Mamoudzou, France | AFP | lundi 10/05/2021 - Au moins trois personnes, deux femmes et un enfant, ont perdu la vie dans le naufrage d'une embarcation de fortune transportant des migrants au large de Mayotte, a appris lundi l'AFP de sources concordantes.
Le naufrage a eu lieu aux alentours de 2h30 du matin, heure où l'alerte a été déclenchée.
"C'est un appel au 17 qui a donné l'alerte, ce n'est pas dans le cadre d'une intervention en cours que le kwassa (nom donné à ces embarcations, NDLR) a chaviré", a déclaré à l'AFP la directrice de cabinet du préfet, Laurence Carval.
L'intervention conjointe de la brigade nautique de la gendarmerie, de la police aux frontières et de l'avion utilisé dans le cadre de la lutte contre l'immigration clandestine (LIC) a permis de repêcher 16 personnes rescapées. Vers 8h30, trois corps sans vie ont été ramenés sur la côte, où ils ont été pris en charge par les pompes funèbres.
"Les gendarmes ont amené les trois corps à 8h30 au ponton, ils sont chez moi, et pour l'instant personne n'est venu les réclamer. A priori, il y en aurait d'autres", en mer, a dit à l'AFP Jean Lhuillier, le directeur des Pompes funèbres de Mayotte.
D'après les estimations, environ une vingtaine de passagers étaient présents dans l'embarcation au moment du naufrage.
Les opérations de sauvetage se sont poursuivies, mais les recherches sont rendues plus ardues en raison d'une mer agitée. Ces conditions difficiles ont sans doute joué un rôle dans le naufrage de ce kwassa-kwassa, embarcation légère à moteur utilisée par les passeurs qui transportent les candidats à l'immigration clandestine depuis l'archipel voisin des Comores.
A Mayotte, où près de la moitié de la population est de nationalité étrangère, les drames de l'immigration clandestine sont fréquents. Le dernier en date avait eu lieu en septembre 2020, dix personnes étaient mortes dans le naufrage d'un kwassa-kwassa.
Le naufrage a eu lieu aux alentours de 2h30 du matin, heure où l'alerte a été déclenchée.
"C'est un appel au 17 qui a donné l'alerte, ce n'est pas dans le cadre d'une intervention en cours que le kwassa (nom donné à ces embarcations, NDLR) a chaviré", a déclaré à l'AFP la directrice de cabinet du préfet, Laurence Carval.
L'intervention conjointe de la brigade nautique de la gendarmerie, de la police aux frontières et de l'avion utilisé dans le cadre de la lutte contre l'immigration clandestine (LIC) a permis de repêcher 16 personnes rescapées. Vers 8h30, trois corps sans vie ont été ramenés sur la côte, où ils ont été pris en charge par les pompes funèbres.
"Les gendarmes ont amené les trois corps à 8h30 au ponton, ils sont chez moi, et pour l'instant personne n'est venu les réclamer. A priori, il y en aurait d'autres", en mer, a dit à l'AFP Jean Lhuillier, le directeur des Pompes funèbres de Mayotte.
D'après les estimations, environ une vingtaine de passagers étaient présents dans l'embarcation au moment du naufrage.
Les opérations de sauvetage se sont poursuivies, mais les recherches sont rendues plus ardues en raison d'une mer agitée. Ces conditions difficiles ont sans doute joué un rôle dans le naufrage de ce kwassa-kwassa, embarcation légère à moteur utilisée par les passeurs qui transportent les candidats à l'immigration clandestine depuis l'archipel voisin des Comores.
A Mayotte, où près de la moitié de la population est de nationalité étrangère, les drames de l'immigration clandestine sont fréquents. Le dernier en date avait eu lieu en septembre 2020, dix personnes étaient mortes dans le naufrage d'un kwassa-kwassa.