarquement Aremiti 5 athlètes course TOA uniquement 05h30 = embarquement Aremiti Ferry athlètes course AREAREA + familles + clients Aremiti 07h30 = départ des deux courses 12h00 = remise des prix 13h00 = concert 14h30 = fin du concert 14h35 = départ des bus vers le quai 15h30 = départ Aremiti Ferry Attention : Obligation d’avoir 3 litres d’eau/participant au départ et temps limite 3h00. Tout athlète courant seul sans son coéquipier se verra déclassé automatiquement. Le 96ème Hiro'a vient de paraître ! 03/09/2015
Le nouvel Hiro'a propose un dossier consacré au fonds Danielsson conservé au Service du patrimoine archivistique et audiovisuel : son importance historique, culturelle et affective. Le Service de l’artisanat traditionnel qui met en valeur les créations de Rapa est aussi à l'honneur ce mois-ci, de même que les trésors qui sont conservés dans les réserves du Musée de Tahiti et des îles, et auxquels le public aura accès comme chaque année dans le cadre des Journées Européennes du patrimoine. Le journal a choisi par ailleurs de mettre à l'honneur les nombreuses initiatives culturelles privées : la communauté chinoise qui partage son histoire et son art avec nous et expose à la Maison de la culture, le Conservatoire artistique qui fait œuvre de bienfaisance en soutenant le concert de la paix et qui ouvre une nouvelle classe d’éveil musical, les artisanes en représentation au Japon. Enfin, la rédaction a porté sons attention sur le Centre des métiers d’art qui ouvre ses formations aux auditeurs libres, le Service de la culture dont le travail est enfin récompensé par l’avis favorable émis par le Comité national des biens français, le Petit Théâtre refait à neuf et les jardins d’Atea à découvrir en visites guidées.
Hura Tapairu 2015 : une réunion d'information se tiendra le 14 septembre prochain 03/09/2015
PAPEETE, le 03/09/2015 - Te Fare Tauhiti Nui - Maison de la Culture organise une réunion d’information pour le concours de danse Hura Tapairu. Cette réunion est ouverte à tous les groupes inscrits ou intéressés et se tiendra le lundi 14 septembre 2015 à 17h00 dans le Petit Théâtre en présence des organisateurs et de membres du jury.
Ce concours, qui en est à sa 11ème édition, aura lieu au Grand Théâtre du 26 novembre au 05 décembre 2015. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au lundi 19 octobre 2015 à 12h00. Le Hura Tapairu est à destination des petites formations de danse, et axé sur la liberté de création. Plusieurs catégories sont ouvertes en concours : Hura tapairu (‘ote’a et ‘aparima), Mehura, et en concours facultatifs ‘Ori tahito vahine et ‘Ori tahito tane. Une nouvelle catégorie fait son apparition cette année, et le niveau de certains prix ont été relevés pour un cahier des prix de 2 900 000 francs à remporter. La dernière édition a réuni 34 formations qui ont mis toute leur énergie pour offrir 8 magnifiques soirées de concours dont une partie à guichet fermé. Les dossiers d’inscriptions et les règlements peuvent être téléchargés sur le site de la Maison de la Culture. |
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