Tepiu Bambridge, directrice éditoriale, Gérard Hoarau, directeur régional, Stella Taaroamea, rédactrice en chef de la rédaction TV, radio et web et Noëlla Tau, adjointe à l'antenne radio.
TAHITI, le 5 septembre 2022 - Proposer du contenu au plus proche des attentes des Polynésiens, telle est la volonté affichée de Polynésie la 1ère. Que ce soit à la télévision, en radio ou sur internet, les programmes sont ancrés dans la culture polynésienne.
La rentrée a eu lieu le 29 août sur Polynésie la 1ère. À cette occasion, la chaîne affiche sa volonté de proximité. Elle annonce vouloir proposer du contenu pensé pour les Polynésiens et réalisé avec eux. L’accent est mis, en prime time, sur l’actualité et la culture polynésiennes que les rendez-vous soient informatifs, divertissants ou tournés vers la découverte. Tepiu Bambridge, directrice éditoriale résume : "Polynésie la 1ère est le moyen de mettre en avant les familles polynésiennes et leur mode de vie, c’est votre télévision, elle est faite par vous et pour vous".
Polynésie la 1ère est une chaîne de télévision mais aussi une radio et un site internet. "Ce sont trois médias complémentaires. Il est important qu’ils soient, ensemble, le reflet du quotidien, mais également de l’histoire. Polynésie la 1ère a un rôle de lien social", ajoute Gérard Hoarau, directeur régional.
Soirées spéciales et événements
À la télévision, le lundi est une soirée "séries", le mardi "danse", le mercredi "information", avec des magazines, débats et documentaires. La soirée de jeudi est consacrée aux familles avec Pā’oa ora (3e saison), le vendredi à la musique, le samedi au mariage avec la 3e saison de Hono Ipo (des couples se livrent et racontent la préparation de leur union jusqu’au jour J). Le dimanche, place à l’intrigue. Parmi les nouveaux rendez-vous de la grille, se trouvent l’émission 1ère ligne ainsi que les jeux concours A Hura Mai et ’Arearea Tātou (lire aussi les encadrés).
Au cours du prochain semestre, des soirées spéciales et des soirées événements sont également annoncées. Le mercredi 21 septembre par exemple, une soirée spéciale aura pour thème le nucléaire. Vous pourrez découvrir deux documentaires : Essais nucléaires, l’archipel de la colère et Moruroa Papa.
Fin septembre, il y aura une soirée spéciale Miss Tahiti. La chaîne propose de suivre la préparation de Herenui, 60e Miss Tahiti, mais aussi d’aller à la rencontre de ses proches et de suivre son quotidien pour mieux la connaître. Le 1er octobre, vous pourrez suivre en direct l’élection de Mister Tahiti (sur le web) et entre le 26 et le 28 octobre, la Hawaiki Nui Va'a (à la télévision).
En radio
Le programme radio démarre dès 4 heures le matin avec une heure de musiques piochées dans les archives de Polynésie la 1ère. "Nous avons digitalisé de très nombreux morceaux d’antan, c’est un patrimoine magnifique", souligne Noëlla Tau, adjointe à l'antenne radio. Au fil de la journée s’enchaînent ensuite des émissions, discussions, libres antennes. Entre autres nouveautés, il y a l’émission intitulée Te Hono Ma’ohi. Elle a lieu entre 10 et 11 heures du lundi au vendredi. Pascal Mitote et Mickey Spitz, les présentateurs, y abordent des thèmes variés en présence d’invités. Ils parlent de culture, d’économie, d’environnement, de sport… Le mercredi, à 16 heures, Mateo tend le micro aux groupes de chanteurs locaux avec Tahiti Nui e.
Du côté de l'info
Les rendez-vous de l’information sont au nombre de quatre à la télévision et de 14 à la radio du lundi au vendredi. Le week-end, le chiffre descend à 6 pour la radio. Sur internet, le fil est continu, dans la mesure du possible. Stella Taaroamea, rédactrice en chef de la rédaction TV, radio et web suit la dynamique engagée. Elle insiste sur "l’exigence éditoriale" et sur la proximité. "Nous voulons être au plus près des gens." Elle dit travailler "dans un esprit de famille, en équipe" avec la volonté de "porter haut l’information", de "respecter la source".
La rentrée a eu lieu le 29 août sur Polynésie la 1ère. À cette occasion, la chaîne affiche sa volonté de proximité. Elle annonce vouloir proposer du contenu pensé pour les Polynésiens et réalisé avec eux. L’accent est mis, en prime time, sur l’actualité et la culture polynésiennes que les rendez-vous soient informatifs, divertissants ou tournés vers la découverte. Tepiu Bambridge, directrice éditoriale résume : "Polynésie la 1ère est le moyen de mettre en avant les familles polynésiennes et leur mode de vie, c’est votre télévision, elle est faite par vous et pour vous".
Polynésie la 1ère est une chaîne de télévision mais aussi une radio et un site internet. "Ce sont trois médias complémentaires. Il est important qu’ils soient, ensemble, le reflet du quotidien, mais également de l’histoire. Polynésie la 1ère a un rôle de lien social", ajoute Gérard Hoarau, directeur régional.
Soirées spéciales et événements
À la télévision, le lundi est une soirée "séries", le mardi "danse", le mercredi "information", avec des magazines, débats et documentaires. La soirée de jeudi est consacrée aux familles avec Pā’oa ora (3e saison), le vendredi à la musique, le samedi au mariage avec la 3e saison de Hono Ipo (des couples se livrent et racontent la préparation de leur union jusqu’au jour J). Le dimanche, place à l’intrigue. Parmi les nouveaux rendez-vous de la grille, se trouvent l’émission 1ère ligne ainsi que les jeux concours A Hura Mai et ’Arearea Tātou (lire aussi les encadrés).
Au cours du prochain semestre, des soirées spéciales et des soirées événements sont également annoncées. Le mercredi 21 septembre par exemple, une soirée spéciale aura pour thème le nucléaire. Vous pourrez découvrir deux documentaires : Essais nucléaires, l’archipel de la colère et Moruroa Papa.
Fin septembre, il y aura une soirée spéciale Miss Tahiti. La chaîne propose de suivre la préparation de Herenui, 60e Miss Tahiti, mais aussi d’aller à la rencontre de ses proches et de suivre son quotidien pour mieux la connaître. Le 1er octobre, vous pourrez suivre en direct l’élection de Mister Tahiti (sur le web) et entre le 26 et le 28 octobre, la Hawaiki Nui Va'a (à la télévision).
En radio
Le programme radio démarre dès 4 heures le matin avec une heure de musiques piochées dans les archives de Polynésie la 1ère. "Nous avons digitalisé de très nombreux morceaux d’antan, c’est un patrimoine magnifique", souligne Noëlla Tau, adjointe à l'antenne radio. Au fil de la journée s’enchaînent ensuite des émissions, discussions, libres antennes. Entre autres nouveautés, il y a l’émission intitulée Te Hono Ma’ohi. Elle a lieu entre 10 et 11 heures du lundi au vendredi. Pascal Mitote et Mickey Spitz, les présentateurs, y abordent des thèmes variés en présence d’invités. Ils parlent de culture, d’économie, d’environnement, de sport… Le mercredi, à 16 heures, Mateo tend le micro aux groupes de chanteurs locaux avec Tahiti Nui e.
Du côté de l'info
Les rendez-vous de l’information sont au nombre de quatre à la télévision et de 14 à la radio du lundi au vendredi. Le week-end, le chiffre descend à 6 pour la radio. Sur internet, le fil est continu, dans la mesure du possible. Stella Taaroamea, rédactrice en chef de la rédaction TV, radio et web suit la dynamique engagée. Elle insiste sur "l’exigence éditoriale" et sur la proximité. "Nous voulons être au plus près des gens." Elle dit travailler "dans un esprit de famille, en équipe" avec la volonté de "porter haut l’information", de "respecter la source".
1ère ligne, nouvelle émission de l’info
Le titre de cette émission, "1ère ligne", reprend l’identité de la chaîne et rappelle ceux qui sont "en première ligne" de l’information, sur le front de l’actualité. La journaliste Lucile Guichet-Tirao donnera la parole à ceux qui font l’actualité. Un auteur et une personnalité seront le point de départ du rendez-vous, un face à face entre deux invités permettra ensuite de faire avancer les réflexions.
Le premier épisode sera consacré au coût de la vie. "Faut-il se résigner ? Alimentation, logement, transports…alors que tous les prix augmentent, les Polynésiens peuvent-ils espérer une embellie ou se résigner ? Quels choix pour un petit pays si dépendant des importations ? Quelle société pour demain ?"
Pour ce premier épisode, 1ère ligne recevra notamment l’auteure Chantal Spitz et l’avocat Me Thibaud Millet qui défendra les droits des consommateurs. Deux personnalités de la société civile échangeront ensuite leurs points de vue.
Cette émission, mensuelle, sera diffusée le mercredi à 19h25 à partir du 14 septembre.
Le titre de cette émission, "1ère ligne", reprend l’identité de la chaîne et rappelle ceux qui sont "en première ligne" de l’information, sur le front de l’actualité. La journaliste Lucile Guichet-Tirao donnera la parole à ceux qui font l’actualité. Un auteur et une personnalité seront le point de départ du rendez-vous, un face à face entre deux invités permettra ensuite de faire avancer les réflexions.
Le premier épisode sera consacré au coût de la vie. "Faut-il se résigner ? Alimentation, logement, transports…alors que tous les prix augmentent, les Polynésiens peuvent-ils espérer une embellie ou se résigner ? Quels choix pour un petit pays si dépendant des importations ? Quelle société pour demain ?"
Pour ce premier épisode, 1ère ligne recevra notamment l’auteure Chantal Spitz et l’avocat Me Thibaud Millet qui défendra les droits des consommateurs. Deux personnalités de la société civile échangeront ensuite leurs points de vue.
Cette émission, mensuelle, sera diffusée le mercredi à 19h25 à partir du 14 septembre.
Les 1er jeux concours musique et danse
A Hura Mai est une émission de télé-réalité dans l’esprit de The Voice, diffusée chaque mardi à 19h25 depuis le 30 août. Mais ce n’est pas avec le chant que les candidats s’expriment, ils dansent le ‘ori tahiti. Les téléspectateurs suivent des équipes, des coachs. Ils peuvent découvrir les créations des 25 candidats, leur évolution, leur sensibilité et leur persévérance dans l’épreuve car ils ont des défis à relever. À la clé : un chèque de 300 000 Fcfp sera remis à la meilleure danseuse et au meilleur danseur.
L’émission ‘Arearea Tātou est, quant à elle, un jeu concours de bringue tahitienne. Elle est diffusée une fois par semaine, le vendredi à 19h25, depuis le 19 août. C’est la première du genre. Son titre signifie "fêtons ensemble". Avec ‘Arearea Tātou, Polynésie la 1ère met en avant les talents polynésiens, adeptes des bringues. Des groupes se mesurent à l’antenne. Le concept ? Entre 8 et 10 formations présélectionnées s’affrontent devant un jury qui évalue les performances vocales, musicales, instrumentales. Le grand vainqueur gagnera un séjour pour trois personnes à Hawaii pour assister au 53e festival de ‘ukulele.
A Hura Mai est une émission de télé-réalité dans l’esprit de The Voice, diffusée chaque mardi à 19h25 depuis le 30 août. Mais ce n’est pas avec le chant que les candidats s’expriment, ils dansent le ‘ori tahiti. Les téléspectateurs suivent des équipes, des coachs. Ils peuvent découvrir les créations des 25 candidats, leur évolution, leur sensibilité et leur persévérance dans l’épreuve car ils ont des défis à relever. À la clé : un chèque de 300 000 Fcfp sera remis à la meilleure danseuse et au meilleur danseur.
L’émission ‘Arearea Tātou est, quant à elle, un jeu concours de bringue tahitienne. Elle est diffusée une fois par semaine, le vendredi à 19h25, depuis le 19 août. C’est la première du genre. Son titre signifie "fêtons ensemble". Avec ‘Arearea Tātou, Polynésie la 1ère met en avant les talents polynésiens, adeptes des bringues. Des groupes se mesurent à l’antenne. Le concept ? Entre 8 et 10 formations présélectionnées s’affrontent devant un jury qui évalue les performances vocales, musicales, instrumentales. Le grand vainqueur gagnera un séjour pour trois personnes à Hawaii pour assister au 53e festival de ‘ukulele.
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À l’occasion des journées polynésiennes du patrimoine, Polynésie la 1ère ouvrira ses portes le 17 septembre. Le public pourra aller à la rencontre des lieux, mais aussi du personnel, des journalistes aux techniciens. Entrée libre.
À l’occasion des journées polynésiennes du patrimoine, Polynésie la 1ère ouvrira ses portes le 17 septembre. Le public pourra aller à la rencontre des lieux, mais aussi du personnel, des journalistes aux techniciens. Entrée libre.