Le vice-président de la Polynésie française, Edouard Fritch, en charge notamment de la communication, a pris part mercredi soir 17 novembre 2010 au débat organisé par RFO Télé Polynésie sur le thème de la Télévision numérique terrestre (TNT).
Une émission qui a montré son intérêt, eu égard aux nombreuses questions parvenues au standard de la chaîne, quand bien même il reste encore à ce jour un certain nombre de zones d’ombre…
Toujours est-il que face à cette petite révolution à laquelle se prépare le paysage audiovisuel polynésien, avec le passage de trois à neuf chaînes gratuites disponibles sur le petit écran à compter du 30 novembre prochain, le vice-président a appelé les téléspectateurs «à ne pas céder à la panique».
Pour Edouard Fritch, en effet, il ne fait aucun doute que «le Tahitien s’adaptera» ! D’autant qu’il dispose d’un délai d’un an pour s’équiper – jusqu’au 30 septembre 2011 – avant l’extinction définitive du signal analogique sur l’ensemble du territoire national.
En l’état actuel des informations dont le vice-président dispose, «on se rend compte qu’il y a un coût» a t-il par ailleurs souligné. Raison pour laquelle, «il ne faut pas se presser afin de laisser le commerce et les professionnels du secteur faire leur travail pour un accès plus raisonnable à la TNT». D’autant qu’il n’y a aucun risque d’écran noir et que les foyers qui ne sont pas équipés en Mpeg4, s’ils ne pourront pas capter les nouvelles chaînes, pourront toujours recevoir les émissions de Télé Polynésie et TNTV jusqu’à la fin septembre 2011.
Soucieux enfin de ne pas aggraver la fracture numérique et ce, dans l’optique que 100% des foyers polynésiens reçoivent la TNT, le vice-président a plaidé pour «une approche spécifique en faveur des archipels» dans la mesure où c’est notamment aux Tuamotu-Gambier que la réception s’avère la plus problématique.
Aussi, en accord avec son collègue Teva Rohfritsch, il a émis le vœu que les agences postales existant dans ces atolls puissent être étroitement associées à la commercialisation des différents matériels (adaptateurs, décodeurs etc) mais également dans les procédures d’installation avec un accompagnement particulier pour les personnes âgées.
Une émission qui a montré son intérêt, eu égard aux nombreuses questions parvenues au standard de la chaîne, quand bien même il reste encore à ce jour un certain nombre de zones d’ombre…
Toujours est-il que face à cette petite révolution à laquelle se prépare le paysage audiovisuel polynésien, avec le passage de trois à neuf chaînes gratuites disponibles sur le petit écran à compter du 30 novembre prochain, le vice-président a appelé les téléspectateurs «à ne pas céder à la panique».
Pour Edouard Fritch, en effet, il ne fait aucun doute que «le Tahitien s’adaptera» ! D’autant qu’il dispose d’un délai d’un an pour s’équiper – jusqu’au 30 septembre 2011 – avant l’extinction définitive du signal analogique sur l’ensemble du territoire national.
En l’état actuel des informations dont le vice-président dispose, «on se rend compte qu’il y a un coût» a t-il par ailleurs souligné. Raison pour laquelle, «il ne faut pas se presser afin de laisser le commerce et les professionnels du secteur faire leur travail pour un accès plus raisonnable à la TNT». D’autant qu’il n’y a aucun risque d’écran noir et que les foyers qui ne sont pas équipés en Mpeg4, s’ils ne pourront pas capter les nouvelles chaînes, pourront toujours recevoir les émissions de Télé Polynésie et TNTV jusqu’à la fin septembre 2011.
Soucieux enfin de ne pas aggraver la fracture numérique et ce, dans l’optique que 100% des foyers polynésiens reçoivent la TNT, le vice-président a plaidé pour «une approche spécifique en faveur des archipels» dans la mesure où c’est notamment aux Tuamotu-Gambier que la réception s’avère la plus problématique.
Aussi, en accord avec son collègue Teva Rohfritsch, il a émis le vœu que les agences postales existant dans ces atolls puissent être étroitement associées à la commercialisation des différents matériels (adaptateurs, décodeurs etc) mais également dans les procédures d’installation avec un accompagnement particulier pour les personnes âgées.
