Tahiti, le 21 septembre 2025 - Les journées du patrimoine se sont invitées ce week-end, du 20 et 21 septembre, au Musée de Tahiti et des Îles. Une 42ème édition qui a voulu mettre en lumière le patrimoine architectural sous toutes ses formes : des Fare traditionnels jusqu’aux créations contemporaines. Au programme, des ateliers, des projections, et l’ensemble des expositions du musée ouvertes au grand public.
L’événement rassemble chaque année familles et curieux pour une (re)découverte de la culture ancestrale polynésienne. Les journées du patrimoine sont, en effet, l’occasion de revisiter l’histoire du peuple polynésien et son héritage, ainsi que les interactions entre ces derniers. Et cette année encore, le Musée de Tahiti et des Îles s’est proposé pour accueillir comme il se doit l’événement. Une 42ème édition placée sous le thème du « patrimoine architectural » qui a d’ailleurs ravi le public présent sur place durant ces deux jours.
"Nous venons tous les ans" a confié Heiata, habitante de Punaauia et mère de famille, avant de reprendre la route. "Cela fait toujours une belle sortie avec les enfants et cela leur permet de baigner un peu plus dans la culture locale. Finalement, de plus en plus, au quotidien, nous perdons certaines habitudes. Nous vivons à l’occidental. Venir ici c’est se rappeler qui l’on est, d’où l’on vient. J’aime beaucoup les ateliers proposés pour cette année. C’est ludique et les enfants adorent." Et parmi ces ateliers, celui de la sculpture a rencontré un certain succès. Armés d’une petite brique et d’un simple outil à gratter, les plus audacieux ont pu réalisé quelques petites gravures aux motifs de leur choix et dessinés par eux même. L’occasion pour certains de ce découvrir un certain talent : "C’est vraiment sympa, c’est accessible et on obtient très vite quelque chose de beau avec très peu" a témoigné Tauhere, un jeune homme d’une vingtaine d’années. "Nous avions des exemples de motifs que l’on pouvait reprendre puis il nous a suffit de les dessiner, à notre façon, puis de sculpter."
Et le Musée de Tahiti et des Îles ne s’est pas arrêté aux seuls ateliers. Également ouvertes au grand public, la salle d’exposition permanente ainsi que l’exposition « Te iho o te arutaimareva » ont également permis aux visiteurs de replonger dans l’histoire polynésienne. L’auditorium était, quant à lui, destiné aux projections des films documentaires du FIFO. "Pour ceux qui, comme nous, n’ont pas eu la chance de voir ces films lors du festival, c’est une belle occasion de nous rattraper" s’est réjouit Clémence, venue spécialement pour ces projections. « C’est gratuit, riche en contenu, et dans une salle climatisée. On pourrait y rester la journée ! » Enfin, pour compléter le parcours, des visites guidées des jardins ont été organisées. Et avant de rentrer, les visiteurs ont pu découvrir un large éventail d’ouvrages à prix réduit proposé par la boutique de l’établissement.
L’événement rassemble chaque année familles et curieux pour une (re)découverte de la culture ancestrale polynésienne. Les journées du patrimoine sont, en effet, l’occasion de revisiter l’histoire du peuple polynésien et son héritage, ainsi que les interactions entre ces derniers. Et cette année encore, le Musée de Tahiti et des Îles s’est proposé pour accueillir comme il se doit l’événement. Une 42ème édition placée sous le thème du « patrimoine architectural » qui a d’ailleurs ravi le public présent sur place durant ces deux jours.
"Nous venons tous les ans" a confié Heiata, habitante de Punaauia et mère de famille, avant de reprendre la route. "Cela fait toujours une belle sortie avec les enfants et cela leur permet de baigner un peu plus dans la culture locale. Finalement, de plus en plus, au quotidien, nous perdons certaines habitudes. Nous vivons à l’occidental. Venir ici c’est se rappeler qui l’on est, d’où l’on vient. J’aime beaucoup les ateliers proposés pour cette année. C’est ludique et les enfants adorent." Et parmi ces ateliers, celui de la sculpture a rencontré un certain succès. Armés d’une petite brique et d’un simple outil à gratter, les plus audacieux ont pu réalisé quelques petites gravures aux motifs de leur choix et dessinés par eux même. L’occasion pour certains de ce découvrir un certain talent : "C’est vraiment sympa, c’est accessible et on obtient très vite quelque chose de beau avec très peu" a témoigné Tauhere, un jeune homme d’une vingtaine d’années. "Nous avions des exemples de motifs que l’on pouvait reprendre puis il nous a suffit de les dessiner, à notre façon, puis de sculpter."
Et le Musée de Tahiti et des Îles ne s’est pas arrêté aux seuls ateliers. Également ouvertes au grand public, la salle d’exposition permanente ainsi que l’exposition « Te iho o te arutaimareva » ont également permis aux visiteurs de replonger dans l’histoire polynésienne. L’auditorium était, quant à lui, destiné aux projections des films documentaires du FIFO. "Pour ceux qui, comme nous, n’ont pas eu la chance de voir ces films lors du festival, c’est une belle occasion de nous rattraper" s’est réjouit Clémence, venue spécialement pour ces projections. « C’est gratuit, riche en contenu, et dans une salle climatisée. On pourrait y rester la journée ! » Enfin, pour compléter le parcours, des visites guidées des jardins ont été organisées. Et avant de rentrer, les visiteurs ont pu découvrir un large éventail d’ouvrages à prix réduit proposé par la boutique de l’établissement.





































