MAHINA, jeudi 14 novembre 2013 – Sandra Manutahi Levy-Agami annonce sa candidature à Mahina aux élections municipales de mars 2014. La représentante apparentée au groupe Tahoera’a Huira’atira de l’Assemblée se présente sous les couleurs de son parti "Te Mana Toa" et expose un slogan on ne peut plus clair : "Sandra Tavana" (Sandra Maire, ndlr).
Pour sa troisième participation à ce scrutin local, SLAM met en avant son expérience de cinq ans d’hémicycle : "Elue de l’Assemblée de la Polynésie française, vice-présidente de la commission des Finances, du Budget et de l’Economie, elle voit chaque jour déposer des demandes de communes qui souhaitent que leurs projets soient financés par le Pays. Mais comment aider Mahina quand aucun dossier n’est déposé ?", interroge la fiche de présentation remise à la presse, jeudi matin.
Elle s’annonce comme une femme de dossier, proche du pouvoir, mais habitée par le souci de la proximité avec les administrés : "Aujourd’hui, le Tavana au-delà même de la gestion de l’eau, des poubelles ou du cimetière, doit aussi accompagner les familles en difficulté pour qu’elles ne se retrouvent pas à la rue. Et c’est ce qui manque", lance-t-elle à l’équipe de Patrice Jamet, après avoir qualifiée de "comptable", sa gestion des deniers municipaux depuis 2011, et la victoire de Ia Tura o Mahina aux élections municipales partielles. "Etre Tavana, ce n’est pas simplement de la comptabilité. Il faut savoir à un moment donné être à l’écoute de la population (…) et prendre conscience de la réalité de gens aujourd’hui".
La candidate s’est déjà présentée à deux reprises, commune de Mahina, lors des municipales de mars 2008 sous les couleurs d’une liste d’union "O Mahina", qui avait totalisé 16% des votes exprimés (1060 suffrages). Et lors des élections municipales partielles de janvier 2011, sous l’égide du regroupement "O Mahina Action !", 9,03% des suffrages exprimés (514 votes).
Quant à la possible présentation d’une liste Tahoera’a Huira’atira au scrutin des 23 et 30 mars prochains, la candidate développe : "Nous avons chacun décidé de présenter nos candidats aux municipales. C’est quelque chose de réfléchi et il n’y aura aucune incidence sur le travail parlementaire à l’Assemblée, ni sur celui avec le gouvernement, bien au contraire".
Pour sa troisième participation à ce scrutin local, SLAM met en avant son expérience de cinq ans d’hémicycle : "Elue de l’Assemblée de la Polynésie française, vice-présidente de la commission des Finances, du Budget et de l’Economie, elle voit chaque jour déposer des demandes de communes qui souhaitent que leurs projets soient financés par le Pays. Mais comment aider Mahina quand aucun dossier n’est déposé ?", interroge la fiche de présentation remise à la presse, jeudi matin.
Elle s’annonce comme une femme de dossier, proche du pouvoir, mais habitée par le souci de la proximité avec les administrés : "Aujourd’hui, le Tavana au-delà même de la gestion de l’eau, des poubelles ou du cimetière, doit aussi accompagner les familles en difficulté pour qu’elles ne se retrouvent pas à la rue. Et c’est ce qui manque", lance-t-elle à l’équipe de Patrice Jamet, après avoir qualifiée de "comptable", sa gestion des deniers municipaux depuis 2011, et la victoire de Ia Tura o Mahina aux élections municipales partielles. "Etre Tavana, ce n’est pas simplement de la comptabilité. Il faut savoir à un moment donné être à l’écoute de la population (…) et prendre conscience de la réalité de gens aujourd’hui".
La candidate s’est déjà présentée à deux reprises, commune de Mahina, lors des municipales de mars 2008 sous les couleurs d’une liste d’union "O Mahina", qui avait totalisé 16% des votes exprimés (1060 suffrages). Et lors des élections municipales partielles de janvier 2011, sous l’égide du regroupement "O Mahina Action !", 9,03% des suffrages exprimés (514 votes).
Quant à la possible présentation d’une liste Tahoera’a Huira’atira au scrutin des 23 et 30 mars prochains, la candidate développe : "Nous avons chacun décidé de présenter nos candidats aux municipales. C’est quelque chose de réfléchi et il n’y aura aucune incidence sur le travail parlementaire à l’Assemblée, ni sur celui avec le gouvernement, bien au contraire".
