PAPEETE, le 9 mai 2016 - Un homme d'une trentaine d'années a écopé de 8 mois de prison ferme avec mandat de dépôt, ce lundi en comparution immédiate, pour des violences, outrages et rébellion commis samedi dernier à Papara sur trois gendarmes venus l'empêcher de frapper sa compagne.
Donner une gifle à sa compagne sous le nez des gendarmes n'est pas une très bonne idée. Les insulter, les frapper à coups de poing, et se débattre jusqu'à les blesser quand ils se décident à intervenir c'est souvent aggraver son cas. Et lâche quand deux des trois militaires sont des femmes. Un jeune homme d'une trentaine d'années en a fait l'amère expérience ce lundi en comparution immédiate, condamné à 8 mois de prison ferme avec mandat de dépôt à l'audience.
Le couple, qui avait consommé de l'alcool, se disputait du côté de la carrière à Papara samedi soir quand une patrouille de gendarmerie qui passait par là a assisté aux violences du conjoint sur sa copine. L'homme s'était mis dans une colère noire quand les gendarmes étaient venus lui demander des comptes.
La justice avait déjà tapé fort vendredi dernier, toujours en comparution immédiate, en condamnant à 15 et 18 mois de prison ferme deux frères impliqués dans des violences sur deux gendarmes et un policier municipal en intervention sur un différent familial à Bora Bora. "Les violences contre les personnes dépositaires de l'autorité publique, qui représentent la loi, doivent être sévèrement punies" a répété ce lundi le représentant du ministère public, qui siégeait aussi vendredi. "Sinon c'est la loi de la jungle".
Donner une gifle à sa compagne sous le nez des gendarmes n'est pas une très bonne idée. Les insulter, les frapper à coups de poing, et se débattre jusqu'à les blesser quand ils se décident à intervenir c'est souvent aggraver son cas. Et lâche quand deux des trois militaires sont des femmes. Un jeune homme d'une trentaine d'années en a fait l'amère expérience ce lundi en comparution immédiate, condamné à 8 mois de prison ferme avec mandat de dépôt à l'audience.
Le couple, qui avait consommé de l'alcool, se disputait du côté de la carrière à Papara samedi soir quand une patrouille de gendarmerie qui passait par là a assisté aux violences du conjoint sur sa copine. L'homme s'était mis dans une colère noire quand les gendarmes étaient venus lui demander des comptes.
La justice avait déjà tapé fort vendredi dernier, toujours en comparution immédiate, en condamnant à 15 et 18 mois de prison ferme deux frères impliqués dans des violences sur deux gendarmes et un policier municipal en intervention sur un différent familial à Bora Bora. "Les violences contre les personnes dépositaires de l'autorité publique, qui représentent la loi, doivent être sévèrement punies" a répété ce lundi le représentant du ministère public, qui siégeait aussi vendredi. "Sinon c'est la loi de la jungle".
