Louis Provost, président du COPF
Nous l’évoquions dans un article paru en début de semaine, une assemblée générale du comité olympique de Polynésie française devait être convoquée ce jeudi soir. Cette assemblée visait à faire voter l’adoption les nouveaux statuts de l’organisation qui regroupe les fédérations sportives de Polynésie.
Les nouveaux statuts, proposés par le gouvernement, prévoient que seules les fédérations délégataires de service public pourront siéger et voter au COPF, dont le président est, rappelons-le, Louis Provost. Pour obtenir une délégation de service public et les subventions qui vont avec, les fédérations doivent présenter un dossier décrivant leur champ d’action et leurs objectifs.
Il s’agissait donc pour les instances gouvernementales de pouvoir contrôler un peu mieux l’utilisation des fonds publics. Les nouveaux statuts devaient être votés à une majorité des deux-tiers, ce qui a été le cas. Avant ce vote, les fédérations pouvaient perdre leur délégation de service public mais elles conservaient leur agrément, ce qui leur permettait de pouvoir continuer à exister à l'international, ce qui a généré divers problèmes. (voir article) SB
Les nouveaux statuts, proposés par le gouvernement, prévoient que seules les fédérations délégataires de service public pourront siéger et voter au COPF, dont le président est, rappelons-le, Louis Provost. Pour obtenir une délégation de service public et les subventions qui vont avec, les fédérations doivent présenter un dossier décrivant leur champ d’action et leurs objectifs.
Il s’agissait donc pour les instances gouvernementales de pouvoir contrôler un peu mieux l’utilisation des fonds publics. Les nouveaux statuts devaient être votés à une majorité des deux-tiers, ce qui a été le cas. Avant ce vote, les fédérations pouvaient perdre leur délégation de service public mais elles conservaient leur agrément, ce qui leur permettait de pouvoir continuer à exister à l'international, ce qui a généré divers problèmes. (voir article) SB
