Suite à l'intervention de Sandra Lévy-Agamy dans les colonnes de Tahiti Infos jeudi, Gilles Yau, président de la Fédération du Commerce a souhaité réagir.
"Sandra Levy Agamy semble remettre en question le rôle de la FGC dans le dossier qui concerne la loi sur la concurrence. En réalité la Fédération et la CCISM travaillent depuis plus de deux ans sur cette loi qui a notamment fait l'objet de débats concertés lors des assises du commerce, explique Gilles Yau. A plusieurs reprises nous avons soumis nos préconisations à Pierre Frébault ...qui n'en a pas tenu compte!" précise-t-il.
"La loi sur la concurrence est un sujet important pour le commerce en Polynésie, contraint aujourd'hui de se plier à la loi métropolitaine qui ne tient pas compte du tout des spécificités locales. Parmi ces spécificités, la répartition insulaire des territoires, ou encore, le poids très lourd des frais de transports liés à la distance qui sépare la Polynésie du reste du monde. Il est très compliqué pour le commerce polynésien de se plier à la législation française en matière de concurrence et il est impératif qu'une loi de Pays soit votée, mais elle doit impérativement se faire en concertation avec les commerçants conclut Gilles Yau.
"Sandra Levy Agamy semble remettre en question le rôle de la FGC dans le dossier qui concerne la loi sur la concurrence. En réalité la Fédération et la CCISM travaillent depuis plus de deux ans sur cette loi qui a notamment fait l'objet de débats concertés lors des assises du commerce, explique Gilles Yau. A plusieurs reprises nous avons soumis nos préconisations à Pierre Frébault ...qui n'en a pas tenu compte!" précise-t-il.
"La loi sur la concurrence est un sujet important pour le commerce en Polynésie, contraint aujourd'hui de se plier à la loi métropolitaine qui ne tient pas compte du tout des spécificités locales. Parmi ces spécificités, la répartition insulaire des territoires, ou encore, le poids très lourd des frais de transports liés à la distance qui sépare la Polynésie du reste du monde. Il est très compliqué pour le commerce polynésien de se plier à la législation française en matière de concurrence et il est impératif qu'une loi de Pays soit votée, mais elle doit impérativement se faire en concertation avec les commerçants conclut Gilles Yau.