THIBAULT CAMUS / POOL / AFP
Paris, France | AFP | lundi 28/02/2022 - Emmanuel Macron, bientôt candidat déclaré, progresse de deux points à 26% d'intentions de vote au premier tour, toujours devant le trio Marine Le Pen, Eric Zemmour et Valérie Pécresse, selon un sondage "rolling" Ifop-Fiducial pour Paris Match, LCI et Sud Radio publié lundi.
Le chef de l’État, dont la candidature devrait être officialisée cette semaine, obtiendrait 26% des suffrages au 1er tour, en hausse de 2 points, selon cette étude réalisée depuis l'offensive russe déclenchée le 24 février en Ukraine.
M. Macron devance toujours ses trois poursuivants à droite, Marine Le Pen, Eric Zemmour et Valérie Pécresse, qui baissent respectivement de 0,5 point à 16% pour la candidate RN, de 1,5 point à 14% pour son rival d'extrême droite, et de 1 point à 13% pour la candidate LR.
Dans une gauche éparpillée et affaiblie, seul l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon tire son épingle du jeu avec 10,5% d'intentions de vote, en baisse d'un demi point sur une semaine.
L'écologiste Yannick Jadot reste à 5%, et le communiste Fabien Roussel perd un demi-point à 3,5%.
La socialiste Anne Hidalgo se maintient à 2,5% et Christiane Taubira, en proie à des difficultés pour obtenir ses 500 parrainages, perd un demi-point à 1,5%.
Au second tour, Emmanuel Macron l'emporterait dans toutes les configurations testées: 56,5% contre 43,5% face à Marine Le Pen, 59,5% contre 40,5% face à Valérie Pécresse, et 64% contre 36% face à Eric Zemmour.
Parmi les sondés, 69% prévoient d'aller voter le 10 avril lors du premier tour. Et 69% se disent sûrs de leur choix pour cette première manche.
Un sondage "rolling" est une enquête "en continu réalisée sur le principe d'un cumul glissant de vagues d'enquêtes quotidiennes", rappelle l'institut Ifop. La vague d’enquête du jour est cumulée avec les vagues des deux jours précédents.
Sondage réalisé du 24 au 28 février auprès d'un échantillon de 1.504 personnes représentatif de la population résidant en France métropolitaine âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur, selon le score visé, de 1,4 à 3,1 points.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.
Le chef de l’État, dont la candidature devrait être officialisée cette semaine, obtiendrait 26% des suffrages au 1er tour, en hausse de 2 points, selon cette étude réalisée depuis l'offensive russe déclenchée le 24 février en Ukraine.
M. Macron devance toujours ses trois poursuivants à droite, Marine Le Pen, Eric Zemmour et Valérie Pécresse, qui baissent respectivement de 0,5 point à 16% pour la candidate RN, de 1,5 point à 14% pour son rival d'extrême droite, et de 1 point à 13% pour la candidate LR.
Dans une gauche éparpillée et affaiblie, seul l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon tire son épingle du jeu avec 10,5% d'intentions de vote, en baisse d'un demi point sur une semaine.
L'écologiste Yannick Jadot reste à 5%, et le communiste Fabien Roussel perd un demi-point à 3,5%.
La socialiste Anne Hidalgo se maintient à 2,5% et Christiane Taubira, en proie à des difficultés pour obtenir ses 500 parrainages, perd un demi-point à 1,5%.
Au second tour, Emmanuel Macron l'emporterait dans toutes les configurations testées: 56,5% contre 43,5% face à Marine Le Pen, 59,5% contre 40,5% face à Valérie Pécresse, et 64% contre 36% face à Eric Zemmour.
Parmi les sondés, 69% prévoient d'aller voter le 10 avril lors du premier tour. Et 69% se disent sûrs de leur choix pour cette première manche.
Un sondage "rolling" est une enquête "en continu réalisée sur le principe d'un cumul glissant de vagues d'enquêtes quotidiennes", rappelle l'institut Ifop. La vague d’enquête du jour est cumulée avec les vagues des deux jours précédents.
Sondage réalisé du 24 au 28 février auprès d'un échantillon de 1.504 personnes représentatif de la population résidant en France métropolitaine âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur, selon le score visé, de 1,4 à 3,1 points.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision du résultat du scrutin. Elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.
Pas de meeting prévu ce week-end à Marseille pour Macron
Il n'y a, "à ce stade, pas de meeting prévu ce week-end à Marseille" pour Emmanuel Macron, a indiqué lundi son équipe de campagne, alors que le chef de l'État devait initialement tenir sa première réunion publique de candidat samedi dans la cité phocéenne.Cette source a confirmé une information de RTL.
Le président sortant a jusqu'à vendredi, 18H00, pour déclarer formellement sa candidature à sa réélection, une annonce toujours en suspens tant la guerre en Ukraine bouscule les calendriers et rebat les cartes de la campagne présidentielle.
En pleine crise ukrainienne, Emmanuel Macron a repoussé la question de sa candidature, devenue un véritable casse-tête, au plus près de la date limite fixée par le Conseil constitutionnel.
Le chef de l'État français réunissait encore lundi matin un conseil de défense consacré à l'Ukraine, avant de participer à une visioconférence avec des dirigeants étrangers.
Le lancement de sa campagne lors d'un meeting au Parc Chanot de Marseille ce samedi avait été annoncée à l'AFP la semaine dernière par trois sources de La République en marche.
Selon une source interne au parti présidentiel, "la discussion sur une possible annulation avait démarré dès la fin de semaine dernière", dans la mesure où "personne n'imagine une expression de ferveur samedi en raison du contexte international".
Le président sortant a jusqu'à vendredi, 18H00, pour déclarer formellement sa candidature à sa réélection, une annonce toujours en suspens tant la guerre en Ukraine bouscule les calendriers et rebat les cartes de la campagne présidentielle.
En pleine crise ukrainienne, Emmanuel Macron a repoussé la question de sa candidature, devenue un véritable casse-tête, au plus près de la date limite fixée par le Conseil constitutionnel.
Le chef de l'État français réunissait encore lundi matin un conseil de défense consacré à l'Ukraine, avant de participer à une visioconférence avec des dirigeants étrangers.
Le lancement de sa campagne lors d'un meeting au Parc Chanot de Marseille ce samedi avait été annoncée à l'AFP la semaine dernière par trois sources de La République en marche.
Selon une source interne au parti présidentiel, "la discussion sur une possible annulation avait démarré dès la fin de semaine dernière", dans la mesure où "personne n'imagine une expression de ferveur samedi en raison du contexte international".