PAPEETE, 9 juin 2015 – L’enquête de fragrance pour meurtre se poursuit à Bora Bora après la découverte, dimanche matin à son domicile, d’un commerçant de 47 ans mort par égorgement. Les premiers résultats de l’autopsie pratiquée lundi soir sur la victime laissent supposer qu’il y a "90% de probabilité qu’il s’agisse d’une automutilation", apprend-t-on mardi de sources judiciaires.
Maui S. avait été retrouvé par son cousin, dimanche matin vers 7 heures, baignant dans une mare de sang sur le perron de son domicile. La victime vivait seule dans une maison située juste derrière les locaux de la gendarmerie de Bora Bora. Domicile à l'intérieur duquel les enquêteurs ont constaté la présence de multiples traces de sang.
L'arme ayant causé la blessure a été retrouvée par les enquêteurs et fait aujourd'hui l'objet d'analyses, tout comme des prélèvements sanguins effectués sur place. Des enregistrements de vidéosurveillance du quartier sont également visionnés.
L'enquête de voisinage réalisée dès dimanche par la section de recherches de la gendarmerie n'a mis en évidence aucun témoignage faisant état d’appels au secours, de cris ou de bruits de bagarre au moment où la victime aurait pu être agressée, dans la nuit de samedi à dimanche. Or, les premiers constats réalisés par le médecin légiste, lundi soir, laissent penser que la blessure qui a causé la mort de Maui S. n'était pas immédiatement mortelle, mais que la victime aurait pu survivre plusieurs minutes avant de décéder des suites d'une hémorragie.
L’enquête de flagrance pour meurtre se poursuit donc à Bora Bora même si dorénavant l'hypothèse d'un suicide apparaît de plus en plus probable.
Maui S. avait été retrouvé par son cousin, dimanche matin vers 7 heures, baignant dans une mare de sang sur le perron de son domicile. La victime vivait seule dans une maison située juste derrière les locaux de la gendarmerie de Bora Bora. Domicile à l'intérieur duquel les enquêteurs ont constaté la présence de multiples traces de sang.
L'arme ayant causé la blessure a été retrouvée par les enquêteurs et fait aujourd'hui l'objet d'analyses, tout comme des prélèvements sanguins effectués sur place. Des enregistrements de vidéosurveillance du quartier sont également visionnés.
L'enquête de voisinage réalisée dès dimanche par la section de recherches de la gendarmerie n'a mis en évidence aucun témoignage faisant état d’appels au secours, de cris ou de bruits de bagarre au moment où la victime aurait pu être agressée, dans la nuit de samedi à dimanche. Or, les premiers constats réalisés par le médecin légiste, lundi soir, laissent penser que la blessure qui a causé la mort de Maui S. n'était pas immédiatement mortelle, mais que la victime aurait pu survivre plusieurs minutes avant de décéder des suites d'une hémorragie.
L’enquête de flagrance pour meurtre se poursuit donc à Bora Bora même si dorénavant l'hypothèse d'un suicide apparaît de plus en plus probable.
