« C’est un scandale », dénonçait mercredi 10 mai Sandra Levy Agami, interrogée par Tahiti Infos à propos du report de la mise au vote à l’Assemblée de Polynésie française de la loi de pays sur la concurrence. Le texte a été sacrifié sur la table du bras de fer qu’ont engagé le groupe des îliens et l’UPLD sur la question des candidats aux législatives dans la 1ère circonscription électorale : le groupe des îliens Te Mana o te Mau Motu défend la candidature de Louis Frébault ; l’UPLD celle de Pierre Frébault.
Mercredi, à l’Assemblée, il s’agissait de faire une démonstration de force. Sans les îliens, pas de majorité. « Ils ont fait de la politique politicienne au détriment de l’intérêt des consommateurs en Polynésie française », ajoute Sandra Levy-Agami. « Je suis très choquée de la façon dont ça s’est passé : ce texte a été étudié en commission des affaires économique, présidée par Eleanor Parker, membre du groupe des îliens, par les mêmes personnes qui ont demandé à ce qu’il soit retiré de l’ordre du jour sous prétexte que la Fédération générale du commerce n’a pas été saisie pour avis ».
Les tractations sont ouvertes, le bluff y a toute sa place, le comité de majorité qui devait se tenir mercredi matin avant la séance de l’Assemblée n’a pas eu lieu : « De toutes façons, nous, si la majorité change, on reste dans la majorité », soulignait mercredi après-midi Teina Maraeura de manière sibylline à Tahiti Infos.
Mercredi, à l’Assemblée, il s’agissait de faire une démonstration de force. Sans les îliens, pas de majorité. « Ils ont fait de la politique politicienne au détriment de l’intérêt des consommateurs en Polynésie française », ajoute Sandra Levy-Agami. « Je suis très choquée de la façon dont ça s’est passé : ce texte a été étudié en commission des affaires économique, présidée par Eleanor Parker, membre du groupe des îliens, par les mêmes personnes qui ont demandé à ce qu’il soit retiré de l’ordre du jour sous prétexte que la Fédération générale du commerce n’a pas été saisie pour avis ».
Les tractations sont ouvertes, le bluff y a toute sa place, le comité de majorité qui devait se tenir mercredi matin avant la séance de l’Assemblée n’a pas eu lieu : « De toutes façons, nous, si la majorité change, on reste dans la majorité », soulignait mercredi après-midi Teina Maraeura de manière sibylline à Tahiti Infos.
