PIRAE, le 25 novembre 2015. A l'occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes ce mercredi matin à Pirae, l'atelier de production audiovisuelle du lycée Gauguin (LPG Prod's) a diffusé son court métrage "Social Wild Web" qui traite à la fois des pressions morales subies par une jeune fille de la part de son petit copain et des dangers d'Internet.
Le film en 7 minutes à peine pose bien le constat d'une situation qui peut arriver à de nombreux jeunes : Un jeune couple est confronté aux dangers d'internet après que Tamatea soit mis au défi par sa bande de filmer ses relations intimes avec Hinanui. La vidéo échappe au contrôle du jeune homme, compromettant l'honneur de sa copine. Parviendra-t-il à remédier à cette situation ? Le film aborde les pressions subies par le jeune homme à qui sa bande de copains réclame des preuves de son "passage à l'acte", mais aussi les pressions qu'exercent le garçon envers sa petite amie pour arriver à ses fins alors que ni l'un ni l'autre ne semblait encore véritablement prêt à partager cette intimité et enfin, la moquerie des autres élèves après la diffusion des ébats du jeune couple sur le net.
L'atelier d'audiovisuel mis en place au lycée Gauguin depuis 2010 traite essentiellement de sujets de société vécus par les jeunes eux-mêmes : le passage du bac "Very bad bac", la consommation du pakalolo dans "AzimuT". Depuis la rentrée dernière les élèves de l'atelier audiovisuel travaillent à un nouveau film pour promouvoir le don du sang.
Le film en 7 minutes à peine pose bien le constat d'une situation qui peut arriver à de nombreux jeunes : Un jeune couple est confronté aux dangers d'internet après que Tamatea soit mis au défi par sa bande de filmer ses relations intimes avec Hinanui. La vidéo échappe au contrôle du jeune homme, compromettant l'honneur de sa copine. Parviendra-t-il à remédier à cette situation ? Le film aborde les pressions subies par le jeune homme à qui sa bande de copains réclame des preuves de son "passage à l'acte", mais aussi les pressions qu'exercent le garçon envers sa petite amie pour arriver à ses fins alors que ni l'un ni l'autre ne semblait encore véritablement prêt à partager cette intimité et enfin, la moquerie des autres élèves après la diffusion des ébats du jeune couple sur le net.
L'atelier d'audiovisuel mis en place au lycée Gauguin depuis 2010 traite essentiellement de sujets de société vécus par les jeunes eux-mêmes : le passage du bac "Very bad bac", la consommation du pakalolo dans "AzimuT". Depuis la rentrée dernière les élèves de l'atelier audiovisuel travaillent à un nouveau film pour promouvoir le don du sang.
