Tahiti, le 27 novembre 2025 – Titaina Lehartel, cheffe de cabinet du ministre de l’Éducation, Ronny Teriipaia, serait sur le point d’être “démissionnée” sur volonté du président Brotherson. On lui reprocherait son rôle dans l’affaire du collège de Tubuai et de la suspension du principal de l’établissement, Willy Vaiho. Certains avancent qu'elle n'aurait eu "aucunes explications".
La cheffe de cabinet du ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Culture, Titaina Lehartel, aurait été, selon nos informations, “poussée à démissionner” de son poste par le président du Pays, Moetai Brotherson. Finalement la présidence a eu gain de cause puisque, toujours selon nos informations, cette collaboratrice proche de Ronny Teriipaia, a déposé sa démission la semaine dernière, nous a-t-on assuré.
Une démission qui devrait normalement prendre effet mi-décembre, sous réserve d’être actée par le président du Pays, Moetai Brotherson. En attendant, toujours selon nos sources, la jeune femme n’est plus au ministère puisqu’elle épuise actuellement ses congés avant de réintégrer son poste dans l’enseignement en tant que conseillère principale d’éducation (CPE).
Selon certaines sources, on lui reprocherait d’être à l’origine des problèmes qui ont ébranlé le collège de Mataura à Tubuai avec notamment la suspension du principal de l’établissement, Willy Vaiho.
Du côté de l’administration du Pays on nous précise que“ pour le personnel d’encadrement comme les inspecteurs ou les chefs d’établissement, les mesures disciplinaires sont prises par la Direction de l’encadrement à Paris”.
La cheffe de cabinet du ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Culture, Titaina Lehartel, aurait été, selon nos informations, “poussée à démissionner” de son poste par le président du Pays, Moetai Brotherson. Finalement la présidence a eu gain de cause puisque, toujours selon nos informations, cette collaboratrice proche de Ronny Teriipaia, a déposé sa démission la semaine dernière, nous a-t-on assuré.
Une démission qui devrait normalement prendre effet mi-décembre, sous réserve d’être actée par le président du Pays, Moetai Brotherson. En attendant, toujours selon nos sources, la jeune femme n’est plus au ministère puisqu’elle épuise actuellement ses congés avant de réintégrer son poste dans l’enseignement en tant que conseillère principale d’éducation (CPE).
Selon certaines sources, on lui reprocherait d’être à l’origine des problèmes qui ont ébranlé le collège de Mataura à Tubuai avec notamment la suspension du principal de l’établissement, Willy Vaiho.
Du côté de l’administration du Pays on nous précise que“ pour le personnel d’encadrement comme les inspecteurs ou les chefs d’établissement, les mesures disciplinaires sont prises par la Direction de l’encadrement à Paris”.
“Aucunes explications, c’est le flou total”
Toujours selon nos informations, cette proche collaboratrice du ministre de l’Éducation ne saurait rien des raisons qui ont conduit la présidence à la “démissionner”. “Elle n’a rien compris et ne comprend toujours pas cette décision et surtout elle n’aurait eu aucunes explications. C’est le flou total”, nous dit-on du côté de l’administration.
Certains fonctionnaires du Pays avancent même qu’elle n’aurait pas dû démissionner et laisser le président l’a démissionné. Après, c’est vrai que ça n’aurait pas du tout eu la même résonnance car cela aurait été considéré comme un licenciement et donc cela aurait exigé d’elle une faute grave, alors qu’il n’en est rien.”
“Mais à qui profite le crime ?”, s’interrogent même certains fonctionnaires en rappelant le cas de l’ancienne vice-présidente du Pays, Éliane Tevahitua, démise de ses fonctions par Moetai Brotherson. “Apparemment ce n’est pas la qualité de son travail qui est remise en question.”Toujours selon nos sources, le ministre de l’Education, de l’Enseignement supérieur et de la Culture Rony Teriipaia aurait même mis sa démission dans la balance.
Contacté le ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Culture, Ronny Teriipaia, n’a pas voulu s’exprimer, préférant nous orienter vers la présidence. On nous y explique que dans cette affaire, “il y a un souhait de fin de fonction donc une démission (…). Ce sont des actes qui arrivent tous les jours. Les raisons de telles ou telles fin de fonction, on ne les a pas et même quand on les a on ne peut pas en parler. Si cette fin de fonction est actée et signée ; mais à ma connaissance elle ne l’est pas pour l’instant”.
Titaina Lehartel occupait le poste de cheffe de cabinet du ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Culture depuis le 15 mai 2023.
Certains fonctionnaires du Pays avancent même qu’elle n’aurait pas dû démissionner et laisser le président l’a démissionné. Après, c’est vrai que ça n’aurait pas du tout eu la même résonnance car cela aurait été considéré comme un licenciement et donc cela aurait exigé d’elle une faute grave, alors qu’il n’en est rien.”
“Mais à qui profite le crime ?”, s’interrogent même certains fonctionnaires en rappelant le cas de l’ancienne vice-présidente du Pays, Éliane Tevahitua, démise de ses fonctions par Moetai Brotherson. “Apparemment ce n’est pas la qualité de son travail qui est remise en question.”Toujours selon nos sources, le ministre de l’Education, de l’Enseignement supérieur et de la Culture Rony Teriipaia aurait même mis sa démission dans la balance.
Contacté le ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Culture, Ronny Teriipaia, n’a pas voulu s’exprimer, préférant nous orienter vers la présidence. On nous y explique que dans cette affaire, “il y a un souhait de fin de fonction donc une démission (…). Ce sont des actes qui arrivent tous les jours. Les raisons de telles ou telles fin de fonction, on ne les a pas et même quand on les a on ne peut pas en parler. Si cette fin de fonction est actée et signée ; mais à ma connaissance elle ne l’est pas pour l’instant”.
Titaina Lehartel occupait le poste de cheffe de cabinet du ministre de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Culture depuis le 15 mai 2023.
