C’est la première fois qu’une compétition de la world surf league était proposée sur la vague artificielle développée par Kelly Slater en Californie. C’était une première historique pour le monde du surf de compétition. « Un rêve depuis dix ans, semé de doutes » pour le 11 fois champion du monde et légende de la discipline Kelly Slater.
Cette compétition préfigure la huitième étape du championnat mondial 2018 qui s’y déroulera du 6 au 9 septembre 2018, après Teahupo’o. Cinq équipes étaient représentées, constituées chacune de trois surfeurs et deux surfeuses. A l’issue de la première journée, le team USA était en première place, suivi par le team Australie, le team World, le team Brazil et le team Europe.
Mais lors de la deuxième journée, Michel Bourez et son « team World », ont pu faire la différence grâce aux excellents scores de Jordy Smith (9.27 et 7.50). Michel Bourez avait obtenu de bons scores dans la phase qualificative avec 8.80 ou 7.50 sur 10. Gabriel Medina (9.07, 9.67) et Kelly Slater (8.00, 9.00) ont totalisé les meilleurs scores de la phase finale.
Cette compétition préfigure la huitième étape du championnat mondial 2018 qui s’y déroulera du 6 au 9 septembre 2018, après Teahupo’o. Cinq équipes étaient représentées, constituées chacune de trois surfeurs et deux surfeuses. A l’issue de la première journée, le team USA était en première place, suivi par le team Australie, le team World, le team Brazil et le team Europe.
Mais lors de la deuxième journée, Michel Bourez et son « team World », ont pu faire la différence grâce aux excellents scores de Jordy Smith (9.27 et 7.50). Michel Bourez avait obtenu de bons scores dans la phase qualificative avec 8.80 ou 7.50 sur 10. Gabriel Medina (9.07, 9.67) et Kelly Slater (8.00, 9.00) ont totalisé les meilleurs scores de la phase finale.
Pour chaque phase, chaque compétiteur surfait deux vagues, une en gauche, une en droite, pour tenter de permettre à son team de s’imposer. Les deux notes sur dix (droite et gauche) des cinq athlètes de chaque team permettait de constituer un total sur 100. Le team World termine finalement premier devant le team Brazil et le team USA.
Les réactions sur la toile ont été nombreuses, certaines trouvant la vague artificielle « ennuyeuse » à regarder, regrettant l’absence de certains facteurs qui faisaient le charme des compétitions de surf : lecture de la vague, stratégie etc…D’autres ont salué cette évolution en y voyant l’aspect ludique, ouvrant un champ de possibilités immense quant à l’avenir et à la démocratisation de la discipline.
La championne du monde Stéphanie Gilmore a déclaré que cette première « ouvrait un nouveau champ de possibilités dans les compétitions en « conditions contrôlées », compte tenu de notre relation amour-haine avec l’océan qui nous donne ou pas les vagues quand nous le souhaitons. Aussi longtemps qu’il y aura un bon équilibre entre « ça » et l’océan, je pense que les deux pourront très bien se compléter. » SB / WSL
Les réactions sur la toile ont été nombreuses, certaines trouvant la vague artificielle « ennuyeuse » à regarder, regrettant l’absence de certains facteurs qui faisaient le charme des compétitions de surf : lecture de la vague, stratégie etc…D’autres ont salué cette évolution en y voyant l’aspect ludique, ouvrant un champ de possibilités immense quant à l’avenir et à la démocratisation de la discipline.
La championne du monde Stéphanie Gilmore a déclaré que cette première « ouvrait un nouveau champ de possibilités dans les compétitions en « conditions contrôlées », compte tenu de notre relation amour-haine avec l’océan qui nous donne ou pas les vagues quand nous le souhaitons. Aussi longtemps qu’il y aura un bon équilibre entre « ça » et l’océan, je pense que les deux pourront très bien se compléter. » SB / WSL