Paris, France | AFP | lundi 08/01/2024 - Le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a prévenu lundi que "le plus dur est devant nous" en matière d'économies à réaliser pour rétablir des finances publiques françaises mises à mal par les crises.
"Je rappelle que nous devons trouver au minimum 12 milliards d'euros d'économies en 2025. Appelons donc un chat un chat: en matière de finances publiques, le plus dur est devant nous", a déclaré M. Le Maire en présentant ses voeux aux acteurs économiques à Bercy.
Déjà, le budget 2024 a été placé sous le signe d'économies massives provenant pour l'essentiel de la fin progressive des mesures de soutien exceptionnelles au pouvoir d'achat.
Bruno Le Maire a redit sa détermination à redresser les comptes publics de la France, en réduisant une dette colossale, supérieure à 3.000 milliards d'euros, et le déficit public à 4,4% en 2024 (contre 4,9% anticipés pour 2023).
"Les décisions que nous avons prises et celles qui nous restent à prendre sont des décisions difficiles. Nous ne reculerons pas devant la difficulté de ces décisions", a prévenu le numéro deux du gouvernement.
Après la fin programmée du bouclier tarifaire qui était destiné à faire face à la flambée des prix de l'énergie, "nous ferons de nouvelles propositions dans les semaines qui viennent, notamment sur la base de la revue des dépenses publiques", a-t-il expliqué.
"Avec Thomas Cazenave", son collègue chargé des Comptes publics, "nous serons intraitables sur les annonces ministérielles non financées. Toute annonce ministérielle doit respecter rigoureusement et strictement les crédits qui ont été approuvés par le Parlement", a-t-il ajouté.
"Je rappelle que nous devons trouver au minimum 12 milliards d'euros d'économies en 2025. Appelons donc un chat un chat: en matière de finances publiques, le plus dur est devant nous", a déclaré M. Le Maire en présentant ses voeux aux acteurs économiques à Bercy.
Déjà, le budget 2024 a été placé sous le signe d'économies massives provenant pour l'essentiel de la fin progressive des mesures de soutien exceptionnelles au pouvoir d'achat.
Bruno Le Maire a redit sa détermination à redresser les comptes publics de la France, en réduisant une dette colossale, supérieure à 3.000 milliards d'euros, et le déficit public à 4,4% en 2024 (contre 4,9% anticipés pour 2023).
"Les décisions que nous avons prises et celles qui nous restent à prendre sont des décisions difficiles. Nous ne reculerons pas devant la difficulté de ces décisions", a prévenu le numéro deux du gouvernement.
Après la fin programmée du bouclier tarifaire qui était destiné à faire face à la flambée des prix de l'énergie, "nous ferons de nouvelles propositions dans les semaines qui viennent, notamment sur la base de la revue des dépenses publiques", a-t-il expliqué.
"Avec Thomas Cazenave", son collègue chargé des Comptes publics, "nous serons intraitables sur les annonces ministérielles non financées. Toute annonce ministérielle doit respecter rigoureusement et strictement les crédits qui ont été approuvés par le Parlement", a-t-il ajouté.