PAPEETE, le 28 décembre 2018 - La ministre de l’Éducation a tranché, l'élève qui a frappé sa professeure de Physique-chimie au lycée de Taravao, début décembre, est définitivement exclu de l'établissement. Il a été affecté dans un autre lycée public.
La ministre de l’Éducation s'est enfin positionnée sur cette affaire qui a fait couler beaucoup d'encre ces dernières semaines.
"Au regard des faits et des témoignages, la ministre de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports souhaite un retour aux conditions d’un climat scolaire serein au lycée Taiarapu Nui. Le maintien de l’élève dans l’établissement ne garantirait pas un apaisement de la situation, la sanction proposée (exclusion temporaire) ne respectant pas le principe de proportionnalité par rapport à la faute commise", indique le communiqué de la Présidence.
De plus, un acte de violence sur un enseignant n'est pas tolérable. "L’institution scolaire a le devoir de protéger la collectivité scolaire de tout acte de violence, ceux-ci ne permettant pas le bon déroulement des apprentissages. Dans le même temps, elle doit garantir la scolarisation de l’élève exclu dans un autre établissement avec un accompagnement spécifique concerté avec la famille pour éviter la récidive", poursuit le communiqué.
>>> À lire aussi Le sort de l'élève toujours en suspens <<<
La ministre de l’Éducation s'est enfin positionnée sur cette affaire qui a fait couler beaucoup d'encre ces dernières semaines.
"Au regard des faits et des témoignages, la ministre de l’Éducation, de la Jeunesse et des Sports souhaite un retour aux conditions d’un climat scolaire serein au lycée Taiarapu Nui. Le maintien de l’élève dans l’établissement ne garantirait pas un apaisement de la situation, la sanction proposée (exclusion temporaire) ne respectant pas le principe de proportionnalité par rapport à la faute commise", indique le communiqué de la Présidence.
De plus, un acte de violence sur un enseignant n'est pas tolérable. "L’institution scolaire a le devoir de protéger la collectivité scolaire de tout acte de violence, ceux-ci ne permettant pas le bon déroulement des apprentissages. Dans le même temps, elle doit garantir la scolarisation de l’élève exclu dans un autre établissement avec un accompagnement spécifique concerté avec la famille pour éviter la récidive", poursuit le communiqué.
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