Tahiti, le 24 mars 2025 - Le 26 avril prochain, Jamel Debbouze vient au Fenua pour une représentation unique place To’ata en compagnie de cinq artistes de son Comedy Club. En interview, il partage son plaisir de revenir à Tahiti où il a conservé de très bons souvenirs.
Content de revenir au Fenua ?
“Je suis plus que content. Cela fait très longtemps que je ne suis pas revenu. J’ai passé un moment extraordinaire là-bas. Je m’en souviendrai encore longtemps.”
Quels souvenirs tu gardes de tes passages en Polynésie ?
“Ce qui m’a marqué, c’est l’humanité, cette joie de vivre. Évidemment, je sais que ce n’est pas facile forcément d’habiter là-bas. On connait plus ou moins les problèmes sociaux. Ils sont évidents. Mais ce sourire qu’il y a sur toutes les lèvres, cela m’avait vraiment frappé. J’ai aimé les gens. Ce sont eux qui m’ont frappé, plus que le paysage, même s’il est fabuleux. Mais les gens, ils sont plus beaux que le paysage à Tahiti.”
Tu ne voulais pas revenir seul. Il fallait que tu emmènes quelques comédiens avec toi…
“Ils ne voulaient pas me croire. Il fallait bien que je prouve que c’était la vérité. Je leur ai dit, ‘Tahiti, c’est extraordinaire, c’est formidable. Ça rit à foison. Ils n’ont qu’une envie, c’est de communier et de rire avec toi sur scène.’ J’avais envie de leur faire partager ça. C’est un public à part.”
Pourquoi avoir choisi ces cinq humoristes : Redouanne Harjane, Ilyes Mela, Basile, Antek et Nash ?
“J’aurais pu en choisir plein d’autres. Il y en a plein qui sont supers. Là, on termine une tournée à travers toute la France ; j’ai joué avec pas mal de comédiens, mais avec eux, j’étais sûr et certain de faire un spectacle extraordinaire et dont vous vous souviendrez.”
Comment se déroulera la soirée ? Tous ensemble sur scène ou les uns après les autres ?
“Il faut venir pour savoir comment ça se passe. Je ne vais pas dévoiler tout le spectacle. Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ouvre ce magnifique spectacle. Je suis un membre actif de ce spectacle. Ils vont arriver les uns derrière les autres, vous faire découvrir leurs univers et à la fin, on aura une belle surprise.”
Il y a un thème, des sujets communs ?
“Ils parlent d’eux, ils parlent de la société, ils vont forcément parler des Polynésiens parce que c’est plus fort qu’eux, ils sont obligés de faire des choses de circonstance. On va s’inspirer de ce qu’il se passe aujourd’hui en Polynésie… On va parler de vous, et on va parler de nous.”
Avant de monter sur scène, vous leur donnez des conseils à ces cinq humoristes ?
“Bien sûr, je passe mon temps à leur donner des conseils. Le problème, c’est qu’ils n’écoutent jamais. Je suis un peu le daron de la troupe. Mais j’arrive aussi avec des artistes assez accomplis. Ils ne viennent pas de débarquer. Redouanne Harjane, c’est un pilier du Jamel Comedy Club. Ils ont un univers assez extraordinaire. Ce sont déjà de grands professionnels.”
Le Jamel Comedy Club existe déjà depuis longtemps. Pourquoi avoir voulu aider les jeunes humoristes à se lancer ?
“Franchement, je n’ai pas réfléchi. J’avais envie de monter un endroit où on se réunit tous. Moi, je viens des associations culturelles. Derrière, j’ai rencontré Radio Nova et Canal+ qui m’ont aidé et qui m’ont montré qu’il fallait ouvrir au maximum. Je n’ai fait que reproduire les choses qu’on m’a montrées. Le Comedy Club est un super endroit. Les gens peuvent s’y exprimer, cela paraît naturel de pouvoir leur ouvrir les portes. J’ai eu raison. Ils sont venus s’exprimer et ils font rire aujourd’hui la France entière.”
Quel regard portez-vous sur tous ceux qui ont fait cette scène, qu’ils aient fait carrière, ou non ?
“Le courage. Ce n’est pas facile de monter sur scène. Ce n’est pas facile d’être face à soi. Puis l’intelligence, le charisme. Ils étaient tous très fragiles quand ils sont arrivés, et quand ils sont sortis, ils étaient tous très forts. Mentalement comme physiquement. Je garde une magnifique histoire avec chacun d’entre eux. Je me suis beaucoup amusé et j’ai le sentiment de leur avoir été utile.”
La scène, ce sera To’ata. Plus de 4 000 spectateurs. Ce sera impressionnant ?
“Bien sûr. Il va falloir du courage, mais c’est tellement grisant, l’idée de venir jouer chez vous. On sait que les gens seront au rendez-vous, qu’il y aura une vraie ambiance, et on va en profiter.”
Ils veulent tous venir avec vous…
“On est parti avec la troupe où on est vingt comédiens. Et on change régulièrement pour n’en garder que cinq ou six. Là, la mort dans l’âme, j’ai dû faire un choix.”
Content de revenir au Fenua ?
“Je suis plus que content. Cela fait très longtemps que je ne suis pas revenu. J’ai passé un moment extraordinaire là-bas. Je m’en souviendrai encore longtemps.”
Quels souvenirs tu gardes de tes passages en Polynésie ?
“Ce qui m’a marqué, c’est l’humanité, cette joie de vivre. Évidemment, je sais que ce n’est pas facile forcément d’habiter là-bas. On connait plus ou moins les problèmes sociaux. Ils sont évidents. Mais ce sourire qu’il y a sur toutes les lèvres, cela m’avait vraiment frappé. J’ai aimé les gens. Ce sont eux qui m’ont frappé, plus que le paysage, même s’il est fabuleux. Mais les gens, ils sont plus beaux que le paysage à Tahiti.”
Tu ne voulais pas revenir seul. Il fallait que tu emmènes quelques comédiens avec toi…
“Ils ne voulaient pas me croire. Il fallait bien que je prouve que c’était la vérité. Je leur ai dit, ‘Tahiti, c’est extraordinaire, c’est formidable. Ça rit à foison. Ils n’ont qu’une envie, c’est de communier et de rire avec toi sur scène.’ J’avais envie de leur faire partager ça. C’est un public à part.”
Pourquoi avoir choisi ces cinq humoristes : Redouanne Harjane, Ilyes Mela, Basile, Antek et Nash ?
“J’aurais pu en choisir plein d’autres. Il y en a plein qui sont supers. Là, on termine une tournée à travers toute la France ; j’ai joué avec pas mal de comédiens, mais avec eux, j’étais sûr et certain de faire un spectacle extraordinaire et dont vous vous souviendrez.”
Comment se déroulera la soirée ? Tous ensemble sur scène ou les uns après les autres ?
“Il faut venir pour savoir comment ça se passe. Je ne vais pas dévoiler tout le spectacle. Tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ouvre ce magnifique spectacle. Je suis un membre actif de ce spectacle. Ils vont arriver les uns derrière les autres, vous faire découvrir leurs univers et à la fin, on aura une belle surprise.”
Il y a un thème, des sujets communs ?
“Ils parlent d’eux, ils parlent de la société, ils vont forcément parler des Polynésiens parce que c’est plus fort qu’eux, ils sont obligés de faire des choses de circonstance. On va s’inspirer de ce qu’il se passe aujourd’hui en Polynésie… On va parler de vous, et on va parler de nous.”
Avant de monter sur scène, vous leur donnez des conseils à ces cinq humoristes ?
“Bien sûr, je passe mon temps à leur donner des conseils. Le problème, c’est qu’ils n’écoutent jamais. Je suis un peu le daron de la troupe. Mais j’arrive aussi avec des artistes assez accomplis. Ils ne viennent pas de débarquer. Redouanne Harjane, c’est un pilier du Jamel Comedy Club. Ils ont un univers assez extraordinaire. Ce sont déjà de grands professionnels.”
Le Jamel Comedy Club existe déjà depuis longtemps. Pourquoi avoir voulu aider les jeunes humoristes à se lancer ?
“Franchement, je n’ai pas réfléchi. J’avais envie de monter un endroit où on se réunit tous. Moi, je viens des associations culturelles. Derrière, j’ai rencontré Radio Nova et Canal+ qui m’ont aidé et qui m’ont montré qu’il fallait ouvrir au maximum. Je n’ai fait que reproduire les choses qu’on m’a montrées. Le Comedy Club est un super endroit. Les gens peuvent s’y exprimer, cela paraît naturel de pouvoir leur ouvrir les portes. J’ai eu raison. Ils sont venus s’exprimer et ils font rire aujourd’hui la France entière.”
Quel regard portez-vous sur tous ceux qui ont fait cette scène, qu’ils aient fait carrière, ou non ?
“Le courage. Ce n’est pas facile de monter sur scène. Ce n’est pas facile d’être face à soi. Puis l’intelligence, le charisme. Ils étaient tous très fragiles quand ils sont arrivés, et quand ils sont sortis, ils étaient tous très forts. Mentalement comme physiquement. Je garde une magnifique histoire avec chacun d’entre eux. Je me suis beaucoup amusé et j’ai le sentiment de leur avoir été utile.”
La scène, ce sera To’ata. Plus de 4 000 spectateurs. Ce sera impressionnant ?
“Bien sûr. Il va falloir du courage, mais c’est tellement grisant, l’idée de venir jouer chez vous. On sait que les gens seront au rendez-vous, qu’il y aura une vraie ambiance, et on va en profiter.”
Ils veulent tous venir avec vous…
“On est parti avec la troupe où on est vingt comédiens. Et on change régulièrement pour n’en garder que cinq ou six. Là, la mort dans l’âme, j’ai dû faire un choix.”
Samedi 26 avril 2025 – 19 h 30
Place To'ata
Jamel Debbouze et le Jamel Comedy Club
Tarifs :
Fosse assise
Chaise or : 8 000 francs
Chaise cat. 1 : 7 000 francs
Tribunes
Cat. 1 (bas tribune 1 et début tribunes 2 et 3) : 6 500 francs
Cat. 2 (centre tribune 1, milieu tribune 2 et 3) : 5 500 francs
Cat. 3 (haut tribune 1 et fin tribunes 2 et 3) : 4 500 francs
En vente dans les magasins carrefour Faa'a, Punaauia, Arue et à Radio 1 et Tiare FM à Fare Ute ainsi qu’en ligne sur www.ticketpacific.pf (frais web : + 100 francs/place achetée en ligne).
Important : à l'achat de votre billet en magasin ou en ligne, vous avez la possibilité de sélectionner votre siège. Attention sur mobile, il faut activer la version “web” en cliquant sur “afficher la version web” en bas de votre page ticketpacific.pf.
Place To'ata
Jamel Debbouze et le Jamel Comedy Club
Tarifs :
Fosse assise
Chaise or : 8 000 francs
Chaise cat. 1 : 7 000 francs
Tribunes
Cat. 1 (bas tribune 1 et début tribunes 2 et 3) : 6 500 francs
Cat. 2 (centre tribune 1, milieu tribune 2 et 3) : 5 500 francs
Cat. 3 (haut tribune 1 et fin tribunes 2 et 3) : 4 500 francs
En vente dans les magasins carrefour Faa'a, Punaauia, Arue et à Radio 1 et Tiare FM à Fare Ute ainsi qu’en ligne sur www.ticketpacific.pf (frais web : + 100 francs/place achetée en ligne).
Important : à l'achat de votre billet en magasin ou en ligne, vous avez la possibilité de sélectionner votre siège. Attention sur mobile, il faut activer la version “web” en cliquant sur “afficher la version web” en bas de votre page ticketpacific.pf.