L'affaire de l'agression filmée et diffusée sur les réseaux sociaux, survenue en août a été renvoyée, pour la deuxième fois, au 4 décembre.
Tahiti, le 27 octobre 2025 - L'affaire de l'agression filmée et diffusée sur les réseaux sociaux, survenue le 25 août dernier près d'une école de Papeete, a été renvoyée jeudi pour la deuxième fois, cette fois au 4 décembre.
Le prévenu, un homme de 26 ans au casier judiciaire vierge et dont la vidéo violente était devenue virale, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire strict après deux mois de détention provisoire. Auparavant, l’auteur des coups affirmait avoir agi impulsivement. Il aurait réagi à un “harcèlement” envers sa compagne.
L'affaire avait été une première fois renvoyée au 27 octobre pour un problème de procédure, la Caisse de prévoyance sociale n'ayant pas encore été constituée partie civile dans le dossier.
Lors de l'audience de ce lundi, l'avocate du prévenu, Me Viviane Genot, a plaidé pour sa libération, mettant en avant son casier vierge, sa situation familiale stable avec deux enfants en bas âge et son parcours professionnel avant l’agression. Le parquet s'est opposé, invoquant les risques de pression liés à la diffusion des images de l’agression et la proximité de son domicile avec le lieu des faits, près de l’école Heitama à Papeete.
Le président du tribunal correctionnel a finalement accédé à la demande de libération. Le prévenu devra pointer hebdomadairement au commissariat et tout contact avec la victime ou approche de l'établissement scolaire lui est interdit.
Le prévenu, un homme de 26 ans au casier judiciaire vierge et dont la vidéo violente était devenue virale, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire strict après deux mois de détention provisoire. Auparavant, l’auteur des coups affirmait avoir agi impulsivement. Il aurait réagi à un “harcèlement” envers sa compagne.
L'affaire avait été une première fois renvoyée au 27 octobre pour un problème de procédure, la Caisse de prévoyance sociale n'ayant pas encore été constituée partie civile dans le dossier.
Lors de l'audience de ce lundi, l'avocate du prévenu, Me Viviane Genot, a plaidé pour sa libération, mettant en avant son casier vierge, sa situation familiale stable avec deux enfants en bas âge et son parcours professionnel avant l’agression. Le parquet s'est opposé, invoquant les risques de pression liés à la diffusion des images de l’agression et la proximité de son domicile avec le lieu des faits, près de l’école Heitama à Papeete.
Le président du tribunal correctionnel a finalement accédé à la demande de libération. Le prévenu devra pointer hebdomadairement au commissariat et tout contact avec la victime ou approche de l'établissement scolaire lui est interdit.































