Tahiti, le 29 octobre 2025 - Le haut-commissaire de la République en Polynésie française a signé mardi l’arrêté portant création du Comité opérationnel territorial anti-fraude (Cotaf) en Polynésie française.
L'installation d'un Comité opérationnel territorial anti-fraude (Cotaf) en Polynésie française marque une avancée majeure dans la lutte contre la fraude et le blanchiment de capitaux. Inspiré du dispositif des Comités opérationnels départementaux anti-fraude (Codaf) existant en métropole, ce nouveau cadre favorisera une meilleure synergie entre les acteurs impliqués, tout en garantissant une protection renforcée des citoyens et de l’intégrité des finances publiques. Il contribuera ainsi à prévenir plus efficacement les comportements frauduleux et à endiguer les activités criminelles en les privant de sources critiques de revenus.
Le Cotaf a pour missions de définir et coordonner les actions communes à mettre en place entre les partenaires engagés dans la lutte contre la fraude portant atteinte aux prélèvements fiscaux, sociaux ou à toute autre recette publique, ainsi qu’aux prestations sociales.
Tenant compte des spécificités institutionnelles locales et de la répartition des compétences entre l’État et le Pays, il interviendra également dans les domaines de la lutte contre le travail illégal et le blanchiment de capitaux. Le comité veillera en outre à renforcer la coordination et le partage d’informations entre les services de l’État, de la Polynésie française et de la Caisse de prévoyance sociale (CPS).
Sous une coprésidence tripartite – haut-commissariat, présidence et procureure de la République – ce comité réunira de nombreux services comme la Direction territoriale de la police nationale, la gendarmerie, la Direction régionale des douanes ou encore la CPS.
Le Cotaf assurera un suivi régulier des travaux réalisés et veillera à la transmission périodique de son bilan d’activité aux autorités compétentes.
Le Cotaf permettra de définir des priorités d’action communes et d’organiser des opérations conjointes de contrôle. Le cas échéant, des poursuites administratives et/ou pénales seront engagées à l’endroit des contrevenants. Des amendes et des fermetures administratives pourront ainsi être prononcées dans le cas de détection de fraude.
L'installation d'un Comité opérationnel territorial anti-fraude (Cotaf) en Polynésie française marque une avancée majeure dans la lutte contre la fraude et le blanchiment de capitaux. Inspiré du dispositif des Comités opérationnels départementaux anti-fraude (Codaf) existant en métropole, ce nouveau cadre favorisera une meilleure synergie entre les acteurs impliqués, tout en garantissant une protection renforcée des citoyens et de l’intégrité des finances publiques. Il contribuera ainsi à prévenir plus efficacement les comportements frauduleux et à endiguer les activités criminelles en les privant de sources critiques de revenus.
Le Cotaf a pour missions de définir et coordonner les actions communes à mettre en place entre les partenaires engagés dans la lutte contre la fraude portant atteinte aux prélèvements fiscaux, sociaux ou à toute autre recette publique, ainsi qu’aux prestations sociales.
Tenant compte des spécificités institutionnelles locales et de la répartition des compétences entre l’État et le Pays, il interviendra également dans les domaines de la lutte contre le travail illégal et le blanchiment de capitaux. Le comité veillera en outre à renforcer la coordination et le partage d’informations entre les services de l’État, de la Polynésie française et de la Caisse de prévoyance sociale (CPS).
Sous une coprésidence tripartite – haut-commissariat, présidence et procureure de la République – ce comité réunira de nombreux services comme la Direction territoriale de la police nationale, la gendarmerie, la Direction régionale des douanes ou encore la CPS.
Le Cotaf assurera un suivi régulier des travaux réalisés et veillera à la transmission périodique de son bilan d’activité aux autorités compétentes.
Le Cotaf permettra de définir des priorités d’action communes et d’organiser des opérations conjointes de contrôle. Le cas échéant, des poursuites administratives et/ou pénales seront engagées à l’endroit des contrevenants. Des amendes et des fermetures administratives pourront ainsi être prononcées dans le cas de détection de fraude.





































