C'est un incident qui a mis de l'animation au MRCC lundi soir. L'occupante d'un voilier et son fils de 14 ans, peut expérimentés, ont paniqué lorsque le voilier sur lequel il se trouvaient a "décroché" et s'est mis a dériver vers la passe a la nuit tombante. Lorsque le mari qui se trouvait à terre, a voulu intervenir, il a contacté le MRCC mais il y a eut un quiproquo et une confusion s'est installée dans le déroulement de l'opération de sauvetage.
En début de soirée, lundi vers 18h, de nombreux témoins à terre ou sur des navires au mouillage signalent au MRCC Papeete des tirs de fusées rouges dans le secteur de la baie de Haumi à Moorea.Simultanément un passager à bord du navire Aremiti 5 arrivant à quai à Moorea, se déclare propriétaire du navire qui a déclenché l’alerte.
Après une enquête rapide, il se confirme qu’il s’agit du voilier Govita, immatriculé en Polynésie française, de 15,50 mètres de long. Le bateau, qui était au mouillage, a semble-t-il commencé à dériver, et pour éviter de s'échouer, a pris la route au moteur vers le large. La situation du voilier n'est pas préoccupante, mais ses occupants, qui ne maîtrisent pas parfaitement la manœuvre de ce navire, se mettent à paniquer.
Le MRCC alerte la Fédération Polynésienne de Sauvetage en Mer de Moorea, nouvellement créée. Leur plan : transporter le propriétaire à bord de son navire pour le manoeuvrer en sécurité, et rassurer sa famille qui, extrêmement stressée et ne sachant pas utiliser la radio VHF, a déjà déclenchée trois signaux pyrotechnique et la balise de détresse.
Mais les choses ne se passent pas tout à fait comme prévu. Sans attendre les instructions du MRCC, le propriétaire embarque à bord d’un poti marara ‘’Heineken’’ pour se rendre sur zone et ne donne plus de nouvelles.
Vers 19h45 le navire de la FEPSM ‘’Tanikau’’ appareille avec à son bord des secouristes en cas de nécessité. En quelques minutes, les sauveteurs arrivent au contact du voilier, et confirment au MRCC que la situation est maîtrisée. Le convoi arrive à la marina de Vaiare vers 20H30. Ses occupants sont sains et saufs.
Le MRCC Papeete profite de cet incident pour rappeller qu’il doit être informé de toutes les initiatives personnelles, qui peuvent être légitimes mais qui nécessitent d’être prises en compte par le responsable de la coordination des opérations.
En début de soirée, lundi vers 18h, de nombreux témoins à terre ou sur des navires au mouillage signalent au MRCC Papeete des tirs de fusées rouges dans le secteur de la baie de Haumi à Moorea.Simultanément un passager à bord du navire Aremiti 5 arrivant à quai à Moorea, se déclare propriétaire du navire qui a déclenché l’alerte.
Après une enquête rapide, il se confirme qu’il s’agit du voilier Govita, immatriculé en Polynésie française, de 15,50 mètres de long. Le bateau, qui était au mouillage, a semble-t-il commencé à dériver, et pour éviter de s'échouer, a pris la route au moteur vers le large. La situation du voilier n'est pas préoccupante, mais ses occupants, qui ne maîtrisent pas parfaitement la manœuvre de ce navire, se mettent à paniquer.
Le MRCC alerte la Fédération Polynésienne de Sauvetage en Mer de Moorea, nouvellement créée. Leur plan : transporter le propriétaire à bord de son navire pour le manoeuvrer en sécurité, et rassurer sa famille qui, extrêmement stressée et ne sachant pas utiliser la radio VHF, a déjà déclenchée trois signaux pyrotechnique et la balise de détresse.
Mais les choses ne se passent pas tout à fait comme prévu. Sans attendre les instructions du MRCC, le propriétaire embarque à bord d’un poti marara ‘’Heineken’’ pour se rendre sur zone et ne donne plus de nouvelles.
Vers 19h45 le navire de la FEPSM ‘’Tanikau’’ appareille avec à son bord des secouristes en cas de nécessité. En quelques minutes, les sauveteurs arrivent au contact du voilier, et confirment au MRCC que la situation est maîtrisée. Le convoi arrive à la marina de Vaiare vers 20H30. Ses occupants sont sains et saufs.
Le MRCC Papeete profite de cet incident pour rappeller qu’il doit être informé de toutes les initiatives personnelles, qui peuvent être légitimes mais qui nécessitent d’être prises en compte par le responsable de la coordination des opérations.
