Le 13 octobre à 18 heures, le MRCC Papeete, centre de coordination des opérations de recherche et sauvetage en mer, est avisé du déclenchement de la balise de détresse du bonitier HUGO, parti en début d’après-midi de Maupiti en direction de Mopelia (Maupihaa) avec huit personnes à son bord.
Aucun contact ne pouvant être établi avec le navire, le MRCC Papeete sollicite l’engagement de l’avion Gardian des Forces armées de Polynésie française pour aller reconnaître la situation. L’armateur du navire à passagers MAUPITI EXPRESS 2, contacté par le MRCC, accepte également de faire immédiatement appareiller son navire depuis Bora Bora pour porter assistance au HUGO.
A son arrivée sur zone, le Gardian localise rapidement le HUGO, en avarie totale de propulsion à la suite d’une rupture de son arbre de transmission. Le navire est donc à la dérive. Guidé par le Gardian, le MAUPITI EXPRESS 2 parvient sur zone vers 4 heures du matin et remorque le navire et ses huit occupants en direction de Mopelia, où le convoi parvient en début de matinée.
A l’issue de cette affaire qui rappelle que la solidarité des gens de mer n’est pas un vain mot, le MRCC Papeete souligne que l’emport d’une balise de détresse doit être complété par la détention à bord d’un moyen de communication à longue distance (radio ou téléphone satellite) en bon état de fonctionnement. Il est sans cela impossible pour le MRCC de déterminer immédiatement la nature de la détresse et les moyens de secours les plus adaptés.
Aucun contact ne pouvant être établi avec le navire, le MRCC Papeete sollicite l’engagement de l’avion Gardian des Forces armées de Polynésie française pour aller reconnaître la situation. L’armateur du navire à passagers MAUPITI EXPRESS 2, contacté par le MRCC, accepte également de faire immédiatement appareiller son navire depuis Bora Bora pour porter assistance au HUGO.
A son arrivée sur zone, le Gardian localise rapidement le HUGO, en avarie totale de propulsion à la suite d’une rupture de son arbre de transmission. Le navire est donc à la dérive. Guidé par le Gardian, le MAUPITI EXPRESS 2 parvient sur zone vers 4 heures du matin et remorque le navire et ses huit occupants en direction de Mopelia, où le convoi parvient en début de matinée.
A l’issue de cette affaire qui rappelle que la solidarité des gens de mer n’est pas un vain mot, le MRCC Papeete souligne que l’emport d’une balise de détresse doit être complété par la détention à bord d’un moyen de communication à longue distance (radio ou téléphone satellite) en bon état de fonctionnement. Il est sans cela impossible pour le MRCC de déterminer immédiatement la nature de la détresse et les moyens de secours les plus adaptés.
