Le ministre a rencontré les représentants de la municipalité de Faaa en charge de la gestion des déchets, de l’assainissement et de la distribution de l’eau. Les délégués de la commune ont parfaitement intégré le fait que ces secteurs sont aujourd’hui de compétence communale. Cette rencontre avait pour objectif de déterminer si les choix stratégiques de la commune correspondaient aux orientations politiques du Pays.
Le ministre a mis l’accent sur l’intérêt de se diriger vers des actions intercommunales dans ces différents domaines, la mutualisation des moyens étant le seul vecteur de réduction des coûts collectifs. Le projet de raccordement d’une partie des eaux usées de Faaa sur la station d’épuration de Punaauia va dans ce sens.
Le ministre a rappelé que le Pays disposait de deux outils importants pour accompagner les communes dans cette phase de transfert de compétences :
• Pour les déchets, la SEP dont le capital s’ouvrira rapidement aux communes
• Pour l’assainissement, la Société Assainissement des Eaux de Tahiti qui devra elle aussi s’ouvrir progressivement aux communes.
Le ministre a évoqué les efforts qui devront être entrepris au niveau de l’urbanisme pour encourager la récupération des eaux de pluie. L’eau est vouée à devenir de plus en plus coûteuse de par sa rareté. Or la production d’eau potable ne répond qu’à une consommation très limitée des ménages. En effet, la loi impose aujourd’hui la production d’eau potable pour arroser son jardin, pour laver sa voiture, pour faire fonctionner une machine à laver le linge, pour les toilettes… autant d’activités qui ne nécessitent en aucun cas de l’eau potable.
L’installation de réservoirs dans les habitations privées doit ainsi à terme permettre de répondre à une partie non négligeable des besoins en eau non potable, en complément de la production communale. De la même manière, l’eau de qualité industrielle sortant des stations d’épuration peut encore être une ressource exploitable pour les communes. Au bout du compte, moins les communes auront à produire d’eau, moins le coût collectif sera élevé.
Par ailleurs, Jacky BRYANT a souligné la qualité des dossiers présentés par l’équipe communale.
Le ministre a mis l’accent sur l’intérêt de se diriger vers des actions intercommunales dans ces différents domaines, la mutualisation des moyens étant le seul vecteur de réduction des coûts collectifs. Le projet de raccordement d’une partie des eaux usées de Faaa sur la station d’épuration de Punaauia va dans ce sens.
Le ministre a rappelé que le Pays disposait de deux outils importants pour accompagner les communes dans cette phase de transfert de compétences :
• Pour les déchets, la SEP dont le capital s’ouvrira rapidement aux communes
• Pour l’assainissement, la Société Assainissement des Eaux de Tahiti qui devra elle aussi s’ouvrir progressivement aux communes.
Le ministre a évoqué les efforts qui devront être entrepris au niveau de l’urbanisme pour encourager la récupération des eaux de pluie. L’eau est vouée à devenir de plus en plus coûteuse de par sa rareté. Or la production d’eau potable ne répond qu’à une consommation très limitée des ménages. En effet, la loi impose aujourd’hui la production d’eau potable pour arroser son jardin, pour laver sa voiture, pour faire fonctionner une machine à laver le linge, pour les toilettes… autant d’activités qui ne nécessitent en aucun cas de l’eau potable.
L’installation de réservoirs dans les habitations privées doit ainsi à terme permettre de répondre à une partie non négligeable des besoins en eau non potable, en complément de la production communale. De la même manière, l’eau de qualité industrielle sortant des stations d’épuration peut encore être une ressource exploitable pour les communes. Au bout du compte, moins les communes auront à produire d’eau, moins le coût collectif sera élevé.
Par ailleurs, Jacky BRYANT a souligné la qualité des dossiers présentés par l’équipe communale.
