PAPEETE, le 21 janvier 2016. Jeudi soir vers 18H, la grande famille du surf Polynésien était conviée à la Présidence pour une cérémonie de remise des prix en présence du Président du Pays Mr Edouard Fritch et de plusieurs membres du gouvernement dont Niuhau Laurey, Nicole Sanquer et Jean-Christophe Bouissou. C’est Lionel Teihotu, récemment élu au poste de président de la fédération tahitienne de surf, qui a sollicité les instances gouvernementales pour que la cérémonie se déroule à la présidence.
A l’occasion de ses 50 ans d’existence, l’International Surfing Association (ISA) a décidé de décerner des médailles à tous les champions du monde couronnés par l’association depuis 1964. Pour la Polynésie il y avait 10, un résultat plus qu’honorable pour la Polynésie, berceau du surf.
Les surfeurs récompensés pour leur titre de champion du monde ISA étaient Vetea David, Heifara Tahutini, Michel Demont, Hira Teriinatoofa, Tamaroa Mc Comb (absent), Karelle Poppke le seule femme, Pascal Luciani, Philippe Klima, Poenaiki Raioha et le regretté champion de longboard Teva Noble décédé en 2010 qui était représenté par ses enfants. Michel Bourez et Vetea David étaient les parrains de la soirée proposée par la fédération tahitienne de surf, son président, son équipe dont Sarah Lienard la cheville ouvrière.
A l’occasion de ses 50 ans d’existence, l’International Surfing Association (ISA) a décidé de décerner des médailles à tous les champions du monde couronnés par l’association depuis 1964. Pour la Polynésie il y avait 10, un résultat plus qu’honorable pour la Polynésie, berceau du surf.
Les surfeurs récompensés pour leur titre de champion du monde ISA étaient Vetea David, Heifara Tahutini, Michel Demont, Hira Teriinatoofa, Tamaroa Mc Comb (absent), Karelle Poppke le seule femme, Pascal Luciani, Philippe Klima, Poenaiki Raioha et le regretté champion de longboard Teva Noble décédé en 2010 qui était représenté par ses enfants. Michel Bourez et Vetea David étaient les parrains de la soirée proposée par la fédération tahitienne de surf, son président, son équipe dont Sarah Lienard la cheville ouvrière.
La liste des surfeurs de renom et personnalités présentes lors de cette cérémonie est longue, on citera Steven Pierson, Manoa Drollet ou encore Raimana Van Bastolaer les rares surfeurs professionnels, la légende Arsène Harehoe, Erich Teihotu responsable de la commission sécurité à la fédé, Tim Mc Kenna le photographe, Teva Bonno le shapeur, Patrice Chanzy, Yann Duhaze membre du conseil fédéral…Taumata Puhetini était un des rares absents, bloqué à l’entrée en raison d’un listing non ajourné, un des rares ‘couac’ de cette cérémonie historique pour le surf polynésien.
Et puis il y eut surtout beaucoup d’émotion avec les ‘anciens’, moins connus du grand public mais mis à l’honneur et remerciés tout au long de la cérémonie, notamment Patrick Juventin qui fut créateur de la fédération tahitienne de surf et bien d’autres pionniers du surf tahitien : Jean Baptiste Agnieray, Eric Paofai, Awei Arehoe, Paul Pere, Edgar et Jean Paul Galenon, Annick Paofai, Sylvie Augier…
Et puis il y eut surtout beaucoup d’émotion avec les ‘anciens’, moins connus du grand public mais mis à l’honneur et remerciés tout au long de la cérémonie, notamment Patrick Juventin qui fut créateur de la fédération tahitienne de surf et bien d’autres pionniers du surf tahitien : Jean Baptiste Agnieray, Eric Paofai, Awei Arehoe, Paul Pere, Edgar et Jean Paul Galenon, Annick Paofai, Sylvie Augier…
Rappelons qu’au niveau international, il y a deux organisations.
La WSL, la World Surf League, anciennement appelée ASP, organise les championnats du monde professionnels (WCT) avec une dizaine d’épreuves chaque année, c’est là qu’évolue Michel Bourez depuis 8 années. Il y a aussi les World Qualifying Series (WQS), une quarantaine de compétitions qualificatives pour le WCT, ainsi que le Big Wave World Tour, le Longboard Tour, le junior Tour… De gros moyens sont mis en œuvre, la WSL peut ainsi être considérée comme l’organisation principale, par ses moyens, par le nombre important de compétitions et par leur médiatisation importante à l’échelle mondiale.
L’ISA quand à elle est plus ancienne, elle organise les championnats du monde chaque année avec de nombreux pays participants sur diverses disciplines : le surf, le longboard, le bodyboard ou le SUP. Ce sont des titres de prestige puisque contrairement aux compétitions WSL du WCT ou du WQS, il n’y a pas de dotation financière. Le niveau reste malgré tout relevé et de nombreux surfeurs de renom sont passés par ces championnats du monde, comme Kelly Slater par exemple.
La WSL, la World Surf League, anciennement appelée ASP, organise les championnats du monde professionnels (WCT) avec une dizaine d’épreuves chaque année, c’est là qu’évolue Michel Bourez depuis 8 années. Il y a aussi les World Qualifying Series (WQS), une quarantaine de compétitions qualificatives pour le WCT, ainsi que le Big Wave World Tour, le Longboard Tour, le junior Tour… De gros moyens sont mis en œuvre, la WSL peut ainsi être considérée comme l’organisation principale, par ses moyens, par le nombre important de compétitions et par leur médiatisation importante à l’échelle mondiale.
L’ISA quand à elle est plus ancienne, elle organise les championnats du monde chaque année avec de nombreux pays participants sur diverses disciplines : le surf, le longboard, le bodyboard ou le SUP. Ce sont des titres de prestige puisque contrairement aux compétitions WSL du WCT ou du WQS, il n’y a pas de dotation financière. Le niveau reste malgré tout relevé et de nombreux surfeurs de renom sont passés par ces championnats du monde, comme Kelly Slater par exemple.