Pau, France | AFP | samedi 14/01/2017 - Une randonneuse a été tuée, et son compagnon grièvement blessé, samedi en début d'après-midi, dans une avalanche survenue dans le secteur de Laruns, dans les Pyrénées-Atlantiques, a-t-on appris auprès des secours et des autorités.
L'avalanche s'est produite vers 13H00 loin de tout domaine dans le vallon de Gabardères, à environ 1.800 mètres d'altitude dans la vallée d'Ossau, et a emporté trois membres d'un groupe de plusieurs randonneurs, a précisé à l'AFP la sous-préfète d'Oloron-Sainte-Marie, Nathalie Gay-Sabourdy.
L'un des randonneurs, indemne après la coulée, a donné l'alerte, et une vingtaine pompiers et gendarmes de haute montagne, assistés de chiens, ont été dépêchés sur les lieux. Ils y ont dégagé le corps sans vie d'une randonneuse quinquagénaire, ainsi qu'un homme dans un un état grave d'hypothermie, qui était en voie d'hospitalisation dans l'après-midi, a-t-on précisé de même source. La victime serait la compagne du blessé, lui-même un randonneur expérimenté.
Etant donné les mauvaises conditions météo en altitude et le brouillard dense ne permettant pas à un hélicoptère de se poser, les sauveteurs ont renoncé à héliporter le blessé, optant pour l'acheminer par voie terrestre sur un brancard-traîneau, jusqu'à la route la plus proche.
L'opération de transfert du randonneur "était encore en cours" peu avant 17H00, selon la sous-préfète.
Selon le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne d'Oloron, "depuis deux jours, le risque d'avalanche sur la zone de l'accident était de niveau entre 3 et 4" (sur 5), soit de risque marqué à fort. "L'avalanche a pu être déclenchée par le poids des randonneurs, ou le poids de la poudreuse, ou des plaques", ce que l'enquête devrait s'attacher à déterminer, a-t-on précisé de même source.
Selon un bulletin de Météo-France pour les massifs pyrénéens d'Aspe et d'Ossau samedi à 16H00, le risque d'avalanche vient de passer de "marqué" à "fort" (de 3 à 4) alors qu'avec les chutes de neige successives, le manteau neigeux "perd en stabilité".
Avec de nouvelles chutes attendues dans la nuit de samedi, "le risque accidentel devient fort", encore augmenté au-dessus de 2.200 mètres, "où la sous-couche est moins solide, et où les avalanches peuvent être plus grosses", met en garde Météo-France.
L'avalanche s'est produite vers 13H00 loin de tout domaine dans le vallon de Gabardères, à environ 1.800 mètres d'altitude dans la vallée d'Ossau, et a emporté trois membres d'un groupe de plusieurs randonneurs, a précisé à l'AFP la sous-préfète d'Oloron-Sainte-Marie, Nathalie Gay-Sabourdy.
L'un des randonneurs, indemne après la coulée, a donné l'alerte, et une vingtaine pompiers et gendarmes de haute montagne, assistés de chiens, ont été dépêchés sur les lieux. Ils y ont dégagé le corps sans vie d'une randonneuse quinquagénaire, ainsi qu'un homme dans un un état grave d'hypothermie, qui était en voie d'hospitalisation dans l'après-midi, a-t-on précisé de même source. La victime serait la compagne du blessé, lui-même un randonneur expérimenté.
Etant donné les mauvaises conditions météo en altitude et le brouillard dense ne permettant pas à un hélicoptère de se poser, les sauveteurs ont renoncé à héliporter le blessé, optant pour l'acheminer par voie terrestre sur un brancard-traîneau, jusqu'à la route la plus proche.
L'opération de transfert du randonneur "était encore en cours" peu avant 17H00, selon la sous-préfète.
Selon le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne d'Oloron, "depuis deux jours, le risque d'avalanche sur la zone de l'accident était de niveau entre 3 et 4" (sur 5), soit de risque marqué à fort. "L'avalanche a pu être déclenchée par le poids des randonneurs, ou le poids de la poudreuse, ou des plaques", ce que l'enquête devrait s'attacher à déterminer, a-t-on précisé de même source.
Selon un bulletin de Météo-France pour les massifs pyrénéens d'Aspe et d'Ossau samedi à 16H00, le risque d'avalanche vient de passer de "marqué" à "fort" (de 3 à 4) alors qu'avec les chutes de neige successives, le manteau neigeux "perd en stabilité".
Avec de nouvelles chutes attendues dans la nuit de samedi, "le risque accidentel devient fort", encore augmenté au-dessus de 2.200 mètres, "où la sous-couche est moins solide, et où les avalanches peuvent être plus grosses", met en garde Météo-France.