Pour la troisième année consécutive, les éditions Matareva sont heureuses de présenter sa revue retraçant l’ensemble des manifestations du Heiva i Tahiti. Entièrement fait maison, cet ouvrage constitue au fil des années un véritable historique culturel de notre Heiva.
244 pages très exactement offrent une chronique des différents événements du Heiva 2012. Parfait compromis entre l’image et les mots, l’ouvrage propose de revenir sur les soirées de concours de chants et danses, manifestations reines du Heiva, qui occupent la majeure partie de la revue. La soirée des ‘ōrero des écoles primaires du fenua, les courses de va’a, de porteurs de fruits ou encore les compétitions de tū’aro mā’ohi sont illustrées au fil des pages. Bien évidemment, nos artistes-artisans du Heiva Rima’i ne sont pas oubliés et sont même mis à l’honneur en couverture cette année et un dossier spécial est consacré au spectacle Tahiti ‘a Mai du groupe ‘O Tahiti E et de Tavana Hare Salmon.
Enfin, comme à son habitude, Matareva invite dans ses pages un personnage ayant oeuvré pour la culture polynésienne et prête sa plume à des amis, rédacteurs improvisés.
Cette année, la rédaction présente en gueststar Pouvana’a a ‘O’opa et son combat pour la sauvegarde, la reconnaissance et
l’enseignement des reo mā’ohi au fenua grâce à l’aide précieuse de Marie-Hélène VILLIERME et de Flora DEVATINE.
Matareva a aussi des liens d’amitié solides, tressés au fil des années et des rencontres, avec d’autres jeunes photographes polynésiens. Ainsi, des photographies signées de ‘Anapa Production, de Matara’i ou du Tahiti Photoblog, peuvent être retrouvées
tout au long de la revue.
Heiva i Tahiti 2012, ce sont donc 244 pages dans lesquelles se mêlent couleurs et émotions. 244 pages qui content et racontent
notre Heiva, en textes et en photos. 244 pages qui préservent notre culture de l’oubli.
244 pages très exactement offrent une chronique des différents événements du Heiva 2012. Parfait compromis entre l’image et les mots, l’ouvrage propose de revenir sur les soirées de concours de chants et danses, manifestations reines du Heiva, qui occupent la majeure partie de la revue. La soirée des ‘ōrero des écoles primaires du fenua, les courses de va’a, de porteurs de fruits ou encore les compétitions de tū’aro mā’ohi sont illustrées au fil des pages. Bien évidemment, nos artistes-artisans du Heiva Rima’i ne sont pas oubliés et sont même mis à l’honneur en couverture cette année et un dossier spécial est consacré au spectacle Tahiti ‘a Mai du groupe ‘O Tahiti E et de Tavana Hare Salmon.
Enfin, comme à son habitude, Matareva invite dans ses pages un personnage ayant oeuvré pour la culture polynésienne et prête sa plume à des amis, rédacteurs improvisés.
Cette année, la rédaction présente en gueststar Pouvana’a a ‘O’opa et son combat pour la sauvegarde, la reconnaissance et
l’enseignement des reo mā’ohi au fenua grâce à l’aide précieuse de Marie-Hélène VILLIERME et de Flora DEVATINE.
Matareva a aussi des liens d’amitié solides, tressés au fil des années et des rencontres, avec d’autres jeunes photographes polynésiens. Ainsi, des photographies signées de ‘Anapa Production, de Matara’i ou du Tahiti Photoblog, peuvent être retrouvées
tout au long de la revue.
Heiva i Tahiti 2012, ce sont donc 244 pages dans lesquelles se mêlent couleurs et émotions. 244 pages qui content et racontent
notre Heiva, en textes et en photos. 244 pages qui préservent notre culture de l’oubli.
