PUNAAUIA, vendredi 25 octobre 2013. Dans le cadre des matinées de la santé à l’université, ce vendredi matin était organisée une animation autour de la prévention et de la sécurité routière. Le message n’est pas anodin en direction des étudiants, puisque sur les routes polynésiennes, ce sont les jeunes conducteurs qui sont les plus vulnérables. Selon les derniers chiffres concernant l’accidentologie en Polynésie : 40% des personnes qui meurent sur les routes du territoire ont moins de 25 ans. Jusqu’ici en 2013, il y a eu 20 morts sur les routes polynésiennes, un chiffre en baisse par rapport à l’an dernier qui avait été très mauvaise avec un total de 33 morts sur les routes. Les jeunes étant les principales victimes sur les routes, il convient de mener régulièrement des campagnes de prévention qui leur sont spécialement destinées. C’est précisément le travail qui a été effectué ce vendredi matin avec les gendarmes de la section prévention de la gendarmerie nationale. Au menu de cette matinée, plusieurs ateliers : moyens de prévention, répression, prochaines évolutions du Code de la route applicable en Polynésie française.
Au-delà des messages de prévention que les gendarmes de la cellule spécialisée peuvent délivrer, ce qui intéresse visiblement le plus les jeunes, c’est le programme à venir de l’opération «Halte à la prise de risques» qui a été mise en place sur le territoire depuis 2005. L’an dernier, cette opération encadrée par les gendarmes de la sécurité routière et sponsorisée par l’Etat, le Pays et divers partenaires privés avait permis à 35 jeunes de passer leur permis de conduire sans avoir à débourser les 100 000 Fcfp minimum requis pour obtenir ce précieux sésame, synonyme de liberté absolue pour les jeunes. En 2014, l’opération devrait reprendre mi janvier avec une première journée d’animations, de formation et de tests le 18 janvier prochain.
Quant aux thèmes des prochaines matinées de la santé de l’université que coordonne entre autres le Syndicat infirmier de Polynésie française, ce sera le 15 novembre prochain sur le diabète et l’obésité, puis, le 20 novembre il y aura une matinée réservée au don du sang. Enfin, le vendredi 29 novembre, l’UPF célèbrera, en avant-première, la journée mondiale de lutte contre le sida avec des informations sur les maladies sexuellement transmissibles, des distributions de préservatifs et sans doute également des dépistages anonymes et gratuits ouverts aux étudiants.
Au-delà des messages de prévention que les gendarmes de la cellule spécialisée peuvent délivrer, ce qui intéresse visiblement le plus les jeunes, c’est le programme à venir de l’opération «Halte à la prise de risques» qui a été mise en place sur le territoire depuis 2005. L’an dernier, cette opération encadrée par les gendarmes de la sécurité routière et sponsorisée par l’Etat, le Pays et divers partenaires privés avait permis à 35 jeunes de passer leur permis de conduire sans avoir à débourser les 100 000 Fcfp minimum requis pour obtenir ce précieux sésame, synonyme de liberté absolue pour les jeunes. En 2014, l’opération devrait reprendre mi janvier avec une première journée d’animations, de formation et de tests le 18 janvier prochain.
Quant aux thèmes des prochaines matinées de la santé de l’université que coordonne entre autres le Syndicat infirmier de Polynésie française, ce sera le 15 novembre prochain sur le diabète et l’obésité, puis, le 20 novembre il y aura une matinée réservée au don du sang. Enfin, le vendredi 29 novembre, l’UPF célèbrera, en avant-première, la journée mondiale de lutte contre le sida avec des informations sur les maladies sexuellement transmissibles, des distributions de préservatifs et sans doute également des dépistages anonymes et gratuits ouverts aux étudiants.
