Tahiti, le 1er mai 2025 – Le Taatira no te hau organise ce samedi un grand séminaire de travail. Une centaine de personnes sont attendues pour réfléchir sur les grands sujets de société.
Issu du parti historique Taatira Polynesia fondé par Arthur Chung et John Vognin en 1977, le Taatira no te hau, nouvelle version depuis 2000 sous l’impulsion de Robert Tanseau, avec une équipe rajeunie sous la houlette de Charles Fong Loi, Agnès Champs, Charles Berselli et Évelyne Chanteau, arrive donc à sa 25e année d’existence et continue de participer à la vie politique du Pays.
Signataire du protocole d’accord signé entre les groupes autonomistes pour les législatives des 29 juin et 6 juillet 2024 pour la liste Amui tatou, le Taatira no te hau poursuit son aventure.
Selon son président, Charles Fong Loi, les valeurs du parti restent inchangées. “Respect, intégrité et servir la population”, explique-t-il.
Dans la continuité de son action politique, le parti organise ce samedi 3 mai, au Swing à Mama’o, un grand séminaire de travail devant regrouper plus d’une centaine de personnes, avec une trentaine de nouveaux entrants, pour discuter de quatre sujets de société : l’économie avec l’emploi et l’entrepreneuriat ; l’aménagement urbain du territoire ; la jeunesse, le sport et l’éducation pour un “mieux-être dans son environnement culturel polynésien” ; et l’environnement, la culture et le patrimoine.
Les intervenants à la tête des quatre ateliers de réflexion seront tous des membres du Taatira no te hau. Toutes les idées qui pourront émerger de ce séminaire, le premier d’une liste qui emmène le parti doucement vers les municipales et les territoriales, formeront les grandes lignes du programme du parti. Un programme qui sera confronté à ceux des autres formations autonomistes dans l’intérêt du maintien de la plateforme pour les prochaines échéances territoriales. “Nous attendons trois propositions concrètes par atelier”, expliquait en milieu de semaine Robert Tanseau, toujours dans le bureau politique mais qui prend ses distances avec la direction afin de faire éclore de nouvelles têtes.
Ce séminaire sera suivi de l’assemblée générale du parti qui se déroulera le 31 mai prochain et dans lequel les premières conclusions seront présentées aux militants. “Nous voulons que cela soit le détonateur d’une nouvelle synergie”, explique Charles Fong Loi. “Nous voulons être porteurs d’espoir et de vérité alors que nous avons un gouvernement et une assemblée qui avancent masqués. Nous leur demandons d’ailleurs de tomber le masque. Celui d’une assemblée là uniquement pour conquérir l’indépendance, ce pourquoi elle n’a pas été élue.”
Issu du parti historique Taatira Polynesia fondé par Arthur Chung et John Vognin en 1977, le Taatira no te hau, nouvelle version depuis 2000 sous l’impulsion de Robert Tanseau, avec une équipe rajeunie sous la houlette de Charles Fong Loi, Agnès Champs, Charles Berselli et Évelyne Chanteau, arrive donc à sa 25e année d’existence et continue de participer à la vie politique du Pays.
Signataire du protocole d’accord signé entre les groupes autonomistes pour les législatives des 29 juin et 6 juillet 2024 pour la liste Amui tatou, le Taatira no te hau poursuit son aventure.
Selon son président, Charles Fong Loi, les valeurs du parti restent inchangées. “Respect, intégrité et servir la population”, explique-t-il.
Dans la continuité de son action politique, le parti organise ce samedi 3 mai, au Swing à Mama’o, un grand séminaire de travail devant regrouper plus d’une centaine de personnes, avec une trentaine de nouveaux entrants, pour discuter de quatre sujets de société : l’économie avec l’emploi et l’entrepreneuriat ; l’aménagement urbain du territoire ; la jeunesse, le sport et l’éducation pour un “mieux-être dans son environnement culturel polynésien” ; et l’environnement, la culture et le patrimoine.
Les intervenants à la tête des quatre ateliers de réflexion seront tous des membres du Taatira no te hau. Toutes les idées qui pourront émerger de ce séminaire, le premier d’une liste qui emmène le parti doucement vers les municipales et les territoriales, formeront les grandes lignes du programme du parti. Un programme qui sera confronté à ceux des autres formations autonomistes dans l’intérêt du maintien de la plateforme pour les prochaines échéances territoriales. “Nous attendons trois propositions concrètes par atelier”, expliquait en milieu de semaine Robert Tanseau, toujours dans le bureau politique mais qui prend ses distances avec la direction afin de faire éclore de nouvelles têtes.
Ce séminaire sera suivi de l’assemblée générale du parti qui se déroulera le 31 mai prochain et dans lequel les premières conclusions seront présentées aux militants. “Nous voulons que cela soit le détonateur d’une nouvelle synergie”, explique Charles Fong Loi. “Nous voulons être porteurs d’espoir et de vérité alors que nous avons un gouvernement et une assemblée qui avancent masqués. Nous leur demandons d’ailleurs de tomber le masque. Celui d’une assemblée là uniquement pour conquérir l’indépendance, ce pourquoi elle n’a pas été élue.”