Vaihere Doudoute a fait preuve d'une grande force de caractère depuis son accident
Nous évoquions fin janvier dernier le parcours forçant l’admiration de Vaihere Doudoute. Victime d’un accident vasculaire cérébral à 33 ans, elle avait pu se remettre progressivement en faisant du sport, faisant preuve d’une force de caractère hors norme. A 39 ans, elle participe désormais aux compétitions de handi-aviron, cette discipline qui se développe à Tahiti depuis quelques années grâce, entre autres, au kinésithérapeute Matthieu Forge artisan en chef du club Cap Marara.
La semaine dernière, elle participait aux championnats de France d’handi-aviron indoor et obtenait une septième place sur huit concurrents. Il en fallait apparemment plus pour la décourager. Dans la foulée, elle participait ce week end aux championnats du monde de la discipline près de Washington, dans l’état de Virginie, dans l’est des Etats Unis.
Cette fois-ci, elle décroche une magnifique deuxième place sur 2000 mètres, synonyme d’une médaille d’argent. La première place a été remportée par une Américaine, Raquel Walsh. SB
La semaine dernière, elle participait aux championnats de France d’handi-aviron indoor et obtenait une septième place sur huit concurrents. Il en fallait apparemment plus pour la décourager. Dans la foulée, elle participait ce week end aux championnats du monde de la discipline près de Washington, dans l’état de Virginie, dans l’est des Etats Unis.
Cette fois-ci, elle décroche une magnifique deuxième place sur 2000 mètres, synonyme d’une médaille d’argent. La première place a été remportée par une Américaine, Raquel Walsh. SB
Vaihere Doudoute a fait preuve d'une grande force de caractère depuis son accident
Parole à Vaihere Doudoute :
"Quand j’ai décidé de faire quelque chose, je le fais. Personne ne peut m’en décourager. Si je me plante, tant pis, c’est pas grave, je recommence mais je ne tiens pas compte de l’avis négatif des gens. Ma maman et mon papa m’ont élevée comme ça. Et par rapport à mon handicap, je dois avancer, c’est une obligation : soit tu meurs, soit tu avances. »
"Quand j’ai décidé de faire quelque chose, je le fais. Personne ne peut m’en décourager. Si je me plante, tant pis, c’est pas grave, je recommence mais je ne tiens pas compte de l’avis négatif des gens. Ma maman et mon papa m’ont élevée comme ça. Et par rapport à mon handicap, je dois avancer, c’est une obligation : soit tu meurs, soit tu avances. »