PAPEETE, le 29 avril 2019 - Le président du Conseil de l’ordre des médecins en Polynésie française, Gilles Soubiran, a été présenté devant le juge des libertés et de la détention ce mardi. Le taote, qui a été mis en examen le 25 avril dernier pour des faits d’agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans, a été assigné à résidence et placé sous surveillance électronique.
Au terme de quatre jours d’incarcération provisoire à Nuutania, le président du Conseil de l’ordre des médecins a été présenté devant le juge des libertés et de la détention qui l’a libéré et l’a placé sous surveillance électronique. Le docteur Soubiran pourra continuer d’exercer sa profession mais il aura toutefois l’interdiction d’entrer en contact avec des mineurs dans le cadre de son activité professionnelle.
Praticien bien connu au fenua et président du conseil de l’ordre des médecins en Polynésie française, le docteur Gilles Soubiran avait été placé en garde à vue le 23 avril dernier auprès de la brigade de recherche de la gendarmerie, à la suite d’une enquête préliminaire de plusieurs mois portant sur des soupçons « d’agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans ». Il avait ensuite été présenté devant un juge d’instruction puis mis en examen pour ces faits.
Rappelons que toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées
Au terme de quatre jours d’incarcération provisoire à Nuutania, le président du Conseil de l’ordre des médecins a été présenté devant le juge des libertés et de la détention qui l’a libéré et l’a placé sous surveillance électronique. Le docteur Soubiran pourra continuer d’exercer sa profession mais il aura toutefois l’interdiction d’entrer en contact avec des mineurs dans le cadre de son activité professionnelle.
Praticien bien connu au fenua et président du conseil de l’ordre des médecins en Polynésie française, le docteur Gilles Soubiran avait été placé en garde à vue le 23 avril dernier auprès de la brigade de recherche de la gendarmerie, à la suite d’une enquête préliminaire de plusieurs mois portant sur des soupçons « d’agression sexuelle sur mineur de moins de 15 ans ». Il avait ensuite été présenté devant un juge d’instruction puis mis en examen pour ces faits.
Rappelons que toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées
