Amiens, le 27 novembre 2025 - Hinaupoko Devèze s’est livrée sur son ressenti, à un peu plus d’une semaine du concours. Avec les autres candidates au titre de Miss France 2026, l’ambiance est à la cohésion.
Les 30 Miss régionales sont désormais en plein cœur de leur aventure dont le point culminant sera atteint le 6 décembre prochain. Après un voyage de préparation en Martinique qui a permis de créer des liens entre les candidates, Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti 2025, et ses camarades ont rejoint la ville d’Amiens, en Picardie, dans le nord de la France, mardi 18 novembre.
Dans la ville hôte de la cérémonie qui n’en verra qu’une décrocher le titre de Miss France 2026, Hinaupoko Devèze a un planning bien chargé entre répétitions et activités. Tour de barque, visite de la ville en petit train touristique, inauguration des lumières du marché de Noël de la ville... Notre Miss Tahiti a multiplié les apparitions publiques.
Cela fait plusieurs semaines que l’aventure Miss France a commencé pour vous, Hinaupoko Devèze. Vous êtes revenue du voyage de préparation en Martinique il y a plusieurs jours, comment cela s’est-il passé ?
“On est restées à peu près une semaine là-bas. Pendant ce séjour on a eu l'occasion de découvrir l’île et de participer à des activités en rapport avec la culture de la Martinique. On a dansé et fait de la poterie. Et en même temps, on a aussi pu avoir des ateliers de préparation à Miss France, comme des ateliers de cat-walk ou de confiance en soi. Et surtout, on a appris à se connaître avec les filles.”
Vous avez en effet découvert les autres candidates au cours de ce voyage, c’était une étape que vous attendiez ?
“Parmi toutes les découvertes, rencontrer les filles c’était vraiment la chose dont j’avais le plus hâte. Miss France, c’est une expérience humaine avant tout. C’était vraiment sympa de découvrir chacune d’elles et en même temps d’en apprendre un peu plus sur les régions qu’elles représentent. Ça nous a aussi permis de relâcher la pression avant les répétitions.”
Quelle est l’ambiance entre vous ?
“Je pense que nous avons beaucoup de chance d’avoir une Miss France comme Angélique [Angarni-Filopon, Miss France 2025, NDLR]. Il lui tenait vraiment à cœur dès le début que soit instaurée une ambiance bienveillante entre toutes, un vrai esprit de sororité. Et c’est ce qui s’est passé. On ne cherche pas à écraser une fille, contrairement à certains clichés. Et Angélique y a veillé. Elle est attentive à tout le monde et a cherché à créer ce lien de grande sœur avec nous, en nous conseillant et en nous aidant dès que l’une de nous est en difficulté. Elle a instauré un côté d’entraide, et c’est bien que nous ayons l’exemple d’Angélique car on aimerait l’incarner. C’est très inspirant.”
Maintenant que vous êtes arrivée à Amiens, ville hôte du grand prime du 6 décembre, comment vous sentez-vous ?
“L’excitation est arrivée. Les papillons dans le ventre aussi dès qu’on a commencé à nous expliquer les tableaux que nous réaliserons le grand soir. Au début on avait du mal à visualiser l’entièreté du show, mais depuis qu’on a commencé à apprendre les chorégraphies, on visualise mieux le résultat final et c’est vraiment un sentiment d’excitation qui émane.
Après, évidemment ça se répète. On s’entraîne tous les jours, de 8 heures à 19 heures donc forcément il y a la fatigue qui apparaît. Mais ce qui est bien c’est que l’ambiance est bienveillante entre nous, et avec les autres candidates, les répétitions nous ont permis de faire tomber toutes les barrières qu’on pouvait avoir au début.
Dans quel état d’esprit vous trouvez-vous vis-à-vis de l’élection ? Sachant que selon plusieurs sources, vous êtes donné comme l’une des favorites.
“Je n’y prête pas trop attention. J’ai toujours appris à ne pas me baser sur les statistiques sur les réseaux sociaux car elles ne révèlent absolument rien. Et je ne suis pas très branchée réseaux sociaux.
Mais je ne me mets pas forcément de pression. Ça peut m’arriver d’avoir des petits coups de mou mais dans ce cas je pense à mon entourage, qui sera présent ce soir-là. Je pense aussi à mon île qui me soutient de l’autre bout du monde. Je pense à tout ce pour quoi je suis là et pourquoi j’ai envie de donner le meilleur de moi-même. C’est une petite piqûre de rappel. C’est déjà une victoire d’être arrivée jusqu’ici, je n’aurais pas imaginé vivre ça dans ma vie lorsque je regardais le spectacle derrière ma télé.”
Il y a eu une polémique qui a éclaté à votre sujet sur votre comportement durant le voyage en Martinique, vous avez réagi sur les réseaux sociaux, mais pouvez-vous revenir dessus ?
“Je me suis déjà exprimée sur ce sujet. Il n’y a rien à dire de plus que ce que j’ai pu écrire. J'ai toujours été droite dans mes baskets. (Hinaupoko Devèze n’a pas été autorisée à communiquer davantage sur ce sujet.)
Quel souvenir a été le plus marquant depuis votre arrivée à Amiens ?
“Samedi 22 novembre, nous avons toutes participé à l’inauguration des illuminations du marché de Noël de la ville. C’était vraiment sympa, on a chanté à tue-tête “Last Christmas”. Il y a eu des petites fausses notes, mais heureusement un vrai chanteur était présent donc ça ne s’est pas entendu. C'est l’un des souvenirs que je garderai d’Amiens. On s’est vraiment bien amusées à chanter et danser devant le public qui nous suivait. Tout le monde était ému.”
Les 30 Miss régionales sont désormais en plein cœur de leur aventure dont le point culminant sera atteint le 6 décembre prochain. Après un voyage de préparation en Martinique qui a permis de créer des liens entre les candidates, Hinaupoko Devèze, Miss Tahiti 2025, et ses camarades ont rejoint la ville d’Amiens, en Picardie, dans le nord de la France, mardi 18 novembre.
Dans la ville hôte de la cérémonie qui n’en verra qu’une décrocher le titre de Miss France 2026, Hinaupoko Devèze a un planning bien chargé entre répétitions et activités. Tour de barque, visite de la ville en petit train touristique, inauguration des lumières du marché de Noël de la ville... Notre Miss Tahiti a multiplié les apparitions publiques.
Cela fait plusieurs semaines que l’aventure Miss France a commencé pour vous, Hinaupoko Devèze. Vous êtes revenue du voyage de préparation en Martinique il y a plusieurs jours, comment cela s’est-il passé ?
“On est restées à peu près une semaine là-bas. Pendant ce séjour on a eu l'occasion de découvrir l’île et de participer à des activités en rapport avec la culture de la Martinique. On a dansé et fait de la poterie. Et en même temps, on a aussi pu avoir des ateliers de préparation à Miss France, comme des ateliers de cat-walk ou de confiance en soi. Et surtout, on a appris à se connaître avec les filles.”
Vous avez en effet découvert les autres candidates au cours de ce voyage, c’était une étape que vous attendiez ?
“Parmi toutes les découvertes, rencontrer les filles c’était vraiment la chose dont j’avais le plus hâte. Miss France, c’est une expérience humaine avant tout. C’était vraiment sympa de découvrir chacune d’elles et en même temps d’en apprendre un peu plus sur les régions qu’elles représentent. Ça nous a aussi permis de relâcher la pression avant les répétitions.”
Quelle est l’ambiance entre vous ?
“Je pense que nous avons beaucoup de chance d’avoir une Miss France comme Angélique [Angarni-Filopon, Miss France 2025, NDLR]. Il lui tenait vraiment à cœur dès le début que soit instaurée une ambiance bienveillante entre toutes, un vrai esprit de sororité. Et c’est ce qui s’est passé. On ne cherche pas à écraser une fille, contrairement à certains clichés. Et Angélique y a veillé. Elle est attentive à tout le monde et a cherché à créer ce lien de grande sœur avec nous, en nous conseillant et en nous aidant dès que l’une de nous est en difficulté. Elle a instauré un côté d’entraide, et c’est bien que nous ayons l’exemple d’Angélique car on aimerait l’incarner. C’est très inspirant.”
Maintenant que vous êtes arrivée à Amiens, ville hôte du grand prime du 6 décembre, comment vous sentez-vous ?
“L’excitation est arrivée. Les papillons dans le ventre aussi dès qu’on a commencé à nous expliquer les tableaux que nous réaliserons le grand soir. Au début on avait du mal à visualiser l’entièreté du show, mais depuis qu’on a commencé à apprendre les chorégraphies, on visualise mieux le résultat final et c’est vraiment un sentiment d’excitation qui émane.
Après, évidemment ça se répète. On s’entraîne tous les jours, de 8 heures à 19 heures donc forcément il y a la fatigue qui apparaît. Mais ce qui est bien c’est que l’ambiance est bienveillante entre nous, et avec les autres candidates, les répétitions nous ont permis de faire tomber toutes les barrières qu’on pouvait avoir au début.
Dans quel état d’esprit vous trouvez-vous vis-à-vis de l’élection ? Sachant que selon plusieurs sources, vous êtes donné comme l’une des favorites.
“Je n’y prête pas trop attention. J’ai toujours appris à ne pas me baser sur les statistiques sur les réseaux sociaux car elles ne révèlent absolument rien. Et je ne suis pas très branchée réseaux sociaux.
Mais je ne me mets pas forcément de pression. Ça peut m’arriver d’avoir des petits coups de mou mais dans ce cas je pense à mon entourage, qui sera présent ce soir-là. Je pense aussi à mon île qui me soutient de l’autre bout du monde. Je pense à tout ce pour quoi je suis là et pourquoi j’ai envie de donner le meilleur de moi-même. C’est une petite piqûre de rappel. C’est déjà une victoire d’être arrivée jusqu’ici, je n’aurais pas imaginé vivre ça dans ma vie lorsque je regardais le spectacle derrière ma télé.”
Il y a eu une polémique qui a éclaté à votre sujet sur votre comportement durant le voyage en Martinique, vous avez réagi sur les réseaux sociaux, mais pouvez-vous revenir dessus ?
“Je me suis déjà exprimée sur ce sujet. Il n’y a rien à dire de plus que ce que j’ai pu écrire. J'ai toujours été droite dans mes baskets. (Hinaupoko Devèze n’a pas été autorisée à communiquer davantage sur ce sujet.)
Quel souvenir a été le plus marquant depuis votre arrivée à Amiens ?
“Samedi 22 novembre, nous avons toutes participé à l’inauguration des illuminations du marché de Noël de la ville. C’était vraiment sympa, on a chanté à tue-tête “Last Christmas”. Il y a eu des petites fausses notes, mais heureusement un vrai chanteur était présent donc ça ne s’est pas entendu. C'est l’un des souvenirs que je garderai d’Amiens. On s’est vraiment bien amusées à chanter et danser devant le public qui nous suivait. Tout le monde était ému.”
