PAPEETE, le 9 décembre 2015 - La créatrice Rania Akoury lance sa collection 2016 dès vendredi. Au total 27 bijoux y sont mises en scène sur un thème, gardé secret. Chaque pièce, unique, y sera disponible à la vente. Mais l’événement n’est pas réservé aux seuls acheteurs, il est accessible à tous les curieux sensibles à l’art.
Plus qu’une exposition de bijoux c’est tout un univers que Rania Akoury invite à découvrir. Chaque année depuis cinq ans, à la même époque, elle met en scène ses créations dans un espace nouveau. Les pièces, uniques, sont placées à côté d’un tableau, sur une sculpture, dans une boîte,… L’espace est sonorisé parfois aussi des images sont projetées, une place est faite à l’explication du processus créatif. L’exposition-vente tient du musée éphémère.
Cinq années de création
En 2011, Rania Akoury en collaboration avec Cécile Flipo a travaillé sur le thème "la nature en folie". Les bijoux ont été exposés à la galerie Winkler aux côtés de photographies. L’année suivante, toujours avec Cécile Flipo, elle a œuvré sur l’émotion et les tatouages. Les bijoux étaient présentés sur des sculptures en mouvement. Le centre de danse André Tschan a conçu un court-métrage pour l’occasion.
Au Mériden, en 2013, c’est Saraswati, la déesse indienne de la connaissance et de l’art ainsi que les costumes du monde qui ont inspiré la créatrice, Cécile Flipo ainsi que Mika des Musicales de Tahiti. Chaque bijou portait le nom d’un pays. Enfin, il y a un an, le thème retenu pour l’exposition de lancement était "le retour aux sources". Ce sont les monuments architecturaux qui ont fait naître la collection de l’année, illustrée par des clichés de John Stember. Lequel signe les photographies de la collection 2016.
De l'architecture d'intérieur à la joaillerie
Formée à l’architecture d’intérieur, Rania Akoury a été encouragée à créer des bijoux par sa mère. "Mais j’ai très vite eu besoin, envie de retrouver le logiciel avec lequel j’ai longtemps travaillé. Un logiciel d’architecture que j’utilise désormais pour concevoir mes bijoux." Les collections de la créatrice commencent d’abord par quelques coups de crayon griffonnés sur des bouts de papier. Un thème apparait, quelques pièces prennent vie. Argent, nacre, pierres semi-précieuses deviennent des bagues, bracelets, colliers. Puis vient la phase de conception via le logiciel. "Je ne peux pas m’empêcher de voir en 3 D. Quand le bijou prend forme je l’imagine tout de suite dans un univers du thème choisi." Le thème 2016 est toujours secret, il ne sera dévoilé que vendredi aux visiteurs. Un indice ? "Il était une fois…"
Plus qu’une exposition de bijoux c’est tout un univers que Rania Akoury invite à découvrir. Chaque année depuis cinq ans, à la même époque, elle met en scène ses créations dans un espace nouveau. Les pièces, uniques, sont placées à côté d’un tableau, sur une sculpture, dans une boîte,… L’espace est sonorisé parfois aussi des images sont projetées, une place est faite à l’explication du processus créatif. L’exposition-vente tient du musée éphémère.
Cinq années de création
En 2011, Rania Akoury en collaboration avec Cécile Flipo a travaillé sur le thème "la nature en folie". Les bijoux ont été exposés à la galerie Winkler aux côtés de photographies. L’année suivante, toujours avec Cécile Flipo, elle a œuvré sur l’émotion et les tatouages. Les bijoux étaient présentés sur des sculptures en mouvement. Le centre de danse André Tschan a conçu un court-métrage pour l’occasion.
Au Mériden, en 2013, c’est Saraswati, la déesse indienne de la connaissance et de l’art ainsi que les costumes du monde qui ont inspiré la créatrice, Cécile Flipo ainsi que Mika des Musicales de Tahiti. Chaque bijou portait le nom d’un pays. Enfin, il y a un an, le thème retenu pour l’exposition de lancement était "le retour aux sources". Ce sont les monuments architecturaux qui ont fait naître la collection de l’année, illustrée par des clichés de John Stember. Lequel signe les photographies de la collection 2016.
De l'architecture d'intérieur à la joaillerie
Formée à l’architecture d’intérieur, Rania Akoury a été encouragée à créer des bijoux par sa mère. "Mais j’ai très vite eu besoin, envie de retrouver le logiciel avec lequel j’ai longtemps travaillé. Un logiciel d’architecture que j’utilise désormais pour concevoir mes bijoux." Les collections de la créatrice commencent d’abord par quelques coups de crayon griffonnés sur des bouts de papier. Un thème apparait, quelques pièces prennent vie. Argent, nacre, pierres semi-précieuses deviennent des bagues, bracelets, colliers. Puis vient la phase de conception via le logiciel. "Je ne peux pas m’empêcher de voir en 3 D. Quand le bijou prend forme je l’imagine tout de suite dans un univers du thème choisi." Le thème 2016 est toujours secret, il ne sera dévoilé que vendredi aux visiteurs. Un indice ? "Il était une fois…"
Pratique
Les vendredi et samedi de 10 heures à 18 heures
Au MayFly Market, à l’angle de la rue Viénot
Facebook : Taina Design by Rania Akoury
Accès libre
Les vendredi et samedi de 10 heures à 18 heures
Au MayFly Market, à l’angle de la rue Viénot
Facebook : Taina Design by Rania Akoury
Accès libre
