Paris, France | AFP | mercredi 15/07/2020 - La Mayenne, qui compte plusieurs foyers de Covid-19, dont l'un a diffusé dans la population, a dépassé légèrement le seuil d'alerte avec 50,1 nouveaux cas pour 100.000 habitants détectés en 7 jours, selon l'agence sanitaire Santé publique France (SpF).
Une campagne de tests a été lancée dans ce département rappelant que le virus est toujours là.
La Guyane (332,3), fortement touchée, dépasse aussi ce seuil d'alerte fixé à 50, selon les données mises en ligne mardi par SpF.
Au 11 juillet (en semaine glissante sur sept jours, du 5 au 11 juillet), l'incidence, c'est-à-dire le nombre de cas détectés en une semaine pour 100.000 habitants, se situe par ailleurs au dessus du seuil de vigilance, fixé à 10 cas pour 100.000 habitants, en Seine-Saint-Denis.
Sur la semaine du 28 juin au 4 juillet, ce taux était inférieur à 10/100.000 habitants dans tous les départements de France métropolitaine sauf pour la Mayenne (45/100.000).
A Mayotte, le taux d'incidence, de 16,5 selon les dernières données, est en régression par rapport à la semaine précédente (35,8).
L'incidence est l'un des indicateurs de surveillance de l'évolution de l'épidémie. En font également partie le taux de positifs aux tests de diagnostic virologique (qui permettent de savoir si on est contaminé et détecter une éventuelle reprise de l'épidémie) et le taux de reproduction effectif (R) qui correspond au nombre moyen de personnes qu'un malade contamine.
Quand en moyenne une personne infectée en infecte moins d'une, l'épidémie régresse. Si elle en infecte deux autres (R=2), l'épidémie se diffuse, si elle en infecte une (R=1), l'épidémie se maintient. Cet indicateur est légèrement reparti à la hausse en France métropolitaine (R= 1,05).
Selon les données de SpF mises en ligne mardi soir, les départements avec le plus grand nombre de personnes hospitalisées par rapport à leur population sont la Guyane (51,6 hospitalisations/100.000 habitants), les Hauts-de-Seine (38,5) et l'Indre (37,3).
En Mayenne, on a observé un doublement du nombre de personnes hospitalisées, passé de 8, il y a une semaine à 16 au 14 juillet.
Santé Publique France précise qu'un délai pouvant aller jusqu'à 9 jours peut intervenir dans la remontée du nombre de cas par les laboratoires et agences régionales de santé, et que les données transmises sont provisoires et peuvent être corrigées ultérieurement.
Une campagne de tests a été lancée dans ce département rappelant que le virus est toujours là.
La Guyane (332,3), fortement touchée, dépasse aussi ce seuil d'alerte fixé à 50, selon les données mises en ligne mardi par SpF.
Au 11 juillet (en semaine glissante sur sept jours, du 5 au 11 juillet), l'incidence, c'est-à-dire le nombre de cas détectés en une semaine pour 100.000 habitants, se situe par ailleurs au dessus du seuil de vigilance, fixé à 10 cas pour 100.000 habitants, en Seine-Saint-Denis.
Sur la semaine du 28 juin au 4 juillet, ce taux était inférieur à 10/100.000 habitants dans tous les départements de France métropolitaine sauf pour la Mayenne (45/100.000).
A Mayotte, le taux d'incidence, de 16,5 selon les dernières données, est en régression par rapport à la semaine précédente (35,8).
L'incidence est l'un des indicateurs de surveillance de l'évolution de l'épidémie. En font également partie le taux de positifs aux tests de diagnostic virologique (qui permettent de savoir si on est contaminé et détecter une éventuelle reprise de l'épidémie) et le taux de reproduction effectif (R) qui correspond au nombre moyen de personnes qu'un malade contamine.
Quand en moyenne une personne infectée en infecte moins d'une, l'épidémie régresse. Si elle en infecte deux autres (R=2), l'épidémie se diffuse, si elle en infecte une (R=1), l'épidémie se maintient. Cet indicateur est légèrement reparti à la hausse en France métropolitaine (R= 1,05).
Selon les données de SpF mises en ligne mardi soir, les départements avec le plus grand nombre de personnes hospitalisées par rapport à leur population sont la Guyane (51,6 hospitalisations/100.000 habitants), les Hauts-de-Seine (38,5) et l'Indre (37,3).
En Mayenne, on a observé un doublement du nombre de personnes hospitalisées, passé de 8, il y a une semaine à 16 au 14 juillet.
Santé Publique France précise qu'un délai pouvant aller jusqu'à 9 jours peut intervenir dans la remontée du nombre de cas par les laboratoires et agences régionales de santé, et que les données transmises sont provisoires et peuvent être corrigées ultérieurement.