Tahiti, le 11 octobre 2025 – En réaction à la récente prise de position de la Fissap, l’Ordre des infirmiers de Polynésie française (OIPF) “réaffirme avec conviction son soutien total à la revalorisation en catégorie A de la profession infirmière et à la reconnaissance de sa place essentielle au sein du système de santé du pays” dans un communiqué.
Dans un communiqué adressé ce samedi aux médias, l'Ordre des infirmiers de Polynésie française (OIPF) réagit aux récentes déclarations de la secrétaire générale de la Fédération des professionnels de la santé et de l’administration en Polynésie (Fissap), Mireille Duval, concernant le projet de délibération du gouvernement entourant la revalorisation des infirmiers de la fonction publique en catégorie A. Il y a quelques jours, cette dernière avait dénoncé une “approche inégalitaire” et un “sentiment d’injustice” vis-à-vis des autres agents et catégories.
À travers sa présidente, Marie Cortelli, l’Ordre “réaffirme avec conviction son soutien total à la revalorisation en catégorie A de la profession infirmière et à la reconnaissance de sa place essentielle au sein du système de santé du pays”, soulignant que “cette évolution statutaire n’a rien d’un privilège, ni d’une dépense superflue”. “Elle représente une mesure attendue, légitime et pleine de bon sens, au regard du niveau de formation, de responsabilité et d’engagement que nous assumons chaque jour auprès de la population”, poursuit-elle.
Un point est fait sur le projet d’Infirmiers en pratique avancée (IPA), l’occasion pour l’OIPF de souligner qu’il est “la seule instance légitime à pouvoir en assurer la conduite et la structuration”, l’objectif étant de renforcer l’accès aux soins et de répondre aux réalités des archipels tout en prenant en compte les aspects juridiques.
En guise de conclusion, l’Ordre des infirmiers rappelle qu’il “défend l’honneur, le respect et l’indépendance dus à la profession (...) en veillant à ce qu’aucune considération ne serve d’alibi pour freiner la reconnaissance légitime de celles et ceux qui assument chaque jour la responsabilité de la continuité des soins à la population sur tout le territoire”.
Dans un communiqué adressé ce samedi aux médias, l'Ordre des infirmiers de Polynésie française (OIPF) réagit aux récentes déclarations de la secrétaire générale de la Fédération des professionnels de la santé et de l’administration en Polynésie (Fissap), Mireille Duval, concernant le projet de délibération du gouvernement entourant la revalorisation des infirmiers de la fonction publique en catégorie A. Il y a quelques jours, cette dernière avait dénoncé une “approche inégalitaire” et un “sentiment d’injustice” vis-à-vis des autres agents et catégories.
À travers sa présidente, Marie Cortelli, l’Ordre “réaffirme avec conviction son soutien total à la revalorisation en catégorie A de la profession infirmière et à la reconnaissance de sa place essentielle au sein du système de santé du pays”, soulignant que “cette évolution statutaire n’a rien d’un privilège, ni d’une dépense superflue”. “Elle représente une mesure attendue, légitime et pleine de bon sens, au regard du niveau de formation, de responsabilité et d’engagement que nous assumons chaque jour auprès de la population”, poursuit-elle.
Un point est fait sur le projet d’Infirmiers en pratique avancée (IPA), l’occasion pour l’OIPF de souligner qu’il est “la seule instance légitime à pouvoir en assurer la conduite et la structuration”, l’objectif étant de renforcer l’accès aux soins et de répondre aux réalités des archipels tout en prenant en compte les aspects juridiques.
En guise de conclusion, l’Ordre des infirmiers rappelle qu’il “défend l’honneur, le respect et l’indépendance dus à la profession (...) en veillant à ce qu’aucune considération ne serve d’alibi pour freiner la reconnaissance légitime de celles et ceux qui assument chaque jour la responsabilité de la continuité des soins à la population sur tout le territoire”.





































