Le groupe de Jean-Christophe Bouissou, Ia Ora Te Fenua, réagit au projet de taxation des produits européens du gouvernement Temaru. « Le voilà donc le fameux « curseur » fiscal auquel faisait allusion, fin octobre, le vice-président Antony Géros ! » s’exclame le groupe dans un communiqué, pour qui le gouvernement glisse « subrepticement une nouvelle couche de taxation sur les biens de la vie quotidienne des ménages polynésiens ».
« Le ministre des Finances a beau chercher à minimiser l’impact de la mesure, elle n’en concerne pas moins près de 5000 positions douanières avec, à la clé, 2 milliards de recettes supplémentaires par an. Aussi, tant sur la forme que sur le fond, le groupe Ia Ora Te Fenua à l’Assemblée condamne à l’avance cette dernière initiative » continue le groupe.
Selon Ia Ora Te Fenua, la taxe risque en outre de « peser encore plus sur le niveau général de la consommation. D’autant qu’il convient ici de rappeler qu’au départ, l’instauration de la TVA visait justement à faire disparaître les droits de douane ».
« Sur le fond, maintenant, il ne faut pas se voiler la face : c’est une manière pour la majorité indépendantiste de rejeter tout ce qui vient d’Europe et de métropole en particulier » conclut le groupe de Jean-Christophe Bouissou, pour qui « à force de manipulations hasardeuses et à la petite semaine, la gangrène n’est pas loin ! »
« Le ministre des Finances a beau chercher à minimiser l’impact de la mesure, elle n’en concerne pas moins près de 5000 positions douanières avec, à la clé, 2 milliards de recettes supplémentaires par an. Aussi, tant sur la forme que sur le fond, le groupe Ia Ora Te Fenua à l’Assemblée condamne à l’avance cette dernière initiative » continue le groupe.
Selon Ia Ora Te Fenua, la taxe risque en outre de « peser encore plus sur le niveau général de la consommation. D’autant qu’il convient ici de rappeler qu’au départ, l’instauration de la TVA visait justement à faire disparaître les droits de douane ».
« Sur le fond, maintenant, il ne faut pas se voiler la face : c’est une manière pour la majorité indépendantiste de rejeter tout ce qui vient d’Europe et de métropole en particulier » conclut le groupe de Jean-Christophe Bouissou, pour qui « à force de manipulations hasardeuses et à la petite semaine, la gangrène n’est pas loin ! »
