Le terrassement du futur cimetière est quasi terminé
MAHINA, le 08/08/2015 - Le chantier devrait se terminer en septembre. 80 millions de francs Pacifiques ont servi au terrassement, à la pose des caniveaux ou encore à la préparation de la plateforme technique. 20 % est financé par la commune et 80 % par le Pays. Un futur cimetière qui pourra accueillir 1 600 à 1 800 unités, des caveaux aériens sont également prévus avec 300 unités.
Le chantier du futur cimetière de Orofara est en phase terminale. Le terrassement du site et la délimitation des zones pour les sépultures sont quasi terminés. D'autres travaux sont en cours, "on a du faire quelques travaux qui n'étaient pas prévu au chantier comme pour la route, où on a dû élargir la chaussée avec un réseau d'assainissement des eaux pluviales", explique Georges Chavez, responsable du chantier et du suivi.
Pour ce chantier, il aura fallu dépenser pas moins de 80 millions de francs Pacifiques dont 80 % sont pris en charge par le Pays et 20 % par la commune.
Il reste encore à placer les caniveaux. Une extension du cimetière se fera en contrebas, au cas où le premier pallié venait à se surcharger ; comme on peut le voir au cimetière de l'Uranie. "Il y aura aussi certains aménagements, avec des sanitaires et un point de vue. Sur le milieu du terrain, il y aura une petite rotonde pour permettre aux personnes de se reposer lors des funérailles", précise Georges Chavez.
Le cimetière de Orofara pourra accueillir 1 600 à 1 800 unités avec trois emplacements superposés. L'ancienne équipe municipale a également prévu de mettre des enfeus pour l'accueil des caveaux aériens et 300 unités sont prévues pour ces tombeaux hors-sol.
Le service funéraire communal sera également transféré à Orofara.
Ce cimetière est un projet qui a été initié par le groupe d'Emile Vernaudon puis repris avec quelques modifications par l'équipe de Patrice Jamet.
Un chantier qui a démarré en mai 2014 avec une première phase : le retrait des déchets collectifs communaux qui y étaient entreposés depuis des années.
Le chantier du futur cimetière de Orofara est en phase terminale. Le terrassement du site et la délimitation des zones pour les sépultures sont quasi terminés. D'autres travaux sont en cours, "on a du faire quelques travaux qui n'étaient pas prévu au chantier comme pour la route, où on a dû élargir la chaussée avec un réseau d'assainissement des eaux pluviales", explique Georges Chavez, responsable du chantier et du suivi.
Pour ce chantier, il aura fallu dépenser pas moins de 80 millions de francs Pacifiques dont 80 % sont pris en charge par le Pays et 20 % par la commune.
Il reste encore à placer les caniveaux. Une extension du cimetière se fera en contrebas, au cas où le premier pallié venait à se surcharger ; comme on peut le voir au cimetière de l'Uranie. "Il y aura aussi certains aménagements, avec des sanitaires et un point de vue. Sur le milieu du terrain, il y aura une petite rotonde pour permettre aux personnes de se reposer lors des funérailles", précise Georges Chavez.
Le cimetière de Orofara pourra accueillir 1 600 à 1 800 unités avec trois emplacements superposés. L'ancienne équipe municipale a également prévu de mettre des enfeus pour l'accueil des caveaux aériens et 300 unités sont prévues pour ces tombeaux hors-sol.
Le service funéraire communal sera également transféré à Orofara.
Ce cimetière est un projet qui a été initié par le groupe d'Emile Vernaudon puis repris avec quelques modifications par l'équipe de Patrice Jamet.
Un chantier qui a démarré en mai 2014 avec une première phase : le retrait des déchets collectifs communaux qui y étaient entreposés depuis des années.
La route a été élargie pour permettre la pose des caniveaux
