Tahiti, le 16 octobre 2025 – “Il ne faut pas confondre programme d'éducation au sens ministériel et programme d'éducation citoyenne sur les options de décolonisation à destination de la population”, a déclaré le ministre de l’Éducation, Ronny Teriipaia ce jeudi à Tarahoi en réponse à une question orale de l’élue du Tapura, Tepuaraurii Teriitahi. Rappelant que le Pays est compétent pour adapter ses programmes scolaires, il a assuré que l’école n’était pas “un espace d’endoctrinement” et que son objectif était d’éclairer les élèves, “pas de leur faire froid dans le dos”.
Dénonçant une “rhétorique parlementaire et une dramatisation pour influencer l’opinion publique”, le ministre de l’Education a tenu à répondre à l’élue du Tapura qui s’inquiète de voir un “programme d’éducation politique et citoyenne aux options de décolonisation”, accompagné d’un volet “éducation et sensibilisation” appliqué dans nos écoles. Un programme évoqué par des pétitionnaires du Tavini à l’ONU et qui “fait froid dans le dos”, a-t-elle dit, faisant référence à “l’émergence des régimes totalitaires qui ont utilisé l’école et les systèmes éducatifs comme instruments de propagande et d’endoctrinement politique”.
Il ne faut pas tout confondre, lui a rétorqué le ministre, rappelant que la convention décennale sur l’éducation entre le Pays et l’État “autorise les adaptations locales validées par les instances compétentes” et que le Haut comité d’éducation (HCE) qui réunit les membres du corps enseignant, du vice-rectorat, d’élus de l’assemblée et de représentants de la société civile a été consulté à ce sujet. “Chaque adaptation du programme y est présentée avant toute validation formelle par le conseil des ministres, garantissant ainsi la transparence et le respect des compétences de chacun.”
“L'école n'est pas un espace d'endoctrinement. L'objectif n'est pas de traumatiser les enfants, mais de raconter notre histoire de manière factuelle”, a encore tenu à rassurer Ronny Teriipaia précisant que son objectif, “en tant que ministre de l'Éducation, est de former des futurs citoyens éclairés, et certainement pas de leur faire froid dans le dos”.
Dénonçant une “rhétorique parlementaire et une dramatisation pour influencer l’opinion publique”, le ministre de l’Education a tenu à répondre à l’élue du Tapura qui s’inquiète de voir un “programme d’éducation politique et citoyenne aux options de décolonisation”, accompagné d’un volet “éducation et sensibilisation” appliqué dans nos écoles. Un programme évoqué par des pétitionnaires du Tavini à l’ONU et qui “fait froid dans le dos”, a-t-elle dit, faisant référence à “l’émergence des régimes totalitaires qui ont utilisé l’école et les systèmes éducatifs comme instruments de propagande et d’endoctrinement politique”.
Il ne faut pas tout confondre, lui a rétorqué le ministre, rappelant que la convention décennale sur l’éducation entre le Pays et l’État “autorise les adaptations locales validées par les instances compétentes” et que le Haut comité d’éducation (HCE) qui réunit les membres du corps enseignant, du vice-rectorat, d’élus de l’assemblée et de représentants de la société civile a été consulté à ce sujet. “Chaque adaptation du programme y est présentée avant toute validation formelle par le conseil des ministres, garantissant ainsi la transparence et le respect des compétences de chacun.”
“L'école n'est pas un espace d'endoctrinement. L'objectif n'est pas de traumatiser les enfants, mais de raconter notre histoire de manière factuelle”, a encore tenu à rassurer Ronny Teriipaia précisant que son objectif, “en tant que ministre de l'Éducation, est de former des futurs citoyens éclairés, et certainement pas de leur faire froid dans le dos”.































