PARIS, le 5 décembre 2014. L’Assemblée nationale a publié dans son Journal officiel les rattachements financiers pour chacun de ses 577 députés. C'est le second volet du financement des partis politiques.
En se déclarant auprès d’un parti politique, un député permet à celui-ci de toucher autour de 40 000 euros (4 773 2000 Fcfp). Les partis qui peuvent y accéder sont ceux qui ont réuni au moins 1% des votes dans au moins 50 circonscriptions lors des dernières législatives.
Cette liste est précieuse pour les partis. Elle est l’un des critères permettant de débloquer la deuxième fraction de leurs financements publics annuels.
Cette seconde enveloppe dépend du nombre de parlementaires qui déclarent appartenir à ce parti chaque année.
Ainsi, les trois députés polynésiens (Maina Sage, Jonas Tahuaitu et Jean-Paul Tuaiva) se sont rattachés à l'UDI.
Sonia Lagarde et Philippe Gomes, députés du Caillou, de Calédonie ensemble, se sont eux aussi affiliés à l'UDI. L'UDI peut ainsi revendiquer 30 députés.
En s'affiliant à « un grand parti politique », les parlementaires peuvent ainsi toucher l’aide de la deuxième fraction passaient par cette structure, moyennant une légère commission et cela permet d'assurer au parti politique, ici l'UDI, d'accéder à la première fraction des crédits publics.
En se déclarant auprès d’un parti politique, un député permet à celui-ci de toucher autour de 40 000 euros (4 773 2000 Fcfp). Les partis qui peuvent y accéder sont ceux qui ont réuni au moins 1% des votes dans au moins 50 circonscriptions lors des dernières législatives.
Cette liste est précieuse pour les partis. Elle est l’un des critères permettant de débloquer la deuxième fraction de leurs financements publics annuels.
Cette seconde enveloppe dépend du nombre de parlementaires qui déclarent appartenir à ce parti chaque année.
Ainsi, les trois députés polynésiens (Maina Sage, Jonas Tahuaitu et Jean-Paul Tuaiva) se sont rattachés à l'UDI.
Sonia Lagarde et Philippe Gomes, députés du Caillou, de Calédonie ensemble, se sont eux aussi affiliés à l'UDI. L'UDI peut ainsi revendiquer 30 députés.
En s'affiliant à « un grand parti politique », les parlementaires peuvent ainsi toucher l’aide de la deuxième fraction passaient par cette structure, moyennant une légère commission et cela permet d'assurer au parti politique, ici l'UDI, d'accéder à la première fraction des crédits publics.
