Tahiti, le 15 septembre 2020 – L'avocat du milliardaire québécois Guy Laliberté a contesté mardi devant la chambre de l'instruction, la garde à vue de son client en décembre dernier.
L'avocat du milliardaire québécois et propriétaire de l'atoll de Nukutepipi, Guy Laliberté, a contesté mardi devant la chambre de l'instruction près la cour d'appel de Papeete, le placement en garde à vue de son client le 12 novembre dernier à la gendarmerie de Faa'a. Guy Laliberté avait été entendu par les gendarmes, puis mis un examen pour infraction à la législation sur les stupéfiants dans une affaire qui avait fait grand bruit malgré des charges relativement modestes : 48 pousses de paka cultivées dans un container sous code sur l'atoll privé de Nukutepipi aux Tuamotu. Les plants de paka avaient même fait l'objet d'une saisie sur perquisition, en présence du juge d'instruction, dans les jours suivant la mise en examen.
Le milliardaire avait été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire le 13 novembre à la suite de la découverte sur le téléphone de l’un de ses employés de photographies des pieds de cannabis plantés sur son atoll. Par la voix de sa société de production Lune Rouge, Guy Laliberté avait indiqué que cette culture était uniquement liée à sa consommation “personnelle” pour des raisons médicales. Contactée, la défense de Guy Laliberté n'a pas souhaité faire de commentaires. La décision de la chambre de l'instruction sera rendue dans les prochains jours.
L'avocat du milliardaire québécois et propriétaire de l'atoll de Nukutepipi, Guy Laliberté, a contesté mardi devant la chambre de l'instruction près la cour d'appel de Papeete, le placement en garde à vue de son client le 12 novembre dernier à la gendarmerie de Faa'a. Guy Laliberté avait été entendu par les gendarmes, puis mis un examen pour infraction à la législation sur les stupéfiants dans une affaire qui avait fait grand bruit malgré des charges relativement modestes : 48 pousses de paka cultivées dans un container sous code sur l'atoll privé de Nukutepipi aux Tuamotu. Les plants de paka avaient même fait l'objet d'une saisie sur perquisition, en présence du juge d'instruction, dans les jours suivant la mise en examen.
Le milliardaire avait été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire le 13 novembre à la suite de la découverte sur le téléphone de l’un de ses employés de photographies des pieds de cannabis plantés sur son atoll. Par la voix de sa société de production Lune Rouge, Guy Laliberté avait indiqué que cette culture était uniquement liée à sa consommation “personnelle” pour des raisons médicales. Contactée, la défense de Guy Laliberté n'a pas souhaité faire de commentaires. La décision de la chambre de l'instruction sera rendue dans les prochains jours.
