« Votez pour moi, vous ne le regretterez pas » s’est introduit Narii Mai du LP de Mahina en 1ère bac pro. Le président de l’assemblée générale des conseils des élèves fraichement élu a visiblement su trouver les mots pour convaincre l’assemblée générale. Seul à introduire sa profession de foi par un slogan accrocheur, c’est aussi le seul à avoir présenté un argumentaire développé, s’engageant notamment à « faire aboutir les vœux de chaque élève ». A l’issue du dépouillement, sa candidature l’a emporté sans surprise avec un total de neuf voix.
Mis en place par l’arrêté 732 du 17 juin 1987 portant organisation administrative et financière des établissements publics territoriaux d’enseignement, l’élection par scrutin uninominal à un tour du président et du vice-président de l’assemblée générale des conseils des élèves est organisée tous les ans. Mise en pratique de la citoyenneté nécessaire et efficace, le concept a vu le jour pour responsabiliser les élèves et les sensibiliser à la vie en collectivité et à la politique. Il consiste à élire un président qui défendra les intérêts des collèges et lycées auprès du ministère de l’Education.
En présence du ministre de l’Education et de la directrice de la DES en salle Maeva à la DES, 21 établissements -sur 35 composant le corps électoral- étaient représentés ce matin, dont neuf inscrits au bulletin de vote du scrutin. Un rituel annuel que le ministre tient à cœur. « On ne peut pas développer notre pays sans la jeunesse, d’où l’importance de l’impliquer » a soutenu Tauhiti Nena.
Parmi les représentants de la toute jeune l’assemblée, certains interrogeaient sur l’ouverture de filières dans les énergies renouvelables. « Ils se demandent si on a pris conscience des richesses de notre pays, et si on ne devrait pas insister d’avantage sur le développement de l’énergie renouvelable. On voit qu’ils s’inquiètent du développement de notre pays et qu’ils posent des questions sensées sur son avenir. Ce sont des interrogations dont il faudra tenir compte» a commenté le ministre.
Les autres points de revendications concernaient essentiellement les transports en commun, les conditions de vie en internat, ou encore la mise en place de l’uniforme dans le second degré. L’occasion pour les élèves de goûter à la politique grandeur nature. « La tenue de cette assemblée c’est justement pour sensibiliser les jeunes à la citoyenneté et la démocratie. Et dans une logique de démocratie participative, c’est logique de faire participer les élèves et les parents sur tous les chantiers importants de l’éducation. C’est aussi ça une école ouverte.»
Mis en place par l’arrêté 732 du 17 juin 1987 portant organisation administrative et financière des établissements publics territoriaux d’enseignement, l’élection par scrutin uninominal à un tour du président et du vice-président de l’assemblée générale des conseils des élèves est organisée tous les ans. Mise en pratique de la citoyenneté nécessaire et efficace, le concept a vu le jour pour responsabiliser les élèves et les sensibiliser à la vie en collectivité et à la politique. Il consiste à élire un président qui défendra les intérêts des collèges et lycées auprès du ministère de l’Education.
En présence du ministre de l’Education et de la directrice de la DES en salle Maeva à la DES, 21 établissements -sur 35 composant le corps électoral- étaient représentés ce matin, dont neuf inscrits au bulletin de vote du scrutin. Un rituel annuel que le ministre tient à cœur. « On ne peut pas développer notre pays sans la jeunesse, d’où l’importance de l’impliquer » a soutenu Tauhiti Nena.
Parmi les représentants de la toute jeune l’assemblée, certains interrogeaient sur l’ouverture de filières dans les énergies renouvelables. « Ils se demandent si on a pris conscience des richesses de notre pays, et si on ne devrait pas insister d’avantage sur le développement de l’énergie renouvelable. On voit qu’ils s’inquiètent du développement de notre pays et qu’ils posent des questions sensées sur son avenir. Ce sont des interrogations dont il faudra tenir compte» a commenté le ministre.
Les autres points de revendications concernaient essentiellement les transports en commun, les conditions de vie en internat, ou encore la mise en place de l’uniforme dans le second degré. L’occasion pour les élèves de goûter à la politique grandeur nature. « La tenue de cette assemblée c’est justement pour sensibiliser les jeunes à la citoyenneté et la démocratie. Et dans une logique de démocratie participative, c’est logique de faire participer les élèves et les parents sur tous les chantiers importants de l’éducation. C’est aussi ça une école ouverte.»
Narii Mai
