PAPEETE, le 17 août 2015 - Un jeune homme de 20 ans a été condamné à 8 mois de prison avec sursis, ce lundi après-midi en comparution immédiate, pour des menaces de morts à répétition proférées contre sa belle-famille entre le 20 et le 23 juillet dernier, à Punaauia.
A l’origine, une relation faite de hauts et de bas avec sa jeune compagne et mère de son enfant. Le tane, quitté par sa belle au moment des faits, s’en était d’abord pris à son beau-père en le menaçant avec un tesson de bouteille sur le parking de son lieu de travail, après avoir esquinté son véhicule à coups de pierre. Il avait ensuite menacé de tuer la fille avant de s’en aller. Trois jours plus tard, c’est le frère de sa copine qu’il avait tenté d’intimider en l’abordant au bord de la route, une barre de fer puis une hache à la main.
Le jeune homme s’est présenté en victime à l’audience, expliquant avoir lui-même fait l’objet de brimades, signalées mais en vain a-t-il dit, à la gendarmerie : "Du coup j’ai voulu régler ça à manière, ce n’est pas bien je le sais".
Malgré un contrôle judiciaire strict lui interdisant d’entrer en contact avec son ex-compagne jusqu’au procès qui s’est tenu hier, le tane s’est de nouveau mis en ménage avec celle qui avait déposé plainte contre lui. Cette dernière a juré qu’il avait enfin changé, devant un représentant du parquet pour le moins dubitatif. Le ministère public est persuadé d’avoir à faire à "un psychopathe manipulateur".
A l’origine, une relation faite de hauts et de bas avec sa jeune compagne et mère de son enfant. Le tane, quitté par sa belle au moment des faits, s’en était d’abord pris à son beau-père en le menaçant avec un tesson de bouteille sur le parking de son lieu de travail, après avoir esquinté son véhicule à coups de pierre. Il avait ensuite menacé de tuer la fille avant de s’en aller. Trois jours plus tard, c’est le frère de sa copine qu’il avait tenté d’intimider en l’abordant au bord de la route, une barre de fer puis une hache à la main.
Le jeune homme s’est présenté en victime à l’audience, expliquant avoir lui-même fait l’objet de brimades, signalées mais en vain a-t-il dit, à la gendarmerie : "Du coup j’ai voulu régler ça à manière, ce n’est pas bien je le sais".
Malgré un contrôle judiciaire strict lui interdisant d’entrer en contact avec son ex-compagne jusqu’au procès qui s’est tenu hier, le tane s’est de nouveau mis en ménage avec celle qui avait déposé plainte contre lui. Cette dernière a juré qu’il avait enfin changé, devant un représentant du parquet pour le moins dubitatif. Le ministère public est persuadé d’avoir à faire à "un psychopathe manipulateur".
