La Haye, Pays-Bas | AFP | jeudi 13/02/2020 - Un courrier piégé a explosé jeudi au siège de la banque ING à Amsterdam, mais sans faire de victime, au lendemain de l'explosion de missives adressées à deux autres entreprises, a indiqué la police.
Seul un employé de la banque qui a inhalé de la fumée a été pris en charge sur place par les secours, a précisé la police sur Twitter.
Un autre pli piégé a été découvert jeudi matin dans les bureaux de l'entreprise américaine de logiciels, Unisys, à Leusden (centre), avant d'être désamorcé par les unités d'élimination d'engins explosifs du ministère de la Défense (EOD).
Mercredi, deux courriers piégés avaient explosé, toujours sans faire de victime, dans les locaux de la banque ABN AMRO à Amsterdam et du groupe japonais de bureautique Ricoh à Kerkrade.
"Il se pourrait qu'il y ait un lien" entre ces incidents, a rapporté la télévision publique néerlandaise NOS citant des sources policières.
L'expéditeur de ces courriers les menaçait d'autres attaques à l'explosif si un certain montant de bitcoins, qui n'a pas été dévoilé, ne lui était pas versé.
La police croit "fermement" que les explosions de mercredi étaient elles-mêmes liées à une série de courriers piégés, au moins sept, adressés à diverses entreprises, hôtels et stations-service au cours des mois de décembre et janvier.
Seul un employé de la banque qui a inhalé de la fumée a été pris en charge sur place par les secours, a précisé la police sur Twitter.
Un autre pli piégé a été découvert jeudi matin dans les bureaux de l'entreprise américaine de logiciels, Unisys, à Leusden (centre), avant d'être désamorcé par les unités d'élimination d'engins explosifs du ministère de la Défense (EOD).
Mercredi, deux courriers piégés avaient explosé, toujours sans faire de victime, dans les locaux de la banque ABN AMRO à Amsterdam et du groupe japonais de bureautique Ricoh à Kerkrade.
"Il se pourrait qu'il y ait un lien" entre ces incidents, a rapporté la télévision publique néerlandaise NOS citant des sources policières.
L'expéditeur de ces courriers les menaçait d'autres attaques à l'explosif si un certain montant de bitcoins, qui n'a pas été dévoilé, ne lui était pas versé.
La police croit "fermement" que les explosions de mercredi étaient elles-mêmes liées à une série de courriers piégés, au moins sept, adressés à diverses entreprises, hôtels et stations-service au cours des mois de décembre et janvier.