Tahiti, le 27 septembre 2025 – Un trafiquant d'ice âgé de 24 ans a été interpellé par les gendarmes et condamné, le 23 septembre, à huit mois de prison avec sursis probatoire pendant deux ans.
Dans un post diffusé vendredi sur sa page Facebook, la gendarmerie indique que « "suite au recueil et à la valorisation de plusieurs renseignements, les gendarmes du COMGEND PF, appuyés par l’antenne GIGN de Papeete, ont procédé à l’interpellation d’un individu, trafiquant d’Ice dans le quartier de Taua".
L’intéressé, âgé de 24 ans, "sans emploi " et "particulièrement précautionneux", vendait de la méthamphétamine depuis une habitation qu’il sous-louait.
La perquisition effectuée à son domicile a permis de découvrir de "nombreux sachets de conditionnement, des balances de précision pour la pesée de la drogue de synthèse ainsi qu’une trentaine de pieds de cannabis, des boîtes d’allumettes contenant un total de 120 grammes de paka séché, 140 000 francs pacifique, trois fusils à plomb et un pistolet, qui s’est finalement avéré être factice".
Placé en garde à vue, le mis en cause a reconnu s’adonner au trafic de stupéfiants depuis quelques mois. Utilisant notamment les réseaux sociaux pour proposer les produits stupéfiants, il a indiqué avoir entre cinq à six clients quotidiens.
Présenté au parquet le 23 septembre en vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, le jeune trafiquant, jusqu’à lors inconnu de la justice, a été condamné à huit mois de prison assortis d’un sursis probatoire de 2 ans et d’une obligation de soins et de travail.
Dans un post diffusé vendredi sur sa page Facebook, la gendarmerie indique que « "suite au recueil et à la valorisation de plusieurs renseignements, les gendarmes du COMGEND PF, appuyés par l’antenne GIGN de Papeete, ont procédé à l’interpellation d’un individu, trafiquant d’Ice dans le quartier de Taua".
L’intéressé, âgé de 24 ans, "sans emploi " et "particulièrement précautionneux", vendait de la méthamphétamine depuis une habitation qu’il sous-louait.
La perquisition effectuée à son domicile a permis de découvrir de "nombreux sachets de conditionnement, des balances de précision pour la pesée de la drogue de synthèse ainsi qu’une trentaine de pieds de cannabis, des boîtes d’allumettes contenant un total de 120 grammes de paka séché, 140 000 francs pacifique, trois fusils à plomb et un pistolet, qui s’est finalement avéré être factice".
Placé en garde à vue, le mis en cause a reconnu s’adonner au trafic de stupéfiants depuis quelques mois. Utilisant notamment les réseaux sociaux pour proposer les produits stupéfiants, il a indiqué avoir entre cinq à six clients quotidiens.
Présenté au parquet le 23 septembre en vue d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, le jeune trafiquant, jusqu’à lors inconnu de la justice, a été condamné à huit mois de prison assortis d’un sursis probatoire de 2 ans et d’une obligation de soins et de travail.





































