PORT-VILA, lundi 23 septembre 2013 (Flash d’Océanie) – La compagnie aérienne internationale Air Vanuatu a annoncé ce week-end le lancement prochain d’une desserte directe entre Luganville (île d’Espiritu Santo, Nord de l’archipel) et l’aéroport de Nouméa-La Tontouta, en Nouvelle-Calédonie voisine.
La compagnie vanuatuane, qui exploite notamment dans sa flotte des Boeing et un ATR-72, a rappelé en faisant cette annonce les liens historiques existant entre l’île de Santo et une importante communauté française qui l’a quittée au lendemain de l’indépendance de cet archipel, lorsque le condominium franco-britannique des Nouvelles-Hébrides est devenu l’État indépendant de Vanuatu, le 30 juillet 1980, rappelle la presse locale, citant le Directeur Général de la compagnie, le francophone Joseph Laloyer.
Depuis, une grande partie des Français établis à Santo avant l’indépendance a reconstruit une vie en Nouvelle-Calédonie.
Le vol inaugural a été annoncé pour courant octobre 2013.
Air Vanuatu envisage également de lancer, dans les mois à venir, une autre desserte directe entre l’île de Tanna (Sud, où se trouve l’une des principales attractions touristiques de l’archipel, le volcan Yasur, réputé pour être l’un des volcans en activité permanente les plus accessibles au monde) et l’aéroport de La Tontouta.
La piste de l’aéroport de Tanna avait été remise à niveau, sur financement français, à la fin des années 1990, afin de permettre l’accueil d’avions de type ATR-42 ou -72.
Mi-septembre 2013, les autorités de Port-Vila évoquaient des négociations avec les autorités françaises en vue de permettre la mise en place d’un système de délivrance de visas à l’arrivée sur le territoire français.
Jusqu’ici, l’octroi de visas passe par une demande à l’ambassade de France à Port-Vila.
Selon le directeur général du ministère des affaires étrangères à Port-Vila, Johnny Koanapo, les négociations actuellement en cours entre autorités françaises et vanuatuanes se baseraient sur le principe de réciprocité.
Au niveau européen, selon les mêmes sources, un accord de principe aurait été obtenu, mais il doit désormais être entériné par les institutions européennes.
Des démarches similaires auraient aussi été entamées avec des pays voisins comme l’Australie.
pad
La compagnie vanuatuane, qui exploite notamment dans sa flotte des Boeing et un ATR-72, a rappelé en faisant cette annonce les liens historiques existant entre l’île de Santo et une importante communauté française qui l’a quittée au lendemain de l’indépendance de cet archipel, lorsque le condominium franco-britannique des Nouvelles-Hébrides est devenu l’État indépendant de Vanuatu, le 30 juillet 1980, rappelle la presse locale, citant le Directeur Général de la compagnie, le francophone Joseph Laloyer.
Depuis, une grande partie des Français établis à Santo avant l’indépendance a reconstruit une vie en Nouvelle-Calédonie.
Le vol inaugural a été annoncé pour courant octobre 2013.
Air Vanuatu envisage également de lancer, dans les mois à venir, une autre desserte directe entre l’île de Tanna (Sud, où se trouve l’une des principales attractions touristiques de l’archipel, le volcan Yasur, réputé pour être l’un des volcans en activité permanente les plus accessibles au monde) et l’aéroport de La Tontouta.
La piste de l’aéroport de Tanna avait été remise à niveau, sur financement français, à la fin des années 1990, afin de permettre l’accueil d’avions de type ATR-42 ou -72.
Mi-septembre 2013, les autorités de Port-Vila évoquaient des négociations avec les autorités françaises en vue de permettre la mise en place d’un système de délivrance de visas à l’arrivée sur le territoire français.
Jusqu’ici, l’octroi de visas passe par une demande à l’ambassade de France à Port-Vila.
Selon le directeur général du ministère des affaires étrangères à Port-Vila, Johnny Koanapo, les négociations actuellement en cours entre autorités françaises et vanuatuanes se baseraient sur le principe de réciprocité.
Au niveau européen, selon les mêmes sources, un accord de principe aurait été obtenu, mais il doit désormais être entériné par les institutions européennes.
Des démarches similaires auraient aussi été entamées avec des pays voisins comme l’Australie.
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