Les Cats on Trees seront en concert à la Casa Mahina le vendredi 10 mai.
Papeete, le 6 mai 2019 - Trois ans après leur premier concert au fenua, le groupe toulousain de pop rock, Cats on Trees, revient sur la scène de la Casa Mahina le 10 mai. Accompagnés cette fois-ci d'une violoniste, Nina Goern et Yohan Hennequin interpréteront les chansons de leur second album "Neon", sans oublier leurs titres, devenus désormais des "classiques" de la pop française, à l'instar de Sirens Call ou Jimmy !
Pour les fans de la première heure venus à la Casa en 2016, attendez-vous vendredi soir à un petit clin d'œil de la part des Cats on Trees !
Quels souvenirs gardez-vous de votre premier concert en Polynésie en 2016 ?
Yohan Hennequin : "C'était un highlight de la tournée, le point d'orgue du premier album. On a pu faire le bilan de tout ce que l'on avait vécu et souffler un peu. On y a rencontré des amis, qui nous ont montré le côté paradisiaque de l'île avec les gens, les paysages, les fonds marins, on a fait du surf… Les concerts étaient très chouettes aussi. On est ravis de revenir ici, vous vivez au paradis !"
Votre premier album éponyme est sorti en 2013, vous avez attendu quelques années avant de sortir en 2018 votre second album Néon ?
Nina Goern : "La tournée du premier album a été très longue, on a fait plus de 200 dates. On a défendu nos singles longtemps, car ils sont restés pas mal en radio. En réalité, on n'a jamais arrêté de composer, mais on a fini la tournée fatigués avec l'envie de voir d'autre choses, de sortir de ce contexte-là pour mieux y retourner ensuite. Il n'y a pas eu de pause musicale, mais juste eu une pause de vie pour retrouver nos esprits, profiter de nos familles, voir des concerts, ouvrir nos oreilles et nos yeux !"
Pour les fans de la première heure venus à la Casa en 2016, attendez-vous vendredi soir à un petit clin d'œil de la part des Cats on Trees !
Quels souvenirs gardez-vous de votre premier concert en Polynésie en 2016 ?
Yohan Hennequin : "C'était un highlight de la tournée, le point d'orgue du premier album. On a pu faire le bilan de tout ce que l'on avait vécu et souffler un peu. On y a rencontré des amis, qui nous ont montré le côté paradisiaque de l'île avec les gens, les paysages, les fonds marins, on a fait du surf… Les concerts étaient très chouettes aussi. On est ravis de revenir ici, vous vivez au paradis !"
Votre premier album éponyme est sorti en 2013, vous avez attendu quelques années avant de sortir en 2018 votre second album Néon ?
Nina Goern : "La tournée du premier album a été très longue, on a fait plus de 200 dates. On a défendu nos singles longtemps, car ils sont restés pas mal en radio. En réalité, on n'a jamais arrêté de composer, mais on a fini la tournée fatigués avec l'envie de voir d'autre choses, de sortir de ce contexte-là pour mieux y retourner ensuite. Il n'y a pas eu de pause musicale, mais juste eu une pause de vie pour retrouver nos esprits, profiter de nos familles, voir des concerts, ouvrir nos oreilles et nos yeux !"
UNE VIOLONISTE SUR SCENE
Que peut-on dire sur ce nouvel opus, Neon ?
Nina Goern : "Ce nouvel album résume tout ce que l'on a vécu avec le succès du premier album qui a été un vrai bouleversement dans nos vies. On a vécu cela comme une autoroute et on a suivi sa direction (…). On a fait beaucoup de rencontres, de voyages. C'est un peu comme une machine à laver… et de là, on en ressort plein d'histoires."
Yohan Hennequin : "Ce nouvel album est à la fois plus direct et a plus de relief. On a écrit les morceaux différemment, car la composition s'est étalée sur une très longue période, cela fait des titres très riches et très variés. Quand tu composes quatre titres en un mois, tu restes dans une même veine en terme d'intention d'arrangements, mais quand tu l'étales sur plusieurs années, tu passes par des phases très différentes. L'importance première est donnée à la mélodie, mais il y a peut-être davantage de morceaux rythmiques. Plusieurs chansons du nouvel album ont été mûries à Tahiti. Il y a un petit truc ici lié à l'éloignement et à l'environnement qui nous touche beaucoup."
Comment composez-vous ?
Nina Goern : " On n'a pas un rôle prédéfini, on écrit séparément et ensemble. On a des idées, on les met en commun. Pour le texte, chacun écrit ce qu'il veut, souvent cela fait écran à l'autre, car on connaît nos vies par cœur, il y a beaucoup de confiance entre nous. On écrit beaucoup en anglais, mais on a aussi quelques chansons en français, et même une en allemand."
Quelques mots sur le concert de vendredi ?
Yohan Hennequin : "On a amené Charlotte, une violoniste dans nos valises ! Par rapport à nos premiers concerts ici, cela nous permet de réarranger les morceaux de façon plus organique (…). Les cordes sont un apport mélodique supplémentaire pour sublimer les morceaux (…). Vendredi, il y aura des touches locales, avec quelques surprises !"
Nina Goern : "Ce nouvel album résume tout ce que l'on a vécu avec le succès du premier album qui a été un vrai bouleversement dans nos vies. On a vécu cela comme une autoroute et on a suivi sa direction (…). On a fait beaucoup de rencontres, de voyages. C'est un peu comme une machine à laver… et de là, on en ressort plein d'histoires."
Yohan Hennequin : "Ce nouvel album est à la fois plus direct et a plus de relief. On a écrit les morceaux différemment, car la composition s'est étalée sur une très longue période, cela fait des titres très riches et très variés. Quand tu composes quatre titres en un mois, tu restes dans une même veine en terme d'intention d'arrangements, mais quand tu l'étales sur plusieurs années, tu passes par des phases très différentes. L'importance première est donnée à la mélodie, mais il y a peut-être davantage de morceaux rythmiques. Plusieurs chansons du nouvel album ont été mûries à Tahiti. Il y a un petit truc ici lié à l'éloignement et à l'environnement qui nous touche beaucoup."
Comment composez-vous ?
Nina Goern : " On n'a pas un rôle prédéfini, on écrit séparément et ensemble. On a des idées, on les met en commun. Pour le texte, chacun écrit ce qu'il veut, souvent cela fait écran à l'autre, car on connaît nos vies par cœur, il y a beaucoup de confiance entre nous. On écrit beaucoup en anglais, mais on a aussi quelques chansons en français, et même une en allemand."
Quelques mots sur le concert de vendredi ?
Yohan Hennequin : "On a amené Charlotte, une violoniste dans nos valises ! Par rapport à nos premiers concerts ici, cela nous permet de réarranger les morceaux de façon plus organique (…). Les cordes sont un apport mélodique supplémentaire pour sublimer les morceaux (…). Vendredi, il y aura des touches locales, avec quelques surprises !"
Infos pratiques :
Concert le vendredi 10 mai à la Casa Mahina
Ouverture des portes à partir de 19 heures.
Première partie des Yellowstone (sous réserve) à partir de 19h30 puis concert des Cats on Trees.
Places à vendre chez : Atomi Records - Vinyls Tahiti ; Smart Store Tahiti à Vaima ; Bose Galerie marchande Carrefour Faa'a ; Casa Mahina (entre 17 et 21 heures).
Sur internet : www.weezevent.com/cats-on-trees-a-la-casa-mahina (des frais internet supplémentaires sont appliqués lors de l'achat en ligne ou chez Atomi Records).
Tarifs : 4000 francs en prévente ; 4500 francs sur place.
Concert le vendredi 10 mai à la Casa Mahina
Ouverture des portes à partir de 19 heures.
Première partie des Yellowstone (sous réserve) à partir de 19h30 puis concert des Cats on Trees.
Places à vendre chez : Atomi Records - Vinyls Tahiti ; Smart Store Tahiti à Vaima ; Bose Galerie marchande Carrefour Faa'a ; Casa Mahina (entre 17 et 21 heures).
Sur internet : www.weezevent.com/cats-on-trees-a-la-casa-mahina (des frais internet supplémentaires sont appliqués lors de l'achat en ligne ou chez Atomi Records).
Tarifs : 4000 francs en prévente ; 4500 francs sur place.
