Pointe-à-Pitre, France | AFP | vendredi 10/12/2020 - Trois jeunes hommes ont été mis en examen et incarcérés pour le meurtre d’un jeune âgé de 21 ans, en février 2020 à Anse-Bertrand, a indiqué lors d’une conférence de presse, jeudi soir, Patrick Desjardins, le procureur de la République de Pointe-à-Pitre.
M. Desjardins a salué l’aboutissement d’une enquête "délicate" et "au long cours" sur "l’exécution d’un très jeune homme", ayant abouti, "début décembre", à l’interpellation des deux derniers suspects dans cette affaire. L’un, âgé de 20 ans, domicilié au quartier de l’Assainissement à Pointe-à-Pitre, a été interpellé en Guadeloupe, et l’autre, âgé de 22 ans, dans l’hexagone, à Asnière-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Ce dernier a fait l’objet d’un mandat d’amener.
Un tout premier suspect, âgé de 18 ans, avait, lui, été interpellé début octobre à Troyes (Aube), selon la même source. "Il avait dans les jours ayant suivi les faits, décidé de quitter la Guadeloupe pour aller se réfugier chez sa mère".
Les trois individus, pas particulièrement connus des services, "reconnaissent tous avoir été présents au moment des faits", a indiqué M. Desjardins. Ils ont été placés en détention provisoire.
La victime avait été retrouvée morte, en rigidité cadavérique, le 19 février, tuée par balles, sur une trace d’Anse Bertrand.
Les neuf mois d’investigation ont mobilisé la Section de Recherche de la Gendarmerie, en charge de l’enquête, ainsi que la brigade territoriale de Port-Louis, la brigade de recherche du Moule, les techniciens de la cellule d’identification criminelle de Pointe-à-Pitre, les militaires de l’antenne GIGN de Pointe-à-Pitre, et une unité métropolitaine. Les enquêteurs se sont déplacés à plusieurs reprises dans l’hexagone jusqu’à l’interpellation du dernier suspect.
"Le mobile reste à déterminer » selon M. Desjardins mais il semblerait pouvoir être le vol d’une arme dans les jours précédents; on a également des jeunes hommes qui circulent dans le milieu des stupéfiants mais tout cela reste à déterminer avec précision", selon le procureur.
M. Desjardins a salué l’aboutissement d’une enquête "délicate" et "au long cours" sur "l’exécution d’un très jeune homme", ayant abouti, "début décembre", à l’interpellation des deux derniers suspects dans cette affaire. L’un, âgé de 20 ans, domicilié au quartier de l’Assainissement à Pointe-à-Pitre, a été interpellé en Guadeloupe, et l’autre, âgé de 22 ans, dans l’hexagone, à Asnière-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Ce dernier a fait l’objet d’un mandat d’amener.
Un tout premier suspect, âgé de 18 ans, avait, lui, été interpellé début octobre à Troyes (Aube), selon la même source. "Il avait dans les jours ayant suivi les faits, décidé de quitter la Guadeloupe pour aller se réfugier chez sa mère".
Les trois individus, pas particulièrement connus des services, "reconnaissent tous avoir été présents au moment des faits", a indiqué M. Desjardins. Ils ont été placés en détention provisoire.
La victime avait été retrouvée morte, en rigidité cadavérique, le 19 février, tuée par balles, sur une trace d’Anse Bertrand.
Les neuf mois d’investigation ont mobilisé la Section de Recherche de la Gendarmerie, en charge de l’enquête, ainsi que la brigade territoriale de Port-Louis, la brigade de recherche du Moule, les techniciens de la cellule d’identification criminelle de Pointe-à-Pitre, les militaires de l’antenne GIGN de Pointe-à-Pitre, et une unité métropolitaine. Les enquêteurs se sont déplacés à plusieurs reprises dans l’hexagone jusqu’à l’interpellation du dernier suspect.
"Le mobile reste à déterminer » selon M. Desjardins mais il semblerait pouvoir être le vol d’une arme dans les jours précédents; on a également des jeunes hommes qui circulent dans le milieu des stupéfiants mais tout cela reste à déterminer avec précision", selon le procureur.