PAPEETE, le 11 mars 2015. (COMMUNIQUE DE LA PRESIDENCE) La ministre en charge de la condition féminine, Tea Frogier, en présence du député Maina Sage, a participé, mercredi, matin à la Journée mondiale de la femme organisée par la Polynésienne des eaux, dans les jardins de l’Assemblée de Polynésie française. Cette manifestation, entièrement dédiée aux femmes et à l’eau, évoque les problématiques environnementales et les changements climatiques.
« Dédiée à la femme et à l’environnement, cette initiative arrive à un moment clé de l’action de notre gouvernement, qui s’emploie à garantir la mise en place d’un Plan Climat Energie. Très concrètement, il s’agit de concevoir un programme d’actions durables en matière d’économie d’énergie, de promotion des énergies renouvelables et d’adaptation aux changements climatiques », a expliqué Tea Frogier.
Pour la Polynésie française, forte d’une zone économique exclusive de 5 millions de km², la stabilité du climat est importante,celle-ci conditionnant inéluctablement la préservation du patrimoine naturel polynésien. La Polynésie compte 1/1000 de terres émergées, seul un tiers d’entre elles se situant en zone côtière « basse », où sont principalement concentrées la population et l’activité économique (tourisme, perliculture, pêche et agriculture).
« Nous figurons parmi les territoires les plus vulnérables au monde. Inéluctablement, la société polynésienne subit d’ores et déjà les effets pernicieux du changement climatique », a souligné la ministre avant d’annoncer la participation de la Polynésie française à la conférence COP-21 sur le climat, à la fin de l’année, à Paris,dont l’enjeu sera de définir une convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, permettant de contenir le réchauffement climatique à 2 degrés supplémentaires d’ici à 2100.
Pour Tea Frogier, les femmes comprennent très bien les enjeux du changement climatique et peuvent jouer un rôle moteur dans la mise en œuvre de mesures d’accompagnement. « Les femmes sont les gardiennes de nos cultures, ce sont elles qui transmettent majoritairement à nos enfants toutes les belles valeurs qui forgent notre identité ; au même titre que les savoirs et savoir-faire, transmis de génération en génération, et recréés en permanence qui, tout en nous procurant un sentiment de continuité, participent aux exigences du développement durable »,a mis en exergue la ministre.
Pour lire le Discours de Tea Frogier, cliquez ici
« Dédiée à la femme et à l’environnement, cette initiative arrive à un moment clé de l’action de notre gouvernement, qui s’emploie à garantir la mise en place d’un Plan Climat Energie. Très concrètement, il s’agit de concevoir un programme d’actions durables en matière d’économie d’énergie, de promotion des énergies renouvelables et d’adaptation aux changements climatiques », a expliqué Tea Frogier.
Pour la Polynésie française, forte d’une zone économique exclusive de 5 millions de km², la stabilité du climat est importante,celle-ci conditionnant inéluctablement la préservation du patrimoine naturel polynésien. La Polynésie compte 1/1000 de terres émergées, seul un tiers d’entre elles se situant en zone côtière « basse », où sont principalement concentrées la population et l’activité économique (tourisme, perliculture, pêche et agriculture).
« Nous figurons parmi les territoires les plus vulnérables au monde. Inéluctablement, la société polynésienne subit d’ores et déjà les effets pernicieux du changement climatique », a souligné la ministre avant d’annoncer la participation de la Polynésie française à la conférence COP-21 sur le climat, à la fin de l’année, à Paris,dont l’enjeu sera de définir une convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, permettant de contenir le réchauffement climatique à 2 degrés supplémentaires d’ici à 2100.
Pour Tea Frogier, les femmes comprennent très bien les enjeux du changement climatique et peuvent jouer un rôle moteur dans la mise en œuvre de mesures d’accompagnement. « Les femmes sont les gardiennes de nos cultures, ce sont elles qui transmettent majoritairement à nos enfants toutes les belles valeurs qui forgent notre identité ; au même titre que les savoirs et savoir-faire, transmis de génération en génération, et recréés en permanence qui, tout en nous procurant un sentiment de continuité, participent aux exigences du développement durable »,a mis en exergue la ministre.
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