Cela faisait plusieurs mois déjà que les 4 individus commettaient leurs actes de vandalisme. La gendarmerie de Papara vient de mettre fins à leurs agissements.
La brigade de gendarmerie de Papara vient de mettre fin aux agissements délictueux de quatre individus soupçonnés d’être les auteurs des nombreux tags inscrits sur les murs du collège de Papara. Un coup d’arrêt pour des actes passibles d’une peine d’emprisonnement.
Depuis quelques mois, le collège de Papara était devenu un immense "tableau" sur lequel quatre individus, dont trois mineurs, inscrivaient tout ce qui leur passait par la tête. Ces derniers avaient même signé leur délit : "ARNAKEUR", "WOKE", "FLOW" et "NOMAD". Les actes de vandalisme étaient commis la nuit. L’affaire avait d’ailleurs défrayé la chronique locale.
Entre temps, des moyens importants ont été déployés tels que des surveillances nocturnes, enquêtes de voisinage, appels à témoins dans l’ensemble de l’établissement. Après quelques mois d’enquêtes, la brigade de gendarmerie de Papara vient d’interpeller les fauteurs de troubles.
Les perquisitions réalisées aux domiciles des quatre individus ont permis d'étayer les soupçons des enquêteurs qui ont fini par mettre la main sur le matériel de graffiti parmi lesquels des prototypes de tags.
A l’issue de l’expertise du montant global des préjudices causés, les responsables seront convoqués devant la justice. A rappeler que, pour des dégradations de bien public commises en réunion, ces derniers encourent une peine d'emprisonnement ainsi qu’une forte amende.
La brigade de Papara appelle les éventuelles victimes de ces dégradations, qui ne seraient pas encore connues de la gendarmerie, à se manifester auprès du centre opérationnel de la gendarmerie au 507 205.
Sources : communiqué de la Gendarmerie nationale
TP
Depuis quelques mois, le collège de Papara était devenu un immense "tableau" sur lequel quatre individus, dont trois mineurs, inscrivaient tout ce qui leur passait par la tête. Ces derniers avaient même signé leur délit : "ARNAKEUR", "WOKE", "FLOW" et "NOMAD". Les actes de vandalisme étaient commis la nuit. L’affaire avait d’ailleurs défrayé la chronique locale.
Entre temps, des moyens importants ont été déployés tels que des surveillances nocturnes, enquêtes de voisinage, appels à témoins dans l’ensemble de l’établissement. Après quelques mois d’enquêtes, la brigade de gendarmerie de Papara vient d’interpeller les fauteurs de troubles.
Les perquisitions réalisées aux domiciles des quatre individus ont permis d'étayer les soupçons des enquêteurs qui ont fini par mettre la main sur le matériel de graffiti parmi lesquels des prototypes de tags.
A l’issue de l’expertise du montant global des préjudices causés, les responsables seront convoqués devant la justice. A rappeler que, pour des dégradations de bien public commises en réunion, ces derniers encourent une peine d'emprisonnement ainsi qu’une forte amende.
La brigade de Papara appelle les éventuelles victimes de ces dégradations, qui ne seraient pas encore connues de la gendarmerie, à se manifester auprès du centre opérationnel de la gendarmerie au 507 205.
Sources : communiqué de la Gendarmerie nationale
TP
