Une vingtaine de jeunes, amis et cousins de la victime, sont venus lui rendre un dernier hommage ce lundi matin sur les lieux de l'accident.
PAPEETE, le 2 novembre 2015 - La route a encore tué dimanche soir. Un jeune homme de 22 ans a perdu le contrôle de sa moto DT 50 à la sortie du pont de la Punaruu. Il a fini sa course contre un panneau de signalisation. Il a été tué sur le coup, d'un choc à la tête. Son casque n'était pas homologué, a appris la rédaction ce lundi matin auprès de la gendarmerie.
Mickaël Yau avait 22 ans. Et il serait peut-être encore en vie s'il avait choisi de se protéger la tête avec un casque aux normes. C'est en tout cas le constat fait par la gendarmerie au lendemain de cet accident mortel dramatique. "Le quatrième qui concerne un conducteur de deux-roues depuis le début de l'année", déplore le capitaine Olivier Faure, officier adjoint à la circulation et à la sécurité routière pour la gendarmerie en Polynésie française, contacté par la rédaction. "L'impact a été relevé sur le casque, un casque de vélo non homologué pour la conduite d'un véhicule à moteur que la victime portait à l'envers…" précise le capitaine de gendarmerie.
Ironie du sort, ce nouveau drame de la route intervient une semaine après la fin, pourtant médiatisée, de l'opération collecte et destruction de casques non conformes://. 109 casques de skateboard, casques bol, casques de vélo et autres casques hors d'âge avaient été passés à la broyeuse pour rappeler que cet équipement, obligatoire, est le premier des dispositifs de sécurité qui peut sauver des vies à deux-roues.
"Il n'y avait plus rien à faire"
Ils étaient nombreux, ce lundi matin, à venir se recueillir sur les lieux de l'accident pour rendre un dernier hommage à leur copain disparu. Amis, cousins, sont venus déposer quelques gerbes de fleurs au pied de ce maudit panneau de signalisation contre lequel Mickaël s'est fracassé. "C'était un enfant du quartier", lâche une cousine. "On nous a prévenu tout de suite après l'accident, on est venu sur place mais il n'y avait plus rien à faire". Mickaël a été tué sur le coup, les secours n'ont pu que constater le décès. Ce matin, les gendarmes sont revenus sur place ramasser les derniers débris.
Le drame s'est produit dimanche soir jour de la Toussaint à 20 h 50, à la sortie du pont de la Punaruu dans le sens Punaauia-Paea, une centaine de mètres avant le centre commercial Tamanu. La vitesse excessive pourrait être à l'origine de la perte de contrôle de la petite DT 50 par son conducteur. Des analyses toxicologiques pour déterminer si le malheureux était sous l'influence de l'alcool ou de produits stupéfiants sont en cours.
Mickaël Yau avait 22 ans. Et il serait peut-être encore en vie s'il avait choisi de se protéger la tête avec un casque aux normes. C'est en tout cas le constat fait par la gendarmerie au lendemain de cet accident mortel dramatique. "Le quatrième qui concerne un conducteur de deux-roues depuis le début de l'année", déplore le capitaine Olivier Faure, officier adjoint à la circulation et à la sécurité routière pour la gendarmerie en Polynésie française, contacté par la rédaction. "L'impact a été relevé sur le casque, un casque de vélo non homologué pour la conduite d'un véhicule à moteur que la victime portait à l'envers…" précise le capitaine de gendarmerie.
Ironie du sort, ce nouveau drame de la route intervient une semaine après la fin, pourtant médiatisée, de l'opération collecte et destruction de casques non conformes://. 109 casques de skateboard, casques bol, casques de vélo et autres casques hors d'âge avaient été passés à la broyeuse pour rappeler que cet équipement, obligatoire, est le premier des dispositifs de sécurité qui peut sauver des vies à deux-roues.
"Il n'y avait plus rien à faire"
Ils étaient nombreux, ce lundi matin, à venir se recueillir sur les lieux de l'accident pour rendre un dernier hommage à leur copain disparu. Amis, cousins, sont venus déposer quelques gerbes de fleurs au pied de ce maudit panneau de signalisation contre lequel Mickaël s'est fracassé. "C'était un enfant du quartier", lâche une cousine. "On nous a prévenu tout de suite après l'accident, on est venu sur place mais il n'y avait plus rien à faire". Mickaël a été tué sur le coup, les secours n'ont pu que constater le décès. Ce matin, les gendarmes sont revenus sur place ramasser les derniers débris.
Le drame s'est produit dimanche soir jour de la Toussaint à 20 h 50, à la sortie du pont de la Punaruu dans le sens Punaauia-Paea, une centaine de mètres avant le centre commercial Tamanu. La vitesse excessive pourrait être à l'origine de la perte de contrôle de la petite DT 50 par son conducteur. Des analyses toxicologiques pour déterminer si le malheureux était sous l'influence de l'alcool ou de produits stupéfiants sont en cours.
C'est contre ce panneau, au pied duquel des gerbes de fleurs ont été déposées, que Mickaël, 22 ans, a perdu la vie dimanche soir.
