Tahiti le 2 décembre 2025. Les gendarmes de la Brigade de Recherches (BR) de la compagnie de gendarmerie des Iles du Vent, appuyés par toutes les unités du commandement de la gendarmerie pour la Polynésie française, ont mis fin à un important réseau de trafiquants de méthamphétamine, aussi appelée ice, qui irriguait Mahina et Punaauia.
L’enquête judiciaire conduite sous commission rogatoire, a mis au jour l’existence d’un réseau structuré et organisé qui importait le produit stupéfiant depuis les États-Unis à l’aide de mules ou de colis postaux et l’écoulait sur le Fenua.
Après plusieurs mois d’enquête minutieuse, permettant d’identifier le rôle de chacun au sein du réseau, la gendarmerie a procédé, mi-novembre, à l’interpellation de 9 individus. Lors des perquisitions menées au domicile des mises en cause, les gendarmes ont découvert 91.7 grammes d’ice, du matériel destiné à la consommation et à la revente, des plants de cannabis ainsi que des devises étrangères. À cela s’ajoutent la saisie de plusieurs véhicules et de comptes bancaires pour un montant total estimé à 38 millions de francs pacifiques (soit 318 441 euros) dont 15 millions (125,700 euros) sur les comptes bancaires.
À l’issue de leurs gardes à vue, 4 personnes ont été mises en examen et placées en détention provisoire.
L’enquête judiciaire conduite sous commission rogatoire, a mis au jour l’existence d’un réseau structuré et organisé qui importait le produit stupéfiant depuis les États-Unis à l’aide de mules ou de colis postaux et l’écoulait sur le Fenua.
Après plusieurs mois d’enquête minutieuse, permettant d’identifier le rôle de chacun au sein du réseau, la gendarmerie a procédé, mi-novembre, à l’interpellation de 9 individus. Lors des perquisitions menées au domicile des mises en cause, les gendarmes ont découvert 91.7 grammes d’ice, du matériel destiné à la consommation et à la revente, des plants de cannabis ainsi que des devises étrangères. À cela s’ajoutent la saisie de plusieurs véhicules et de comptes bancaires pour un montant total estimé à 38 millions de francs pacifiques (soit 318 441 euros) dont 15 millions (125,700 euros) sur les comptes bancaires.
À l’issue de leurs gardes à vue, 4 personnes ont été mises en examen et placées en détention provisoire.
































